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© Soleil

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Tome 1
ScénarioTakada Rie
DessinTakada Rie
CouleursNoir et Blanc
Année2007
EditeurSoleil
CollectionSoleil Manga
SérieAkari - Hadashi no Aitsu, tome 1
autres tomes1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9
Bullenote [détail]

Akari Hamada aurait pu vivre une adolescence normale sans la banqueroute de la société de son père. Ruiné et endetté, ce dernier envoie sa fille “en paiement” auprès de la société Otomo à qui il doit plusieurs millions.
La jeune fille pensait alors partir étudier dans une prestigieuse école pour riches héritiers. Elle deviendra la bonne en charge du nettoyage du dortoir des garçons !
Mais elle va surtout faire la recontre de Minato Otomo, un beau jeune homme cachant plusieurs secrets....

 

1 avis

herbv
Risquant d’être noyé dans la masse des sorties actuelles s’adressant aux (très) jeunes filles, Akari réserve pourtant une bonne surprise que ne laissait pas présager un résumé de quatrième de couverture particulièrement peu engageant. En effet, la base de l’histoire peut faire craindre le pire : Akari Hamada est envoyée par son père, ruiné et pourchassé par les créanciers, dans une riche famille bourgeoise, croyant aller continuer ses études dans un lycée privé. Mais très rapidement, ses illusions sont dissipées par celui chargé de la recevoir, Minato Otomo, le fils de la famille d’accueil. Akari est là pour travailler comme bonne afin de rembourser les dettes de son père. Pire, le beau Minato semble avoir un caractère exécrable.

Comme on peut le voir, on semble être en présence d’un shôjo dont le classicisme est à fuir à moins d’être particulièrement amateur du genre. Surtout que les différents personnages semblent tous particulièrement stéréotypés dans leur comportement. Mais rapidement, on s’attache à Akari, en battante qui ne se laisse pas abattre par les coups du sort, et à Minato, qui cache un grand secret en plus d’un cœur d’or et d'une grande générosité sous un aspect froid. Certes, ce premier volume ne permet pas de dépasser certains clichés comme l’incontournable relation sentimentale qui se développe entre l’héroïne ingénue et le beau et ténébreux garçon, sans oublier l’insupportable, riche et belle rivale qui veut s’interposer entre cet amour naissant. Mais cela passe bien à la lecture grâce à un dessin agréable, une narration efficace et une histoire qui progresse rapidement.

Il faut dire que Rie Takada, l’auteure, est une spécialiste du genre que l’on a découvert en France l’année dernière avec H3 School, une œuvre beaucoup plus récente qu’Akari parue au Japon entre 1996 et 1998, en totalisant 9 volumes. Cela se sent à certaines mises en situation un peu brouillonnes et à un dessin encore très classique dans son genre. Cependant, si le succès est au rendez-vous, on peut penser qu’on aura l’occasion de lire ses autres titres, généralement des séries courtes ou des volumes uniques. La version française est de bonne facture, ce qui est toujours agréable en ces temps de bâclage chez de nombreux éditeurs. Il ne reste plus qu’à attendre le volume 2 un peu moins de trois mois pour avoir confirmation des bons débuts de la série.
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