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 | La lumière d'un siècle mort |
Dans un bar de Madrid, au début des années 30, Angel Amoros fait la connaissance de Lola Negri puis celle de son ami, l'étrange baron de Carvia.
Il va découvrir que celui-ci est un trafiquant d'oeuvres d'art qui a été, dans le passé, mêmé à des ventes d'armes aux troupes marocaines d'Abd el-Krim dans la guerre qui les opposaient à la Légion du futur dictateur Franco. |
  Eugène le jip
    | Sur le même principe que dans le tome 1, à savoir un vieux journaliste racontant ses mémoires, les auteurs continuent à brosser un portrait de l'espagne de l'entre deux-guerre. Comme dans le premier volume de la série, le contexte historique se fait rapidement discret pour laisser la place aux personnages. L'intrigue policière, par contre, est plus présente et à travers les épreuves à traverser, le personnage d'Amoros se complexifie. Il sera fera cependant voler la vedette sur la fin, par un personnage secondaire...
Trait épuré et très personnel, maitrise extraordinaire de la lumière, narration fluide et histoire captivante, cet album est encore meilleur que le premier tome. A consommer sans modération..... |
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