| 
créer | pseudo  mot de passe  |  
 
album
 
coin bordure coin
bordure BullActu

Les Annexes de Bulledair
bordure
coin bordure coin

coin bordure coin
bordure Chroniques

par rohagus


par Matthieu
bordure
coin bordure coin

coin bordure coin
bordure Planche
bordure
coin bordure coin

 
coin bordure coin
bordure

© Le Cycliste

complétez cette fiche
Le Pantin
ScénarioAlzéal Michel
DessinAlzéal Michel
CouleursAlzéal Michel
Année2002
EditeurLe Cycliste
SérieLe Pantin, tome 1.5
autres tomes1 | 1.5
Bullenote [détail]

Version complètement repensée et redessinée, en couleurs directes cette fois-ci, du précédent ouvrage.

 

5 avis

crepp
Un grand-père se sépare de son jouet fétiche, celui qu’il possède depuis sa tendre enfance. Il donne ce joli Pantin à son petit-fils. Mais les liens entre lui et son jouet ne sont ils pas plus forts que tout? Et que représente ce petit bout de chiffon face aux jeux actuels?
Très bonne idée aux éditions "le Cycliste" de rééditer sous cette nouvelle forme cette très belle histoire. Michel Alzéal réussit l’exercice le plus difficile qu’il soit: nous conter une histoire tout en finesse, en subtilité, et pleine d’émotions; et cela sans le moindre phylactère. Son trait et surtout ses couleurs chaudes donnent des planches d’une beauté!!
Une très agréable bande dessinée, il est vrai qui se "lit" assez rapidement, mais reste si longtemps en mémoire.
cendryon
Une BD qui se regarde, se contemple, se parcourt en douceur.

Une bd sans bulles faite pour mettre en valeur les jolis pastels de l'auteur avec des découpages surprenants (voir la page ou pantin se jette à l'eau).

D'ailleurs, est-on toujours dans le monde de la bande dessinée?

Une histoire simple et mélancolique...(oui les dessins parlent!!!)

Un coup de coeur pour tous les amoureux des jolies illustrations...
Bref un album avec une âme, à conserver précieusement, comme un vieux jouet...

tym
j'ai adoré aussi :o) moi qui en général n'aime que les trucs pour rire de préférence ! une grande réussite à la fois dessin, colorisation et scénario !
bravo à l'auteur et à l'éditeur , merci à cendryon de me l'avoir prété ,je pense que je ne l'aurais pas déniché... moi même !
coeurdepat
Ah. Mea maxima culpa, mais…

Je dois bien dire qu’après en avoir longtemps entendu parler (en bien, voire même en mieux), je suis un peu déçu. Pourtant j’ai tendance à aimer les histoires muettes, même très courtes, comme en témoignent « Diablotus », « L’âge de raison » ou encore « Gon », par exemple.
Mais là, ça ne marche que modérément.

Le dessin pourtant est beau, tout à la craie ou au crayon gras, assez réaliste au niveau des couleurs, mignon pour représenter le pantin… La mise en page, bien qu’assez classique, bénéficie d’une couleur de fond variant selon les ambiances, procédé original et intéressant. Le tout est vraiment pas mal, mais ne me plaît pas plus que ça.

C’est du côté de l’histoire que je n’ai pas été convaincu… Finalement, c’est assez mièvre, un peu comme « Le cheminot », ou « Rémi sans famille ». En fait je crois que c’est ce que le dessin suggère qui me bloque un peu… il en fait trop, il est trop réaliste…

Pour employer une expression lue à propos de pas mal d’albums (courts) que j’ai adorés, « Le pantin » est vite lu. Entendez par là que je n’ai pas été captivé plus que ça.
Enfin bon, s’il est tellement plébiscité, c’est que vous avez une bonne chance de l’aimer, donc inutile de s’en priver. Pour ma part, je ne l'achéterai pas.
Mr_Switch
Il y a quelques jours, d’abord subrepticement puis de manière assez persistante, des images du Pantin me sont revenues en mémoire.
Pourquoi ? Aucune idée. Il y a bien longtemps que je ne l’ai pas vu en rayon. Et bien longtemps que je l’ai lu.
Comme vous savez, c’est un album qui se « lit » vite. Il est muet.
« Un pantin mais pas de ballons », là est le jeu de cet album.
En une minute, on peut l’avoir lu, l’avoir posé et être passé à autre chose. On peut.

Je l’avais lu en bibliothèque, et par conséquent, notre entrevue fut brève et notre relation platonique.
Je le lus à la dérobée donc. Et pourtant, il me reste en partie gravé en tête.
Je me souviens d’un album en couleur, de la couleur directe, de la craie, je crois.

-► Mmm, pardon de vous interrompre. Je me présente. Théo, lecteur anonyme omnipotent. Vous parlez d’un album couleur alors que je le croyais en noir et blanc. Qui croire ?

Ma mémoire me trahirait-elle ? La couleur était pourtant dans mes remémorations un acte fondateur… Ah ben oui, y'a deux versions !

Quoi qu’il en soit, ce sont de belles pages illustrant un scénario assez triste qui ne cessent de se rappeler à mon bon souvenir.
Enfin je crois que c’est assez triste. Je ne sais plus vraiment. L’histoire ne m’a pas marqué plus que cela.

L’album est muet. Il faut lire sur ses lèvres. Et lire sur les lèvres, ce n’est pas facile pour tous. Il faut apprendre. Il faut du temps. Franchement, sur le moment, je voyais bien qu’il voulait communiquer, par langage des signes graphiques. Mais je n’avais pas le temps, pas l’envie de m’attarder. J’étais l’homme pressé, le mannequin glacé/Avec un teint de soleil qui passait à côté de cette poupée de chiffon.

Oui, je suis vraiment passé à coté de cette BD. C’est un album qu’il faut contempler sur le long terme. Il faut y venir et y revenir. Il faut le découvrir et le redécouvrir.
C’est, à mon avis, l’archétype d’une BD qui doit traîner chez soi, à côté du canapé, aux WC, où sais-je encore ?
Bref, il faut l’avoir. Non pas qu’il soit indispensable à une bédéthèque, mais je pense que pour le déguster à sa juste valeur, il faut l’avoir acquis pour une longue durée.
Certains diront que je fais du défonçage de portes ouvertes, que c’est vrai pour nombre d’albums. Mais c’est particulièrement flagrant avec celui-ci.

Bref un petit album poétique et émouvant, si tant est qu’on s’attarde sur lui.
bordure
coin bordure coin
 
coin bordure coin
bordure Achats

Achetez cet album sur amazon.fr
bordure
coin bordure coin