argh , ah ouais dur,
bon le liens c'etait "different trains", de steve reich (tres facile a trouver , mais je pense que tu l'as deja)
la sur la video le truc marrant c'est que l'orchestre est disposé de profil, comme assis dans un train.
l'accompagnement du morceau de glass posté avant , m'a tout de suite fait penser a ce morceau de reich , mais bon je sais pas lequel a été fait en premier, vu que les deux se sont influencé mutuellement durant toute leur carriere.
et son copain Steve Reich (c'est vraiment cool youtube!)
nan, c'est pas cool quand c'est interdit en chine depuis une semaine; page blanche, c'est comme si ca n'existait plus; mes proxy traditionnels (genre anonymouse) ne sont pas assez puissants pour accepter des videos ; un petit malin a cree specialement youtubeproxy , qui a fonctionne 2 jours , le temps de se rendre indispensable , & qui depuis affiche en permanence "en surcharge momentanee, veuillez reessayer dans quelques minutes, ou bien abonnez-vous(1,5$/jour) pour eviter ce probleme"
grr
pas glop de pas glop
claire, à chaque écoute c'est bluffant.
C'est d'ailleurs pour ça que je le laisse reposer quelques mois avant de me le remettre, je ne l'apprécie que mieux.
c'est Tes, du hip hop bien sec de chez Lex records, un peu dans la veine d'un Dizzee Rascal mais un gros zeste de talent en plus, surtout dans les instru qui déboitent quand même énormémant.
PS : tous les visuels de chez Lex déboitent, c'est une habitude.
C'est fou, sur Virgin Music ils ont un stock incroyables de Fats Waller, rien à voir avec iTunes ou ce qu'on peut trouver en Fnac. Ah, ses morceaux de jeunesse sur orgue, quel bonheur !
Moi je n'écoute que celui de Barenboim, non par un snobisme quelconque mais par inadaptation, parce que c'est la version qu'écoutaient mes parents et que, depuis lors, toute autre interprétation me semble mauvaise (alors que je n'ai aucune preuve que "ma" version soit bonne !). Mais je vais essayer de remédier à cet état de fait (c:
mes parents écoutaient Karajan et puis, quand j'ai voulu me le faire offrir, c'est mon père lui même qui m'a donné l'occasion de découvrir Gardinert. Je te comprends, j'ai eu un peu de mal au début tellement la différence est grande, mais après !!! quelle joie !
A côté, Karajan fait un peu amateur. Basique, quoi.
Voilà le genre d'entreprise sur laquelle je n'aurais pas misé un eurocent si le hasard ne l'avait pas placée sur mon chemin. En bon fan de Hendrix je suis naturellement réticent à tout ce qui ressemble à hommage, reprise, revisit des classiques du guitare héraut des guitar heroes et pourtant ... Je flâne au rayon dvd de la fnouc de mon quartier, et, venant du rayon voisin, tombe dans mes oreilles distraites une avalanche sonore électrifiée qui m'est familière et qui pourtant sonne d'une manière inédite. Je reconnais le fameux Slight Return de Hendrix. Je m'approche de de la source et me retrouve devant un écran plat où un gros lard avec un tête de méchant s'excite sur ce qui semble une guitare jouet. Je note alors son nom qui fait rappeur bidon. Mais je suis conquis par cette relecture à la fois fidèle et personnelle de Hendrix, mariant la virtuosité du Maître avec un son un peu crade, sans sophistication.
Moi j'ai essayé en moto mais je n'ai pas trouvé de lecteur sur cette machine. Au prix qu'on m'en a demandé, pourtant...
En ce moment c'est celui de Bohm, mais en fait je préfère 100 fois celui de Gardiner.
Moi je n'écoute que celui de Barenboim, non par un snobisme quelconque mais par inadaptation, parce que c'est la version qu'écoutaient mes parents et que, depuis lors, toute autre interprétation me semble mauvaise (alors que je n'ai aucune preuve que "ma" version soit bonne !). Mais je vais essayer de remédier à cet état de fait (c:
Voilà le genre d'entreprise sur laquelle je n'aurais pas misé un eurocent si le hasard ne l'avait pas placée sur mon chemin. En bon fan de Hendrix je suis naturellement réticent à tout ce qui ressemble à hommage, reprise, revisit des classiques du guitare héraut des guitar heroes et pourtant ... Je flâne au rayon dvd de la fnouc de mon quartier, et, venant du rayon voisin, tombe dans mes oreilles distraites une avalanche sonore électrifiée qui m'est familière et qui pourtant sonne d'une manière inédite. Je reconnais le fameux Slight Return de Hendrix. Je m'approche de de la source et me retrouve devant un écran plat où un gros lard avec un tête de méchant s'excite sur ce qui semble une guitare jouet. Je note alors son nom qui fait rappeur bidon. Mais je suis conquis par cette relecture à la fois fidèle et personnelle de Hendrix, mariant la virtuosité du Maître avec un son un peu crade, sans sophistication.