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toujours les meme qui ont du mal [ Ratatouille, pizza, patates... ] retour forum Pages : 1 - 2 - 3 - 4 - 5
 | |  |  | Mais c'est comme ca qu'on l'aime notre petit éleve,
Laissez le s'exprimer, il ne vous à rien fait... |
 | J-C, 21.11.2001 à 18:04 | 10910 |
|  |  | vous avez vu comment Claude fait remarquer a Don ses fautes d'ortographe et ses mauvais choix de mots ??!!! c'est presque parfait ! il aurait evite de le souligner dans ses intervention, on l'aurait presque prit pour un gentleman :-))
At'chao ! |
 | |  |  | Bon alors j'ai tout bien noté dans ma tête, là juste à côté de ma conscience, et pis on va voir ça demain ou plus tard, faut pas être pressé (ne jamais hésiter à remettre à demain ce que tu n'as pas envie de faire aujourd'hui, telle est ma devise). Et euh... des cours de maintenance, c'est comme un contrôle technique? c'est pour voir si je tiens encore la route? ou bien si j'ai as pété une durite ou les fils qui se touchent... Ou alors c'est des cours de maintien pour qu'on ait plus honte de me sortir en société à cause de mes chapeaux révolutionnaires... aucune idée... %))) Bah je vous fais confiance hein, c'est pour mon bien non? mais?... quest-ce que vous faites? non!!! je veux rester! laissez-moi...
P.S pour everland, ne t'avise pas d'essayer u quelconque jeu de mots à base de ma quête bégayée que j'aurais perdue... y'a des jeunes filles pures et innocentes qui lisent ce forum (mais non pas Thorn voyons... %))) ) |
 | |  |  | Sa quête est perdue, c'est bien ce que je me disais aussi, Don! :o) |
 | |  |  | tututut Léon, une chose à la fois veux tu !! Ne déconcentre pas ce pauvre Claudi dans sa quete éperdue de réussite,stp
En attendant, claudi, je vais me devoir de te rajouter des cours de "maintenance" en plus de ces prémices de cours de lettres... ;o) |
 | |  |  | N'oublie pas la catachrèse, le pléonasme, la métonymie, le palindrome, la prétérition, la prosopopée, l'hyperbole, l'hypallage, la paronomase, le zeugme, l'allégorie et l'allitération. |
 | |  |  | J'ai très bien noté tout ça maîtresse! (c'est agréable de lancer des perches quand elles sont rattrapées %))) ) alors des litotes, des synecdoques (je suppose que je me dois de corriger l'orthographe déficiente), des anaphores et des euphémismes.. Ok, ça sera pour la prochaine fois.
Et ménant je peux aller aux toilettes madame???? |
 | |  |  | Et que va-t-on donc voir ?? A quel grandiose spectacle nos yeux vont-ils être conviés ?? Quelle sera donc ta prochaine source d'inspiration tres cher Claudi ?? La litotae, l'anaphore ou que sais-je encore la synecdote et l'euphémisme... |
 | |  |  | Ainsi donc personne ne me suit sur les sentiers aventureux de l'improvisation primale sans retour en arrière autorisé ou tout juste pour quelques fautes de frappe et d'orthographe corriger... Sachez que cela m'attriste et me navre mais je ne suis point du genre à vouloir imposer ma tendre et douce et vénérable et rayonnante et mirifique et farabulique et modeste personne à quiconque fut-il le dernier de mes soucis. Aussi retiendrais-je la leçon qui m'enseigne de ne point m'étaler outre mesure et surtout d'apprendre à mettre un terme raisonnable dont la longueur ferait de par leur nombre de caractères palir le plus trempé des cochons fort réputés pour le leur de caractère.
Peut-être regagnerais-je ainsi dans votre estime les cimes immaculées de l'émerveillement et de l'admiration où je suis sur que vous me plaçâtes d'emblée. Je crains cependant que cela ne nous conduise à un hors-sujet qui serait fort déplaisant dans la mesure où jusqu'à présent on pouvait constater que c'étaient effectivement toujours les mêmes qui avaient comme l'on dit du mal, que cela soit à comprendre, à faire court ou bien que sais-je encore... Hors, si moi le premier je commence à faire preucve ici d'un tant soit peu de maîtrise, nous ne pourrons plus jurer de rien et ce sujet retombera illico dans les abîmes insondables d'un anonymat mortifère tant rien ne pourra le diférencier de ces nombreux autres sujets lisses où fait jour un conformisme à la rigueur toute soviétique et la prévisibilité consternante qui s'exprime par une tendance toujours vérifiée à dériver du sujet initial dès que cela est possible.
[...]
Cette interruption signifie que soudain le doute me saisit tel un steak. Auusi m'empressais-je de relire tout le sujet, entreprise vaine et dénuée de signification mais on m'a déjà vu faire pire dans le genre... %))) Et bien m'en prit car j'ai pu constater de mes propres yeux l'évolution épatante de ce sujet. Tenez vous bien ce n'est guère banal.*
Ce sujet à commencé comme une figure émouvante d'incommunication où les intervenants paralaient dans le vide, notamment une pauvre conscience encore en mal d'enveloppe charnelle à l'époque, puis ce sujet, pris de la folie qui tent à gagner les sujets à succès, enivré par les bons mots les caractères faciles et le luxe des premières places, se mit lui aussi à dériver, comme quoi je m'étais lourdement trompé, sous l'influence de certains dont cela semble être l'habitude.
Aussi ai-je eu raison de repartir dans cette direction, ramenant ce sujet vers les affres d'incompréhension initialement instituées commes règles de bon fonctionnement.
A noter au passage que ceci est au moins mon troisième changement de style dans ce sujet car si celui-ci peut sembler bien fade et anodin (si ce n'est par la longueur désormais habituelle du message dans son entier) tant il est compréhensible par tous, je le pense, le premier style emprunté était donc celui de l'époque insouciante où la politique en vigueur (et qui l'est toujours semble-t-il pour certains) était de poster un maximum de messages d'au plus deux lignes. Chose que j'ai décider de reléguer au rang des péchés de jeunesse, certes bien excusables mais bon.
Voilà voilà, c'était toujours aussi inintéressant mais bon, ceci n'est qu'une transition, vous allez voir ce que vous allez voir... %))) |
 | |  |  | Hum...j'avoue m'y perdre aussi... |
 | |  |  | Quelqu'un peut me réexpliquer le propos initial de ce sujet? Parce que là... Mal au crâââââââne... |
 | |  |  | Mais mais mais, quelle n'est pas ma surprise, tel un représentant de la gente galinacée, dont le Q.I rapporté au potentiel réflexif que lui impose la domestication lénifiante de son animalité n'est pas sans rappeler par sa valeur chiffrée les plus froides températures du nord sibérien, ayant trouvé un ustensile doté d'un manche et d'une lame dentelée et souvent appelé couteau à steack, maya ou inca selon la provenance et l'envie plus ou moins irrépressible, à l'image d'un incontinent essayant de tenir pendant toute une représentation de la lecture des oeuvres totales de Balzac lues par un bègue neurasthénique sous une cure intensive de Lexomil, de faire un jeu de mots dont la subtilité évoque sans hésiter les plus belles heures de l'émission radiophonique dont le seul titre suffit à plonger dans l'hilarité des auditeurs en mal d'un humour frais et ravageur tant le qualificatif de Grosse semble bien coller à la tête des intervenants mais cela, point pour la pertinence de leur intellect mais bien pour leur suffisance ne trouvant son égal que dans les meilleurs moments des mémoires d'Alain Delon par lui-même vu que c'est lui qui s'en souvient le mieux de ses souvenirs qui lui font plaisir et que ça mon coco ça va faire pleurer dans les chaumières et le reste on le tait tout le monde s'en fout, quelle n'est pas ma surprise donc, de trouver ici de nombreux et nouveaux intervenants dans ce sujet que je croyais délaissé tel un coureur en froid avec son pharmacien au moment d'aborder le dernier col et qui n'ayant pu se fournir en vitamines se retrouve à retrouver une moyenne raisonnable de 0,5 km/h en alternant 100m à vélo et 2km à pied et se trouvant ainsi seul loin derrière la voiture balai qui le prit pour postier égaré et croisant sur sa route la foule des masses en délire ravie de cette journée passée à grelotter dans le brouillard et la pluie pour une magique seconde à sentir la sueur de ces sportifs du surhumain et rentrant chez eux à 500km de là et retrouver le rythme Hypnotioque de leur train train quotidien.
Certes à l'issue de cette première phrase d'introduction je me dois de reconnaitre que je ferais bien de déjà songer à en finir car tel un majestueux tapon... euh non, héron (oui oui, héron, petit, pas tapon) de ces interventions brillantes et aérienne, je crains que des chasseurs mal embouchés ne me coupent les ailes, se sentant dépassés par la fulgurance d'une prose qui sort toute seule sans réfléchir, à la manière d'un de ces jurons qui vous échappent lors des soirées mondaines chez les Rotschild, où les gens ne pètent pas mais flatulent, mais que bordel de dieu, ça fait du bien quand même, et ne trouvant d'autre moyen que de tirer à vue et sans sommation sur moi, croyant par là-mêmle apaiser leur souffrance et certainement aussi la mienne, mais ils ne savent pas que l'euthanasie verbale n'est guère recoimmandée et qu'à trop retenir ses mots on finit muet et esclave de ces quelques despotes, s'autodéclarant détenteurs de la liberté d'expression et que toi aussi tu es libre de penser la même chose que lui mais de ne pas le dire trop fort quand même c'est lui le chef et il veut qu'on le voie sur la photo.
Aussi ne répondrais-je pas à la provocation de ces bourreaux du verbe, et tel un phoenix renaissant de l'autodafé du bucher de ses propres paroles, je suis toujours là, prêt au verbiage le plus délirant et ce, juste afin de prouver que le ridicule ne tue guère en ces contrées cybernétiques et que ceux qui voudraient me faire taire et bien c'est raté, nananananèreu.
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 | |  |  | Penses-tu Matthieu, ils n'ont aucun scrupule. Ils n'ont trouvé que ce moyen pour nous oter notre liberté d'expression, et après ils vont se faire valoir de leur capicité à faire taire les dissidents au régime bulledairien et si cela se trouve la foule est encore capable de les acclamer !!! Non mais c'est impensable un régime pareil. Faudrait exterminer tout le monde : le gouvernement, la foule et tous ceux qui ne disent rien au cas où ils n'en penseraient pas moins au nom de la liberté de parole. Je ne vois plus d'autre solution !
PAN PAN PAN PAN PAN PAN PAN |
 | |  |  | quesque c'est que ces "pan" ? vous n'oseriez quand meme pas les executer d'une balle dans la nuque.
j'aimerais croire que ce n'est qu'un coup du type "schtroumpfs a lunnette" |
 | J-C, 12.11.2001 à 8:46 | 9875 |
|  |  | PAN!!!!!
(Il le fallait, car lui aussi il devenait dangereux!)
At'chao ! |
 | |  |  | Mes frères et mes soeurs. (ça c'est une entrée matière) Qu'est-ce qu'avoir mal, que de resentir une vrai souffrance une vrai douleur, d'être mal ? Nous ne le savons pas. Pourquoi ? Parce que nous allons bien pour la plupart d'entre nous, arce que notre corps oublie à l'instant où il ne les ressens plus douleurs et souffrances. On ne se souvient pas d'une douleur. On sait son intensité, parfois on peut les comparer, vaguement, mais on ne garde pas un échantillon de douleur, de mal être pour mieux se la remémorer. La douleur n'existe pas pour ceux qui ne la ressente pas. C'est également pour cela que les malades sont aussi souvent mal traités par les bien portant. Malgré toute leur bonne volonté à vouloir aider ils ne pourront jamais emprunter un peu de la souffrance du malade pour le soutenir. Ils resteront toujours bien portant et par cela ils ne pourront jamais comprendre ne serait-ce qu'un soupçon de ce qu'il peut ressentir. C'est la raison pour laquelle souvent les bien portants se méfient des malades et parfois les méprise. Nous avons tous entendu des bien portants décrier des amis malades dans leur dos ("Ah, celui là il aime se plaindre ! Ca se voit", "Penses-tu, il n'a pas aussi mal qu'il le dit") Un jour que j'avais une colique néfrétique mon père m'a même dit "Ca ça ne peut pas être une colique néfrétique, ça fait plus mal que cela, tu mère en a déjà eu je me souviens bien". j'avais envie de rire mais j'ai pas pu, j'avais trop mal.
Bref tout cela pour dire que finalement on est vachement bien là tout de suite. On se sent pas trop mal. on est suffisament bien portant pour prendre le plaisir de lire un forum de discussion et bientôt on va attraper la grippe, les rhumes hivernaux, des migraines et autres maladies pas bien graves mais fatiguantes qui vont nous empoisonner l'existence. Alors avant profitons un peu de notre relatif bien être. Et je ne veux plus entendre de "toujours les mêmes qui ont mal", voilà, j'ai fini mon sermont.
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 | |  |  | PAN!!!!!
(Il le fallait, car il devenait dangereux!) |
 | |  |  | Je ne sais comment je dois prendre l'absence de réponse, qui n'a d'égale par le vide abyssal qui la caractérise que la puissance évocatrice des métaphores existentialistes dans les paroles des boys/girls band dont la force érotique semble cantonnée aux premiers émois d'une libido prépubère chez des adolescent(e)s dont la pauvreté d'imagination les pousse à chercher le confort sur ces starlettes musicales aussi mélodiquement glacées que le papier sur lesquelles on les couche (non non relisez-bien, j'ai pas dit qu'ils avaient couché pour réussi), à la question pourtant si simple qu'elle ferait passer n'importe quel scénario de "Derrick" pour un chef d'oeuvre de machiavélisme noir et de tortuosité rappelant les méandres labyrinthiques des affluents de l'amazone nord.
La question portait, je le rappelle pour ceux, qui tels des spectateurs avachis devant l'écran à la luminescence scintillante bleutée de leurs téléviseurs, faibles relais entre des neurones que l'inaction pousse à l'empatement forcé, n'auraient pas bien suivi les épisodes précédents où certes, pour le dernier, j'ai cru bon dans un réflexe consciencieux de mon propre étalage intempestif de ne pas faire figurer ce fameux résumé que l'on aurait pu prendre pour un rendez-vous habituels pour fainéants désintéressés de toutes ces tentatives grotesques et malhabiles mais néanmoins pédagogiques de rallonger des phrases sans jamais, tel une Ariane de la pensée perdre le fil précieux de ses pensées, ni de trop répéter sans cesse les mêmes mots, afin d'éviter le piège aussi subtil qu'une démonstration de la justesse de sa politique économique faite par un ministre équilatéral (liberté littéraire consistant à signifier que l'apartenance dudit ministre au côté droit ou gauche de la sphère politique (métaphore paradoxale basée sur une impossibilité géométrique (imbriquage de parenthèses nuisant à la fois à la compréhension, et au caractères poétique que l'on aurait éventuellement pu jusq'alors trouver à ces tentaives maladroites d'envol littéraire tel un goéland dont les phrases de géant m'empêcheraient de planer sur l'éther rassurant de la limpidité verbale)) importe peu), de la mise en examen pour recel et abus de top bavard que certains, tels des procureurs républicains sans scrupules ni respect pour autrui n'hésiteraient pas à me coller sur le dos, sous le prétexte petit et étriqué de relations orales avec Calliope, muse stagiaire dans la maison blanche de l'éloquence (y'a des jours où j'en reviens pas moi même de ce que je dis), sur cette fameuse santé mentale, dont une certaine personne, lecteur fidèle parmi les fidèles, semblant prendre un plaisir certain voire délectable à la lecture de ces quelques mots bien anodins ma foi, ce qui fait certainement de lui une des personnes les plus à même de porter un jugement ou à la rigueur un diagnostic sur un éventuel trouble psychologiques pouvant expliquer à défaut d'excuser ces piteux élans et épanchements dont le verbiage spasmodique n'est pas sans rappeler les convulsions saisissant les membres postérieurs d'une grenouille de laboratoire à laquelle on aurait rompu la colonne vertébrale, sous l'impulsion du courant électrique, père de toute motricité animale, m'aurait situé à l'extrème limite.
Et donc, pour éventuellement en terminer, tel un public romain amateur de sensations forte et de sang versé refuserait la grâce impériale au pauvre gladiateur qu'il soit rétiaire ou mirmillon, qui s'était poutant bien battu avec tout le courage désespéré et l'étincelle fougueuse de sa jeunesse et qui le condamne ainsi à mort par le simple biais d'un pouce cruellement tourné vers le sol, symbole de sa chute prochaine dans l'inanimation et la poussière, avec cette question qui semble pourtant occuper farouchement les esprits, telle un générique idiot de pub radiophonique pour un quelconque marchand de meubles en kit et en bois qu'on aurait à peine entendu une fois mais qui nous obséderait au moins jusqu'à la pause déjeuner, nous rendant par la-même aussi improductifs qu'un troupeau de moutons qu'on aurait chargé de faire régner la circulation place de l'Etoile un vendredi soir vers 18h, de savoir de quelle côté de la limite séparant la santé de la folie je me trouve.
D'avance merci.
(Je précise que je ne peux donner plus de lisibilité à ce texte étant donné que chaque paragraphe est déjà réduit à une simple et unique phrase) |
 | |  |  | Une petite question avant de reprendre le cours normal mais sinueux du développement amazonien de mes élucubrations...
J-C, tu me situes à la limite de la folie c'est très gentil à toi et je t'en remercie comme l'élève modeste rosissant de plaisir devant les compliments de sa jeune et jolie prof de français au cours de son exposé sur l'évolution du caractère mélancolique de la relation amoureuse entre la femme mure et le jeune homme neuf au cours de la période des poètes romantiques, et qui perdant toute contenance parvient avec difficulté à cacher son émoi certes bien compréhensible car on est vite impressionnable à cet âge en bredouillant quelques remerciements dans sa barbe naissante mais clairsemée d'adolescent en période pubertaire.
C'est très gentil disais-je mais il importe de savoir de quel côté de la limite de la démence je me situe car s'il est vrai qu'après l'heure c'est plus l'heure, il est tout aussi vrai qu'après la limite c'est trop loin, et alors de deux choses l'une: ou bien je me maintiens à l'intérieur du cercle rassurant de la normalité avec au plus ce que l'on pourrait appeler un léger grain et l'on dirait de moi "bah il est bien brave", ou "c'est un zouave" et je remplirais ainsi en quelque sorte la fonction d'explorateur en poste avancé vers le n'importe quoi, en première ligne et gardien de l'intégrité psychologique des gens biens de ce forum face à une éventuelle tentative d'attaque des forces obscures de la folie démente, acceptant de supporter sur mes épaules frêles, telles les branches du saule pleureur s'inclinant majestueusement au dessus d'une mare bucolique où pataugent quelques canetons avides de découvrir la vie au delà du pâté de nénuphars constituant pour l'instant le seul horizon de leur courte existence de volatiles aquatiques à plumes et qui vont dans l'eau, la majeure partie d'une contamination du monstre délirant.
Ou bien, dans un deuxième hypothèse, je le rappelle au cas où vous auriez perdu au cours de la précédente phrase l'idée directrice qui bien qu'apparement absente n'en préside pas moins à l'agencement des mots que vous êtes actuellement en train de lire, à la manière d'un gourou énigmatique préférant se retirer dans l'obscurité afin de mieux tirer les marionettes illusoires de l'exercice de son pouvoir (ça veutr de moins en moins dire quelque chose mais je trouve ça beau), j'ai dépassé les bornes, tel un rebelle face à la pensée lénifiante et les règles les plus évidentes de la bienséance et de la communication, un che Guevarra du délire, et c'est alors moi le danger sournois qui vous guette tel l'araignée velue psychopate se cachant dans un recoin inaccesible au balai de la femme de ménage pourtant consciencieuse, et profitant ensuite de la semi obscurité de la pièce où ne brille plus que la lampe de chevet de l'honnête personne lisant avec concentration quelques pages de la "critique de la raison pure" du regretté Emmanuel Kant avant de sombrer dans un sommeil réparateur amplement mérité par une journée passée à servir l'humanité pendant huit heures dans le cadre exigu de son bureau du service "contentieux, réclamations et coups de gueule", troisième porte à gauche, dernier étage (emplacement stratégique visant à décourager les derniers mécontents éventuels ayant pris sur leur temps pour venir réclamer ce qu'ils pensent être leur dû mais que c'est vrai qu'ils n'ont pas pensé à timbrer l'enveloppe pour retour du courrier alors faut pas s'étonner s'ils ne sont pas remboursés, espèce d'anarchiste sans civisme!), se faufile jusque sur la couette puis entreprend l'ascenscion de la joue gauche de la personne à moitié assoupie qui ne peut s'empêcher de faire un bond d'effroi faisant passer les plus beaux haricots sauteurs du mexique pour de vulgaires mojettes vendéennes amorphes, alors que tout le monde sait bien que l'araignée (c'est moi, hein vous aviez pas oublié la métaphore?) certes n'est pas belle velue et tout et tout, elle fait un peu peur tel le quasimodo des arthropodes, et même si elle pique des fois un peu, on ne craint rien sous nos latitudes, tout au plus quelques démangeaisons.
Alors n'ayez crainte, si vous avez l'impression à la lecture de ces quelques lignes que cela vous picote un peu, c'est normal mais pas très grave à moins que je mésestime tel le lièvre prétentieux et paradeur de la santé mentale devant la tortue limitée mais obstinée de la folie douce rampante, la contagiosité du vide abyssal faisant office de sens dans ce que vous venez de lire.
Avant de continuer, merci J-C de bien vouloir répondre à la question qui, si je n'ai pas trop dévié de mon objectif initial, doit se trouver quelque part dans le texte ci-dessus. (et ne me remerciez pas pour avoir sauté des paragraphes, c'était juste pour mieux me relire, car je me relis oui oui...) |
 | J-C, 08.10.2001 à 15:33 | 7092 |
|  |  | en resume, pour don.
et.... bien. voila, je pense que ca reflete assez bien le propos de Claude. neanmoins, je ne saurais trop vous conseiller de lire l'integralite du texte de Claude. sans queue ni tete (pas Claude, hein !, son texte), completement delirant, a la limite de la folie mais pourtant tellement drole.
change pas de main, Claude !
At'chao ! |
 | |  |  | Et allez zou c'est reparti pour un tour, à la manière d'un chtit n'enfant tout heureux qui aurait attrapé la queue du mickey, ses deux petites jambes bien tendues, perché sur son cheval de bois, les yeux rieurs et les joues rouges d'émotion à l'idée d'avoir pu enfin attraper cet appendice dégrafable synonyme de prolongation de ce bonheur rotatoire, et ce, au nez et à la barbe de tous les autres enfants, tous plus forts et plus grands que lui et qui d'habitude lui donnent des coups de pieds et lui piquent ses billes dans l'enfer récréatif de cette cour d'école bétonnée; mais aujourd'hui c'est lui le plus grand, c'est lui le roi, gnahahahahahah....
Donc disais-je avant d'être une nouvelle fois interrompu par une de ces disgressions qui vous tombent dessus sans prévenir, telle la fiente d'un pigeon farceur mais néanmoins invisible au regard courroucé de la pauvre victime de cette mésaventure sur son blazer tout neuf, voici ce sujet reparti pour de nouvelles aventures improvisées au fil du parcours léger et aérien bien que parfois hésitant de mes doigts surmon clavier tel des poulets affamés venant picorer sur les touches le grain de la sainte logorhée.
De nouvelles aventures certes mais pour quoi faire? Ce sujet est-il d'une inutilité capable de faire passer l'apprentissage des différentes langues régionales du zimbabwe occidental à l'école primaire pour un monstre impérieux de nécessité? A cette question certes très intéresante mais qui nécessiterait pour une réponse valable et recevable une argumentation longue et haletante et dont les circonvolutions parfois hermétiques risqueraient de perdre le lecteur éventuel dans des abîmes de perplexité rappelant par leur néant vertigineux, la réflexion philosophique sur l'épistémologie de la pensée récursive dans les chansons de Stone et Charden, je répondrais simplement presque.
Quoi? mais ça y est en plus d'un style plus lourd et maniéré qu'un hippopotame inverti préférant les sorties disco avec quelques éphèbes à une sortie salle de cinéma obscure avec sa voisine de palier, maintenant il fait des phrases qui ne veulent plus rien dire... "je répondrais simplement presque." Ah oui mais non!
C'est juste que je voulais dire par cette réponse certes elliptique que ce sujet ne sert presque à rien mais pas complètement. Et d'un, il me permet de vider ces abcès verbieux en bloc, me dispensant par la suite de devoir m'épancher dans une dizaine de sujets différents, car tel un chihuahua bien élevé par sa maîtresse, je fais où on me dit de faire (bien que parfois je me laisse aller à quelques exceptions mais bon, c'est quand mémère ne regarde pas...), mais surtout ce sujet n'a qu'un but, modeste et ambitieux à la fois: celui de divertir, à la façon d'une soirée télé devant l'intégrale des passages de Claude François dans les émissions de variétés entre mars 1971 et janvier 1975 (programme réjouissant s'il en est), de divertir et rassurer. Rassurer, car je prouve que l'on peut être bête sans être méchant et que l'on trouve toujours aisément plus con que soi (moi j'ai trouvé mais je dirais pas qui...). Divertir, car il est bon de s'aérer l'esprit avec les inepties prononcées par un individu sagement planqué derrière son écran, tel un fonctionnaire du discours creux et ronflant mais dont les horaires seraient d'une flexibilité à faire palir de rage les meileures perches de fibre de carbone, instrument essentiel de la quête ephémère des cieux de l'olympisme des sauteurs à la perche justement. Au diable les aigris, épuisés à comprendre ce que je raconte et qui trouvent que je monopolise le temps de parole, je me bats pour une cause juste, faire sourire ceux qui n'ont pas le moral et les autres aussi devant face à l'océan quasi ininterrompu de mes insanités.
Si vous avez comme moi remarqué que je n'accordais guère de crédit à mes propos, et que je ne suis pas tendre avec moi-même, à la manière d'un miroir déformant et malhonnête devant la beauté exquise de la prime fleur qui s'épanouit devant lui, dites vous bien que moi aussi ...je m'aime bien. |
 | |  |  | Le résumé? de ça? ça se résume çà? c'est possible? Voyons voir.... Faut vraiment que je fasse tout ici, l'original et le résumé.
C'est-à-dire qu'il va falloir que je me relise là... et euh...
Bon résumons: Episode 178: "le débaltéreur fou a encore frappé. Dans une tentative désespérée pour sauver ce sujet, il se lance encore une fois dans une improvisation débridée, mais perd vite le fil de ses pensées, fil dont on peut douter qu'il ait jamais existé d'ailleurs, c'est pourquoi il reviendra dans un prochain épisode pour tenter de faire pire..."
Suite au prochain épisode...
Ca donne envie hein?...
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 | |  |  | Le résumé se fait attendre... |
 | |  |  | Bon, il s'agit de ne pas laisser tomber ce sujet alors qu'il entamait à peine sa résurrection tel un Messie éthylique revenu parmi nous pour nous abreuver d'incantations débilitantes et divagatoires.
Aussi, tel le titan Atlas, condamné par Zeus à porter les cieux sur ses épaules pour l'éternité, je soutiendrais ce sujet tant que les forces ne m'abandonneront pas telles des rats courageux mais pas téméraires fuyant le navire certes confortable mais dont le gîte inquiétant n'est porteur que de présages d'une noyade aussi assurée que certaine. C'est pourquoi je persiste et signe, je m'entête comme un spermatozoïde obstiné face à l'ovule tant désirée et qui ne trouvant pas la clé ne peut que continuer à chercher car c'est pour cela qu'il est programmé et que pasque bon, il est là tout près du but et que ce serait trop dur quand même après tant d'efforts et tant de camarades tombés sur les champs de bataille de la fécondité et que s'il rentre bredouille l'adjudant va pas être content et qu'il va encore être de corvée de chiottes à la brosse à dents...
Mais je m'égare, je perd le fil de ma discussion tel une Ariane prise d'Alzheimer oubliant de guider le Thésée que vous êtes dans le labyrinthe de mes pensées anarcho-bordéliques...mais c'est bon, ça y est j'ai retrouvé ce fameux fil qui me permettra, à la manière de Pénélope de reprendre plus tard mon ouvrage que j'aurais pris soin de détruire moi même en appuyant sur alt+F4 mais non ce serait trop bête quand même, consentir plus d'effort à cette prose inohérente qu'à la lecture des plus belles pages du regretté Barusch Spinoza, oublier toute décence telle une vieille rombière tropézienne ayant absorbé par erreur le cocktail d'amphetamines et de lsd du jeune cinéaste à la mode croisé lors d'une réception maffio-mondaine; oui, toute cela pour en arriver où? oui où?
Tout cela pour en arriver au point que là je me suis vraiment perdu comme un pigeon voyageur détourné de son devoir de messager épistolaire par la subite inhalation des phéromones d'une quelconque poulette (ou plutôt pigeonnette) des environs en mal de l'amour d'un grand aventurier buriné au regard clair et fier. Je vais donc me retirer sur la pointe des pieds tel un papa consciencieux ayant réussi à endormir le petit enfant chéri que vous êtes à mes yeux en dix minutes top chrono, avec le sentiment du devoir accompli. |
 | |  |  | Traduction de ce que vient de dire J-C : "On t'aime bien quand tu dis des conneries, Claude!"
Moi aussi, j'aime bien Claude quand il est con. Je l'aime bien aussi quand il ne l'est pas, ou plutôt je l'apprécierais sûrement tout autant s'il ne l'était pas, quoiqu'il me ferait évidemment moins rire. Mais bon, MR Claude est ce qu'il est, et ça le dispense d'être ce qu'il n'est pas. Comme disait Hamlet, le prince danois qui avait tant de mal avec son Oedipe, two B or not two B, that is tne question (il n'arrivait jamais à se souvenir du numéro de son appart'). |
 | J-C, 01.10.2001 à 18:12 | 6772 |
|  |  | ah mais Claude, j'ai pas dis que tu etais. j'ai dis que si tu devenais un homme politique tu serais vachement dangereux car ton talent, si l'on peut l'appeller ainsi, a le merite d'etre maitrise et surtout conscient.
faut-il aussi preciser que ton auditoir, c'est-a-dire nous, les Bulledairiens, te connaissons et ne tombons pas dans le piege du chant des sirenes. du moins je l'espere.
pour ma part, j'ai toujours plaisir a lire ta prose qui a le merite de m'emmener au-dela de l'absurdite et de me vider temporairement l'esprit. et puis comme en plus je suis totalement incapable de faire pareil, tu as droit a mon respect.
At'chao ! |
 | |  |  | Ah oui, le résumé pour les petits joueurs...
Comme dirait J-C, je suis armé mais le flingue n'est pas chargé... %)))
Totalement innoffensif en fait... %)))
Vous m'aimez toujours? |
 | |  |  | Et bien dites moi... c'est toujours un plaisir de voir à quel point quelques mots somme toute assez insignifiants, vous en conviendrez tels la contribution d'un pet d'acarien en plein salon du lisier et de l'épandage, peuvent susciter de tels commentaires, car si J-C me compare à un homme politique, comparaison sur laquelle je reviendrais au cours d'un développement ultérieur de mon argumentation afin d'esayer de suivre au mieux le chemin le plus court au beau milieu de l'Amazone de mes pensées, force est deconsater qu'il est en quelque sorte mon alain duhamel ou mon jean-pierre elkabach de part l'analyse qu'il a eu de mon discours, aussi fine et argumentée qu'un débat de lanceurs de poids au sujet de la mouvance post-moderniste gothique dans la philosophie moyen-orientale, en tout cas arrivant au même résultat: c'est n'importe quoi!
Je voudrais maintenant revenir sur ce statut d'orateur qui semble me coller à la peau, tel une mouche un peu gourmande se posant sur une goutte de sirop d'érable. Il y a pour moi une différence fondamentale entre ce queje vous dis ici maintenant présentement en ce moment même et le discours d'un homme politique bêta, euh non lambda, je ne voudrais être considéré comme un vulgaire poujadiste sans respect aucun poutrces fiers représentants de nos institutions et garants de la démocratie. Cette différence saute aux yeux comme Bubka à la perche: en effet si le résultat final est le même à savoir un ennui et une incompréhension digne de la lecture des essais philosophiques de Kierkegaard dans la traduction moldavo-tchétchène par un traducteur dépressif, le processus de création est complètement différent, au moins autant qu'une coccinelle et un éléphanteau utilisant Biactol (qui n'a donc plus de points noirs), les discours politiques sont le résultat d'un processus réfléchi et organisé exécuté par des gens payés pour ça et qui s'ils ne comprennent peut-être pas toujours ce qu'ils disent ont au moins le mérite de faire comme ci, alors que mes monologues sont plutôt le fruit blet à peine éclos d'une genèse bordélique et irréfléchie dans une écriture automatique où les seules contraintes sont d'essayer de placer le plus de comparaisons s'enlisant dans la vase des lagunes de mon esprit obscur et d'éviter le plus possible ces fameux points, nécessaires dans la logique syntaxique occidentale car bouées de sauvetage de la respiration de l'orateur et de la compréhension de l'auditeur. Tout ça pour dire, dans un résumé qui tentera d'être bref mais néanmoins court et concis que si vous êtes arrivés jusqu'ici vous avez bien perdu votre temps mais j'espère queça vous a plu.
Maintenant, que ceux qui ont compris lèvent le doigt, et aillent prendre quatre oui cinq aspirines à l'infirmerie... quoi? oui ever, tu peux en profiter pour aller aux toilettes, non pas dans celles des filles, même Thorn n'y va plus depuis que Léon les a piégées...
MR_Claude ou l'art de rendre incompréhensible ce qui n'avait déjà aucun sens... |
 | Thorn, 01.10.2001 à 16:45 | 6752 |
|  |  | Il parait qu'un bon discours, c'est comme une mini-jupe : ça doit être assez court pour retirer l'attention, mais assez long pour cacher l'essentiel. Certains reconnaitront mes sources (pas très glorieuses), mais bon, j'aimais bien cette comparaison...
Ever, J-C a dit qu'il aimait bien Mr Claude, même s'il ferait un très bon politicien, mais c'est pas sa faute, il est né comme ça. Si tu veux un résumé de mon résumé, ça va être dur, mais bon, on pourrait compresser ça en quelques mots :
Allez, Ever, t'es bien gentil quand même... ;o))
|
 | |  |  | Je pourrais avoir un résumé de ce que dit JC ? J'ai la flemme aussi de le lire. |
 | J-C, 01.10.2001 à 16:36 | 6748 |
|  |  | ben en resume, Claude il dit "oui, merci" entre ces deux mots, c'est du vent, du vide, du rien. au mieux de la bouillie pour les chats. Claude ferait tres bien en homme politique a impressioner les foules avec son verbiage et sa faculte a faire du bruit avec sa bouche. je le vois bien devant un parterre de pseudos intellectuels a tendance gauche caviar qui l'acclameraient d'autant plus qu'ils ne comprendraient rien a son discours.
Claude a cette faculte peu rependue de focaliser sur lui l'attention des masses bien pensantes. talent qui, s'il est mal utiliser peu transformer une soiree de la jet-set decadente en meeting fascisant.
moi, je l'aime bien Claude. change pas mais fait gaffe, t'es arme.
At'chao ! |
 | |  |  | Un défi d'un mètre 80? Un peu haut, ça, comme gageure! |
 | Thorn, 01.10.2001 à 11:11 | 6730 |
|  |  | On peux toujours essayer... Je suis sûre que c'est un défi à ta hauteur, Leon ! N'est-ce pas ? ;o)) |
 | |  |  | Un résumé d'un post de MR Claude? Thorn, autant essayer de condenser les pensées de Pascal dans une notice pharmaceutique. :o) |
 | Thorn, 01.10.2001 à 0:03 | 6724 |
|  |  | holàlà... j'ai la fleeeeeeeeeeeeeeemme de lire le post de Mr_Claude.... Bon, personne ne peux m'en faire un résumé ???? |
 | |  |  | Pas mal, Claude, mais le mien est plus facile à caser. :o)) |
 | |  |  | Oui, don, je ne peux te tenir rigueur de ne vouloir que ma perfection car telle un professeur de danse classique pour élèves prodiges empreint des méthodes pédagogiques sévères mais justes de l'ex union des républiques socialiste soviétiques elle ne cherche qu'à tirer de moi que la sève de l'érable de la perfection. Par ailleurs, un peu d'exigence n'a jamais fait de mal à personne car c'est l'exigence qui permettra à ce sujet de se hisser vers les sommets inexplorés de notre inconscient débilitant mais néanmoins imaginatif comme l'artiste pris d'une soudaine illumination par absorption de lsd avarié. Par ailleurs, écrire le discours d'entrée à l'académis ne paraît guère être une tâche plus insurmontable que de se lancer à faire des galipettes dans la descente d'un escalier métallique en colimaçon plus aux normes depuis 1966 (en tout cas moi je ne le ferais pas) car à ce point ci du discours, les vénérables académiciens gardiens du temple de la connaissance linguistique et des bienséances du la grammaire ainsi de l'orthodoxie des bonnes moeurs épistolaires tout autant que d'un conservatisme forcené qui leur donne le besoin irrépressible de parader dans un uniforme de style prénapoléonien qui n'a rien à envier aux plus belles crétions d'un couturier moldave dépressif à tendance schizophrènes et paranoïaques et dont je suis sûr que de toute façon ils auraient pas ma taille; à ce point-ci du discours disais-je ces fiers représentants de l'élite intellectuelle littéraire auraient déjà cessé de luter contre les effets pervers de leur âge respectable et respecté sur leur faculté deconcentration face à des phrases d'une telle longueur dans un style rappelant les plusz belles pages d'Anatole France, ou pour faire une comparaison musicale, si vous me permettez une telle audace de mélange de styles tel un touche-à-tout de la comparaison lyrique, les plus grandes envolées pompiéro-lourdingues mais cependant fruitées et pétillantes des symphonies Wagnériennes et ces grands hommes de carnaval littéraire sombrent dans un profond sommeil réparateur et apaisant ou s'éloigne la vision cauchemardesque de cet orateur discret subtil et élégant tel un phacochère pris de coliques après un repas trop lourd et trop épicé, et seul pourra les tirer de ce sommeil la chute brutale du cours de ma voix montrant ainsi tel un sémaphore de la ponctuation que mon discours est sur le point de s'achever et que pour toute leur attention sans faille et tout le reste je leur dis MERCI!
(et voilà moi aussi il est fait mon discours) |
 | |  |  | Mais ramonash, c'est mon rôle d'être dure avec claudie. Lui le sait très bien, aussi il n'en prendra pas rigueur n('est-ce pas claudie ?), qaunt à Léon, ca sort de mon domaine là... |
 | |  |  | J'ai déjà rédigé mon discours d'entrée à l'Académie.
"Qu'est-ce que je fous là?"
(Voilà, c'est tout!) |
 | compte supprimé . 29.09.2001 à 21:53 | 6706 |
|  |  |
>pas mal pour un début Claudie, mais le style manque encore un peu de rigueur. La meilleur facon de progresser étant l'entrainement intensif..tu sais donc ce qu'il te reste à faire ;o))>
MR_Claude, je trouve Don un peu dure avec toi, le Nobel de littérature c'est facile à avoir le plus dur c'est d'ecrire le discours pour l'académie et c'est dans ce domaine que tu as les meilleures chances, sisi !
((o: |
 | |  |  | pas mal pour un début Claudie, mais le style manque encore un peu de rigueur. La meilleur facon de progresser étant l'entrainement intensif..tu sais donc ce qu'il te reste à faire ;o))
Quant à toi léon, tes encouragements me font bien plaisir, ceci dit faudrait voir à pas trop m'en demander => Don n'a pas vocation à remplacer les absents, hein !!:o)) |
 | |  |  | Toujours les mêmes qui ont du mal à faire court, hein, Claude? :o))
En tout cas, la remontée de ce sujet nous permet de revoir notre chère Don Lope, notre Ysengrine qui nous manquait un peu sur ce forum, surtout depuis que Nurika a pris ses distances pour raisons estudiantines, réduisant par là même la participation féminine à Bulledair, bien que Thorn, Nyl et Miss 27/11 se chargent de nous rappeler avec talent que l'hémisphère masculin n'est, Dieu merci (ou plutôt, Eve merci) pas le seul à peupler la surface de notre bonne vieille terre. Allez, Louïa! |
 | |  |  | Oh le zouli sujet qui remonte tel un parachutiste pris dans un courant ascenscionnel (euh... ça fait ptet peur comme comparaison là...), ENCORE un forum sur n'importe quoi faudrait-il dire ar il faut bien l'avouer, quand bien même ce sujet a été lachement abandonné alors qu'il avait connu un départ au moins aussi intéressant qu'un reportage sur la fabrication des appeaux pour ouististi nain des lagunes d'asie centrale (espèce disparue pour cause de non existence), notre source de n'importe quoi n'en a pas été tarie pour autant et telle une corne d'abondance de la connerie nous déversâmes notre flot d'incongruités ici et là, faisant en cette occasion preuve d'une faculté d'adaptation digne des plus grands maîtres caméléons de la discussion absconse et obtuse. Mais c'est néanmoins avec un plaisir non dissimulé, tel l'enfant aux joues porteuse d'un regard émerveillé devant l'apparition du père Noël dans la sacro-sainte cheminée ou bien à la porte du cinquième dans le cas d'un hlm au chauffage électrique, que j'acueille le retour de mojn everest mental parmi nous et me transforme pour l'occasion en groupie en extase devant une quelconque star de rock fm aseptisé, et je fais un triomphe incomparable défiant et surpassant dans l'intensité les plus belles manifestations de joie réveillonesque et autres fêtes populaires au retour de ce sujet parmi l'élite du n'importe quoi. |
 | |  |  | Bon voilà la rentrée, l'automne, les cours...bref l'emmerdement le plus total. Il est donc temps de reprendre ses anciennes habitudes anti-ennui : raconter n'importe quoi ici pour le plaisir de raconter n'importe quoi. Ceci dit avant de partir ds n'importe quelle direction, je tenais à signaler à la gente demoiselle nurika, que ses photos (oui les fameuses) étaient enfin arrivées à leur destinataire (apres de pultiples pepiples). oui je sais nous ne sommes pas ds la rubrique chiens perdus, mais ne sachant plus ou joindre cette charmante nurika, je me permet un petit debordemant sur ce forul au non sens bien connu de nous tous... |
 | |  |  | après avoir consulté la page chiffre, je viens de me rendre compte que j'avais déjà tapé 260 902 caractères. Sachant qu'un caractère mesure en moyenne 1.5 mm et que j'ai tapé 260 902 caractères sur ce forum depuis le 21 avril 2001 (donc 5 mois) et que mon premier message était le 9 ème du forum. Sachant également que le premier message a été posté par Manu et était
Période d'essais de ce forum, par manu le 21-04-2001
Allez-y, triturez le dans tous les sens ;o))) Et pis bon week-end !
Et sachant enfin que parmi les neuf premiers messages (y en a pas de numéro 10 !) Manu en a posté 6, moi 1 et joe 2...
J'arrive à la conclusion que si l'on mettait tous mles caractères bout à bout, cela ferais exactement 391 mètres de long soit quasimet la distance de la terre à la lune (euh... en fait je me rend compte que pas tout à fait...) Incroyable non ? |
 | nurika, 28.08.2001 à 13:51 | 4879 |
|  |  | Galerian, Cardi et maintenant Evereverever... Mais qu'est-ce qu'ils ont tous? Il est temps que l'automne arrive...
Et pis c'est vrai, le Nutella c'est bon pour rien!
...mais c'est bon! |
 | |  |  | LE FOUET ! LE FOUET ! LE FOUET !
De Paul Prédault évidemment, je ne comptais pas faire de mal à Nurika, pensez-vous, chacun connait mon admiration pour les jolis popotins, je serais bien incapable d'y porter la main ! Enfin si, c'est pas ce que je voulais dire, je serais incapable de les abimer plutôt !
D'un autre côté, il paraît que le Fouet de Paul Prédault c'est pas top pour les jolis popotins. Mais bon, c'est pas pire que le nutella... |
 | |  |  | Laissez tomber le fouet, c'est un instrument d'un autre temps! Je vais plutôt confier votre amie Nurika à mes chauves-souris, elles en prendront bien soin. Elle en ressortira calmée. Un peu pâlotte, mais calmée! |
 | |  |  | c'est pas moi madame, j'ai rien dit j'ai rien fait, enfin, j'ai essayé, je me suis retenu... ou alors je l'ai pas fait exprès.
En tout cas, bon retour parmi les fous %))) |
 | |  |  | Sachez moderer vos pulsions jeunes gens. Je concois que vous puissiez en vouloir à cette chere nuirka, mais tout de meme : le fouet...Jamais je ne vous aurais cru capable de telles cruautés !! Ah ce retour de vacances s'annonce déjà bien pénible (toute votre éducation à reprendre en main...) |
 | |  |  | Bonne réponse élève Nurika ! Mais je te soupçonne d'avoir copier sur une autre sujet... Hum, à tout hasard et à la demande général des élèves LE FOUET !!!! Défroque toi et apprête toi à souffrir AH AH AH AH ! |
 | nurika, 07.07.2001 à 14:05 | 1611 |
|  |  | C'est la suffisance concentrique, m'sieur! :o)) |
 | |  |  | Et bien réponds ! Ce n'est pas le tout de savoir répondre, encore faut-il le faire ! tu sais que le vide ou l'absence m'insupporte ! |
 | nurika, 07.07.2001 à 13:26 | 1605 |
|  |  | Moi m'sieur, moi m'sieur! Je sais la réponse, m'sieur!! |
 | |  |  | Au coin Deck-6PO pshiiiiii, tu vas payer pour ton misérable compagnon pshiiii et estime toi content que je ne t'envoie pas dans un trou noir psshiiiiiii |
 | Deck, 07.07.2001 à 13:01 | 1586 |
|  |  | Que messire m'excuse, mais mon camarade R2D2 me signale qu'il a malencontreusement oublié ses manuscrits dans sa demeure. Il vous prie très humblement de l'en excuser, il n'a pu apprendre de manière correcte les leçons que vous nous enseignez, votre honneur, sainteté suprême.
Et tais-toi un peu, R2D2, notre seigneur est déjà bien aimable de te laisser vie sauve, alors garde ton mécontentement pour toi ! |
 | |  |  | pshiiiii Asseyez vous les enfants pshiiit, D2R2, au tableau, pshiiiii, récite moi le poême en sonnerie de réveil matin pas paul Verveine pshiiii ON SE TAIT DANS LE FOND ! pshhiiii Ah mais c'est encore le capitaine solo qui envoie des boulette sur luke, pshhhiiiii, je vais appeler tes parents, tu vas voir garnement ! pssssshiiiii |
 | Deck, 06.07.2001 à 23:18 | 1557 |
|  |  | Mouais, mais son altesse fait peur aux mômes, avec ce casque. Pour un instit, c'est pas l'idéal... |
 | |  |  | Ah purée, c'est vriament pas pratique ce casque à la con pour se laver les dents... Et en plus si je l'enlève je meurt, sont pas doués dans l'Empire pour concevoir des trucs aussi otrdus. Bon, au moins quand je fais de la mobilette, je ne suis pas en infraction, c'est toujours ça de gagner. |
 | Deck, 06.07.2001 à 12:41 | 1526 |
|  |  | Princesse leïla Nurika, je sais encore ce que je dis. Je ne parle pas de l'autre robot de "La guerre des étoiles", je parle du mien robot et ami R12D12 gordini ! Nous sommes tous deux issus de "Naguère, les étoiles..." |
 | |  |  | Ah oui mais non Obiwan Deckobi, je dois absolument abattre Dark Verlandor, le sort des Wacky-Ewok en dépend. |
 | |  |  | Mais non, princesse Leila, t'as rien pigé encore, c'est pas Deck mais Z6PO qui a emprunté le pseudo de Deck. Bin oui, avec le régime dictatorial de manu alias chewbaka (désolé pour l'orthographe) on peut pas changer de pseudo. Bon, je retourne dans mon vaisseau spatial, j'ai une armée à diriger moi ! |
 | nurika, 05.07.2001 à 19:18 | 1508 |
|  |  | C'est pas R2D2? (sans vouloir te contrarier, Deck) |
 | Deck, 05.07.2001 à 18:59 | 1504 |
|  |  | De plus, m'sieur Claude Luke Claude, vous bénéficiez de trois semaines de dépravation totale avant le retour de votre conscience. Comme me le siffle R12D12, c'est le moment d'en profiter. Swifff swiffff swiifff |
 | |  |  | Ah Ah Ah sacré Mr_Claude, je te reconnais bien là, déjà bourré avant même le premier verre !
Rejoins-moi dans le côté obscur... A deux nous pouvons faire de grandes choses ! Laisse parler tes instinct, sens la haine monter en toi... Je dois t'avouer un terrible secret : e suis ton père monsieur_Luke_Claude_skywater ! |
 | |  |  | non non non, je dois résister....
Aaaaaaaaarghhhhhh....
mphhhhhhhhhhhh......
je sens le coté obscur s'immiscer en moi....
fort je dois être, ne pas dans la dépravation sombrer je dois... |
 | |  |  | Mais laisse ta conscience tranquille Mr_Claude, elle a une mauvaise influence sur toi je trouve ! Allez, viens avec moi, on va faire le tour des bars qui bordent la voie ferrée comme tous les samedis soirs. Et si on trouve pas une gentille donzelle pour jouer avec nous, on arrivera bien à se débrouiller à deux va, ce sera pas la première fois ! |
 | |  |  | Je tiens à m'excuser auprès de ma conscience mais quand je me trouve avec everland, je peux pas m'en empêcher, ce gars là a une influence terrible sur moi... |
 | |  |  | Don ne sait pas si elle doit etre contente de cette stupéfiante avancée de c***eries...Mais à tout hasard elle resouhaite bonnes vacances à ceux qu'elle a loupé ce soir meme, et puis meme à ceux que je n'ai pas loupé (tant que j'y suis : soyons charitables ;o)) |
 | |  |  | Ah bin j'étais pls là Mr_Claude, mais là maintenant je suis là, et ça ça vaut le coup d'être dit, d'ailleurs je le dis ! |
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