J'ai un Deug de psycho, ne l'oublions pas. Donc je suis quasi en mesure de deviner le MOI profond de l'auteur qui dessine une jolie demoiselle, avec, juste derrière, un très gros suppositoire. Mais je ne vais pas me focaliser sur l'aspect purement analythique, car en dehors de ces divagations de topiques freudiennes, l'aspect pictural et sémantique de ce crayonné brille par sa maitrise, et du trait et de la couleur. Bravo.