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Déclaration d'amour [ Ratatouille, pizza, patates... ] retour forum Pages : 1 - 2
 | compte supprimé . 07.09.2001 à 17:35 | 5350 |
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Pas mal cette bio mon petit ever...Mais que dis-tu de la mienne ?
Ramo Nash, sauve l'honneur de Kloz à Sydney en remportant l'épreuve de course des foutrelazonistes à dos d'outil conceptuel.
De notre correspondant à Sydney.
Hier, Ramo Nash a dignement représenté les habitants de la petite bourgade de Kloz en remportant la course olympique des foutrelazonistes à Sydney.
Sur les starting-blocks pourtant, notre champion se trouvait en situation peu confortable :
Bien que Napoléon Ier ait déclaré forfait depuis ce terrible dimanche de juin dernier aprés une foulure des oreilles, blessure que son kiné n'avait pu réduire malgré des massages énergiques et répétés, Ramo Nash était quand même opposée à Yves Chaland, tenant du titre mondial depuis 1951.
Tout semblait donc joué et personne n'aurait parié ses économies sur une victoire de Nash.
Dès le départ de la course, qui devait se poursuivre sur 8kilomètres et durer 36 heures Yves Chaland prit une avance non négligeable : tenant fermement son outil conceptuel en s'aidant de ses oreilles pour améliorer son aérodynamisme, sa victoire ne faisait aucun doute.
Pourtant, c'est dans la dernière ligne droite qu'eu lieu le tournant décisif de la course : Ramo Nash, raffermi la pression sur ses oreilles et les utilisa pour pousser son outil conceptuel vers l'avant. Cela lui permit de passer la ligne d'arrivée avec 36 mètres d'avance sur son adversaire.
Après, tout ne fut plus que liesse et bonheur...
Les supporters du Club sportif des foutrelazonistes de Kloz menés par Silvana Mangano firent une ovation en l'honneur des oreilles du champion.
Cet exploit donne une médaille de plus au plus illustre des habitants de Kloz.
Bien qu'effondré sous le poids de sa défaite, Yves Chaland, beau joueur, dira de son adversaire : "il ne pouvait que gagner, dans ce sport, ce qui compte c'est la tenue des outil conceptuels et la longueur des oreilles, et personne n'en est aussi bien doté que Ramo Nash".
Rendez-vous dans 4 ans Pour de nouvelles aventures olympiques.
On applaudit RamoNash !
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 | |  |  | Ever Land
Un homme dont les boules nous bouleversent... .
De notre correspondant à Mabite.
"Il est sur que Ever Land est sûrement le plus grand PD du monde" c'est ce qu'a affirmé Lewis (comme le jean) Trondheim (comme la ville) Luncredi dernier à un parterre de journalistes rassemblés à Mabite pour le rencontrer.
Cette déclaration de Lewis (comme le jean) Trondheim (comme la ville) nous pousse à revenir sur la carrière de Land.
Né en 6969 Ever Land n'a eu cesse depuis d'épater la galerie par ces incessants apports dans le monde de la culture, des sciences en particulier au sein de la "confédération des PDs de Mabite de France et de Navarre" puissante association créée par Francis XV quand il prit le pouvoir un Luncredi peu avant l'heure du repas.
Ever Land a entamé son chemin vers la gloire en inventant les vibromasseurs qui devinrent depuis le summum de la distinction pour tout homme moderne. En effet qui depuis n'a pas exhibé fièrement ses vibromasseurs à la foule envieuse ? Pour cela, les habitants de la planète entière et en particulier de Mabite lui sont reconnaissants.
C'est par un beau jour en janbruar que Land a rencontré Tabatha Cash et décida de la conquérir grâce à son charme et au prestige que lui avait donné l'invention des vibromasseurs.
Tabatha dira pourtant plus tard "ce qui m'a fait le plus craquer chez Ever, c'est la proéminence de ses boules!. Elle ne s'en est d'ailleurs jamais remis depuis.
15 ans plus tard il découvre dans une librairie poussiéreuse de Mabite un livre de Lewis (comme le jean) Trondheim (comme la ville) intitulé : les vibromasseurs poussent sous les boules de Tabatha.
Pour Ever Land c'est une révélation, il s'attelle à la rédaction de :" Les PDs de Mabite gouverneront en janbruar", Une œuvre majeure qui l'occupera jusqu'à ce qu'il atteigne 69 ans cet opus sortira en librairie Luncredi prochain.
Le livre est tant attendu que son éditeur prétend pouvoir gagner, grâce à sa publication, une somme qui pourrai atteindre 69 francs cinquante centimes.
Comme l'a si justement fait remarquer Lewis (comme le jean) Trondheim (comme la ville)"Ce livre est une œuvre impérissable que Land a écrit avec ses boules sans aucune concession.".
Nous vous redonnons les cordonnées du livre et de l'auteur :" Les "PDs de Mabite gouverneront en janbruar", par Ever Land aux éditions Dubois, Prix public 69 francs TTC
Biographie composée par le site http://ilsbohu.free.fr/gen2bio/ |
 | Thorn, 06.09.2001 à 12:54 | 5271 |
|  |  | Mais mais mais... mais c'est mignon tout plein, ce sujet-là ! Tiens, chuis toute attendrie, là... ;o)) |
 | Deck, 06.09.2001 à 12:19 | 5263 |
|  |  | Rosalie, ma vache dans le pré d'en face, voici maintenant six mois que la passion nous étreint, et je voulais rendre public l'amour qui nous uni.
Oui, j'aime tes naseaux qui me soufflent des mots doux dans les oreilles, oui, j'aime ces mouches adorables qui viennent respirer ton parfum buccolique. J'aime tes coups de cornes dans mes yeux, synonymes d'une affection profonde que tu me manifestes. Oui, ta voix si douce et sublime, une voix d'opéra qui beugle des déclarations à tout va lorsque tu me vois. J'aime tes yeux frétillants et pétillants. J'aime ton goût prononcé pour les nourritures bio, quoique certaines sont douteuses... Oui, j'aime ton allure lorsque tu accoures aussi gracieusement vers les barbelés qui délimitent ton appartement 5 pièces. Oui, j'aime ton intelligence qui fait que tu évites de poser ta tête sur la cloture électrique. Rosalie Rosalie Ha, Rosalie Rosalie Ho ! |
 | |  |  | On va devoir interdire ce forum aux moins de dix-huit mois. :o) |
 | compte supprimé . 05.09.2001 à 23:46 | 5254 |
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Everland: MR_Claude est un tordu, c'est pour ça qu'il essaie de foutre la zone avec un hypothétique triangle amoureux ((o: |
 | |  |  | Hum, on va pas se laisser troubler par la prose de ce Mr Claude à la noix, il en faut plus pour me séduire. non, mon coeur va à Léon, je ne tomberai pas dans le travers pervers de tromper celui qui ne m'a jamais trahi ! Ou presque pas !
Léon, quand nous avons dansé
comme des diplodocus,
j'ai su que je t'aimais
en te touchant l'a........ euh...... la main droite
Ta peau était si douce
tes mains était si grandes
tu sentais le couscous
en y pensant je......... euh........ suis très touché
quand me reviendras-tu
me rendras tu visites
quand me caresseras-tu
le visage et la..... euh..... les cheveux
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 | |  |  | Mon cher Everland,
Je suis à la fois surpris, ému, heureux et troublé de cette lettre enflammée que tu m'adresses. Certes, ce tango argentin que nous avons dansé joue contre joue dans ton bistrot (A un moment, j'avais pensé te proposer une lambada, mais à notre âge, cela aurait fait jaser!) nous a rapproché tant physiquement que moralement, et il exact qu'à un moment, en contemplant ton profil hellénique, je n'ai pu m'empêcher de penser à Marais et Cocteau, à Roux et Combaluzier, à Castor et Poilu, à Chopin et George Sand (Ah non, zut, ça compte pas, Chopin, c'était une femme!), à tous ces couples qui ont marqué l'histoire et qui ont illuminé la mémoire collective, en la marquant du sceau de leur génie et de leur amour.
Néanmoins, nous devons réfléchir. Une vie de couple ne s'improvise pas, nous devons mieux nous connaître, voir si nous avons une conception commune ou voisine de l'existence, si nous adhérons aux mêmes philosophies, si nous buvons les mêmes cocktails, si nous préférons avoir une ribambelle d'enfants ou un aquarium avec des poissons rouges... Ce sont ces petits détails qui nous aideront à comprendre si notre passion n'est qu'un éphémère brasier ou le début d'une relation fondée sur le respect mutuel du couple.
Je t'aime, grand fou!
Ton Léon. |
 | |  |  | Ever de mon coeur,
Je me jette à l'eau
Pour te dire combien je te trouve beau
Depuis longtemps j'attendais de te le dire
Mais je ne pouvais tomber pire
Toi aussi, tu viens de déclarer ta flamme
Et pour moi aussitôt ce fut le drame
Ton amour tu le portes vers Léon
Et dans mon coeur règne la désolation
Que tu l'aimes je puis le concevoir
Car il n'est pas des plus moches à voir
Mais je penses que tu comprendras
L'ampleur de mon désarroi
Et dire que dans mes rêves les plus fous
Nous nous embrassions tendrement dans le cou
Hélas, je semble invisible à tes yeux
Et jamais je ne verrais ton regard amoureux
Je ne sentirais jamais sur mon corps
Tes mains glisser sans remords.
Je m'en vais maintenant dans le couloir
Afin de crier mon désespoir
Sachez que dans la vie plus rien ne me botte
Et j'ai bien l'impression de n'être qu'une crotte
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 | |  |  | Mon très cher léon
Hier, lors de la dans tu as eu la très grande amabilité de m'accorder, j'ai senti que quelque chose d'unique se passait entre nous... Comme je le dis souvent, il y avait dans tes yeux ce je ne sais quoi de rare et précieuui provoque la lumière et qui m'a énormément touché... Je n'ai pas l'habitude d'écrire à toutes mes conquêtes dès le lendemain de ma première rencontre, parce que je ne sais pas très bien écrire déjà, et parce que je n'ai pas eu beaucoup de conquête, mais ce n'est sansdoute pas par hasard que dans conquête on trouve les mots... euh, non rien...
Comme le disait Verlaine à Rimbaud, comme le disait mon père en voyant brigitte Bordot, comme le disait le pape en regardant Don Camillo, Léon je t'aime autant que j'aime les escargots...
Répond moi vite mon amour
everland |
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