| |
| |
 |
|
|
|
| Le pays d’Amballath, des terres au lourd passé, où sang et pleurs ont déjà coulé. Le roi a rendu son dernier
souffle et la princesse Sabrina est appelée à lui succéder. Or dans l’ombre, de sombres désirs ont surgi, emportant le cœur en métal de la princesse, qui ne survit désormais, qu’au travers d’un cocon mécanique.
Mais le temps est compté, démarre alors une quête pour retrouver le cœur, menée bien malgré eux, par Janus et Seph, deux mercenaires et Hazag l’amanderiste.
|
Mael
| Comment faire un album minable ?
Prenez un dessinateur inconnu à l'époque (créateur par la suite de l'excellentissime Sentai School), 19 ans, jonglant entre sa FAC et une BD faite en un temps limité imposé par un éditeur qui veut se lancer. Le résultat est au niveau de pas mal de BD se trouvant sur le marché, réalisme mangatisant raté. Mais bon dans l'ensemble ça peut se laisser lire.
Prenez un éditeur pressé en mal de scénariste qui décide de rédiger lui meme un scénario extrêmement original : un groupe d'aventuriers (dont une aventurière sexy) voit un méchant voler un artefact à la princesse (son coeur en l'occurence) et au passage le méchant tue la soeur de l'héroine qui décide de la venger. Cela pendant 44 ou 46 pages d'ennui ferme.
Et comme si ça ne suffisait pas, prenez un coloriste débutant (son premier album aussi) qui couvrira de vert, bleu et jaune fluo les pages de l'album. N'hésitant pas à mettre de superbes effets nuages et auras de lumière tirés du logiciel photoshop pour les nuls. Une couleur achevant de massacrer le dessin qui se suffisait bien à lui même...
Puis à ça on ajoute une distribution ratée et une impression très moyenne, ça fait un album minable.
Heureusement par la suite la série s'améliore mais dans cet album le seul intérêt ce sont les 2 pages de gardes qui sont très rigolotes... Mais est-ce là le principal caractère d'une BD ?
|
|
|
|
|
|
| |
| |
