 | Après avoir perdu son personnage féminin dans un labyrinthe vertical de cases comme autant de conduits de canalisation, Stanislas Gros la campe dans un étourdissant jeu de miroirs. « Qui suis-je ? Et qu’est-ce que je fais ici ? Pour quelle raison je suis enfermée ? » s’interroge la prisonnière, encrée dans le noir complet des cases, exceptés ses monologues intérieurs et elle-même. |