DADAbuk n’est ni une bande dessinée ni tout à fait un livre d’art.
L’histoire est éclatée et indisciplinée comme le mouvement DADA a pu l’être.
En ce sens il est moins un hommage qu’une participation au mouvement, un livre-manifeste. Francis Picabia, Marcel Duchamp, Tristan Tzara, etc. ne voulaient ni ne doivent être vus comme des maîtres à penser. Ce sont des boules d’énergie qu’il faut recevoir et transmettre, ce sont des ondes dont l’écho se propage encore aujourd’hui.
Les DADA sont drôles, sinistres, absurdes et clairs, vivants surtout. Pour les passionés et les curieux, un vrai bonheur.