
 | A l’époque de Papy, bien sûr, la télévision n’existait pas et si l’on voulait voir le monde en mouvement, il fallait sortir de chez soi. Un projectionniste itinérant installait son matériel dans le café-tabac. Charlie Chaplin, Laurel et Hardy ou Fernandel faisaient toujours sale comble. Avant la séance, un Saint-Raphaël, un Dubonnet ou un canon de rouge pour les adultes, une limonade pour les enfants, sans oublier les sucettes ou les tablettes de Zan. C’était dans les années 40... |