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© Noeve Grafx

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La Pomme Prisonnière
ScénarioTsuruta Kenji
DessinTsuruta Kenji
Année2022
EditeurNoeve Grafx
SérieOne-shot !
Bullenote [détail]

 

1 avis

herbv
Il y a un an une sorte d’Objet Manga Non Identifié est sorti chez Noeve Grafx sous un titre étrange : La Pomme prisonnière. Comme l’explique Kenji Tsuruta dans sa postface, il s’agit en quelque sorte de la continuation sous forme de manga de ses travaux d’illustrations publiés dans un art book intitulé Hita hita. Il se révèle très rapidement que cette bande dessinée est en fait un improbable croisement entre deux passions de l’auteur : les chats et les filles nues. Le titre a été prépublié dans le mook Rakuen Le Paradis (un recueil périodique d’histoires courtes destiné essentiellement à un lectorat féminin, trois numéros par an) entre 2010 et 2014.

La Pomme prisonnière est donc un manga particulier, « un peu spécial » comme le dit lui-même l’auteur. Pour commencer, il est impossible de présenter l’histoire car il n’y en a pas. En vingt-deux chapitres, représentant seize saynètes sans lien les unes avec les autres (certaines sont très courtes, ne comptant que trois pages), nous suivons les rêves, les cauchemars ou les agissements de Mariel, la détective privée que l'on avait déjà croisée dans le manga Forget-me-not (Casterman, 1999). Le point commun à tous ces petits récits ? Le chat Oni. N’oublions pas les nombreuses apparitions de félidés en plus d’Oni avec, notamment, M. J, Hana et Chee.

Il aurait pu y avoir un autre point commun avec la nudité de notre héroïne. Cependant, il arrive parfois que Mariel reste habillée. Venise aurait pu être un troisième fil rouge, mais la plupart des chapitres se passent dans des ruines à demi immergées qui pourraient se trouver n’importe où en Méditerranée. Quoi qu’il en soit, les chats sont représentés de manière réaliste, leur comportement est incontestablement crédible. Nous pouvons donc prendre ce manga avant tout pour une déclaration d’amour envers la gent féline, mais avec une contrainte : faire une œuvre avec des filles nues, dans la lignée de Hita hita, cet art book fripon où Tsuruta s’en était donné à cœur joie.
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