 |
La Presse parle de BD [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]
retour forum
| | | | En gros, y'a un article généraliste sur le marché de la BD.
Puis une longue ITW de JVH et enfin un truc sur le business des produits dérivés (les pilules Long pour les hémoroïdes, les capotes June pour éviter a tout prix d'avoir une descendance comme lui, les traducteurs franco-belges pour parler avec Yuio... enfin toutes ces choses qui parlent de BD sans vraiment en être).
|
| | | | c'est mon boss qui me l'a passé. moi je lis principalement les notices bricolage en ce moment...
|
| | longg, 16.11.2005 à 15:57 | 228925 |
| | | Putain tu lis "Challenges ?
Mais tu fais de la bédé mon vieux, faut te le mettre une fois pour toutes dans la tête hein :) |
| | | | | Dossier BD assez interressant dans le magazine "Challenges" de la semaine dernière... |
| | | | Ai commencé à lire Art Press. J'en reparlerais p'têtre.
Ouais sinon, juste pour signaler que Télérama a l'air de maintenant consacrer quasiment toutes les semaines une chronique à une bande dessinée (aujourd'hui C'Etait le bonheur, avant, Frantico, encore avant je sais plus). |
| | | | | Baptiste : | Pourquoi, c'est comment les réflexions un peu... Art presse ?
Si c'est des envolées philosophiques imbitables, je suis preneur. :)
Mais merci pour ce premier avis, je crois que je vais me laisser tenter. |
imbitable, c'est pas le terme, art press etant assez branché cul:) (bon, on n'en trouve quand meme pas beaucoup dans ce numero; du cul, hein, pas des reflexions de haute voltige qui retombent parfois un peu a coté, meme si elles ont effectué de jolies acrobaties au passage) |
| | | | Pourquoi, c'est comment les réflexions un peu... Art presse ?
Si c'est des envolées philosophiques imbitables, je suis preneur. :)
Mais merci pour ce premier avis, je crois que je vais me laisser tenter. |
| | | | | SeBso : | | J'avais vu le Art presse mais vu le prix, je ne l'ai toujours pas acheté... D'autres avis pour savoir si cela caut le coup ? |
ben, feuillette le chez ton libraire le plus aimable:)
serieusement, art press, qui ne s'est jamais interesse a la bd,( contrairement a beaux arts mag qui l'a longtemps traitee de haut avant de se rendre compte que ca pouvait etre un marché juteux), a fait ce numero hors serie a l'occasion de quelques rencontres. ca manque de bd a mon sens ( a part le reportage de menu, tres drole & intelligent, mieux que ceux de neaud dans beaux arts mag, qui manquent d'ampleur-j'aime bien ce que fait neaud, mais il me semble meilleurs dans la longue duree),mais on y trouve quelques analyses & entretiens interessants.comme il faut plusieurs heures pour lire l'ensemble, & que certains textes peuvent nourire tes reflexions a long terme, on peut dire qu'on peut y investir 16 euros, si on n'est pas rebute par les reflexions parfois un peux...art press |
| | | | | je suis aussi preneur d'avis. |
| | SeBso, 30.10.2005 à 17:39 | 226329 |
| | | | J'avais vu le Art presse mais vu le prix, je ne l'ai toujours pas acheté... D'autres avis pour savoir si cela caut le coup ? |
| | | | Je ne sais pas si ça a déjà été dit mais il y a un ARTPRESS hors série (n°26) spécial BD intutilé Bandes D'auteurs et sous-titré "les territoires explorés en toute liberté par la bande déssinée contemporraine".
Le sommaire est alléchant : 4 parties :
- "grandes et petites histoires" : histoire de la bande dessinée depuis les années 90
- "Questions de forme" : sujet, forme et fond des BD contemporraines
- "Questions de lieux" : BD et art contemporrain
- "Voyages au centre de l'alter" : Tour du monde de la BD aujourd'hui
Je n'ai pas encore tout lu parce qu'il y a quand même 160 pages mais c'est assez intéressant pour ceux qui aime la "théorisation"...15 euros chez tous vos marchands de journaux... |
| | J-C, 28.10.2005 à 16:27 | 226196 |
| | | La grande histoire des mangas
Les Echos Week-End 28/05/2005
Pourquoi les bandes dessinées japonaises ont conquis les lecteurs du monde entier.
Banzaï ! En France, la BD nipponne est en passe de détrôner les bulles franco-belges. Il suffit de surfer sur Internet dans la toile manga ou de passer dans les rayons de la FNAC ou de chez Virgin pour constater le phénomène. Assis par terre ou vautrés dans des sièges, les jeunes lecteurs boivent des yeux sans modération ce que leurs parents considèrent souvent comme des « japoniaiseries ». Ce week-end, ils seront sans doute des milliers à Taifu Festa, à Montreuil, dans la banlieue Est de Paris.
Mais pourquoi un tel engouement pour le manga ? D'abord, parce que cet obscur objet de lecture, publié en noir et blanc, ponctué d'onomatopées et à suivre d'épisode en épisode, incarne avec ses clefs poétiques, prophétiques ou didactiques la culture pop nipponne dans tous ses extrêmes. Ensuite, parce que l'on y trouve une puissance d'évocation plus directe que dans le roman. Enfin, le manga n'a pas de limites. Du coup, dans une production éditoriale des plus prolifiques, le pire côtoie le meilleur. Mais réduire le manga à la pornographie et à la violence serait aussi ridicule que d'aborder le septième art uniquement par les films X et gore.
Icônes virtuelles
Au Japon, la plupart du temps, les mangas paraissent en feuilleton dans des hebdomadaires ou mensuels spécialisés à grand tirage. On les lit, on les jette. Il y a les « shonen », mangas pour garçons, qui abordent le sport, le polar, les arts martiaux, le fantastique et même le comique. Et les « shojo », mangas pour filles avec une tendance surprenante, le « shonen ai », des histoires d'amour entre garçons ! Les fans n'hésitent pas à se costumer (« cosplay ») comme leurs héros préférés, véritables icônes virtuelles. Depuis les années 1980, les sujets se diversifient et recouvrent tous les thèmes : les affres des « salarymen », les romances de lolitas déjantées, l'initiation d'un jeune joueur de go (1) - un succès planétaire - ou les péripéties dans les temps anciens d'un rônin (samouraï sans seigneur, prêt à louer ses services au gré des circonstances). Le très sérieux quotidien « Nikkei » a publié en manga une introduction à l'économie japonaise. On croque aussi des mangas gourmands. Après « Mister Ajikko » (« Le Petit Chef »), la série à succès « Yakitate ! Ja-Pan » (2) avec ses 18 volumes fait le délice d'un large public. Son héros, un mitron, rêve d'être dans le pétrin ! Tokyo TV diffuse chaque semaine un « anime » (dessin animé) de ses aventures. Une grande chaîne de magasins et un boulanger de Kyoto ont mis la main à la pâte en proposant des pains et viennoiseries sortis du fournil manga.
Chez nous, les grands éditeurs qui méprisaient ce genre font aujourd'hui aux mangakas (auteurs de manga) les yeux de Rodrigue pour Chimène, car l'affaire est juteuse. Heureusement, quelques maisons dans cette jungle commerciale tirent leur épingle du jeu. Glénat, Tonkam, Ego comme X, Soleil et Delcourt demeurent à juste titre les références. Beaucoup de jeunes lecteurs français découvrent la culture japonaise par le manga. Au point que certains en apprennent la langue et partent en vacances se « tatamiser » au pays de Totoro.
La très longue histoire du manga n'est pas linéaire. Elle accompagne, de censure en liberté, la « traditionnelle modernité » de la société japonaise, se heurte aux tabous, s'empare des peurs et des désirs. Si le terme manga désigne la bande dessinée japonaise, à l'origine il signifiait littéralement « dessin grotesque », « image dérisoire ». Déjà, au XIIe siècle, les rouleaux satiriques (« choju-giga »), mettant en situation des animaux agissant comme des humains, inventent des effets visuels de mouvement qui seront bien plus tard repris dans le manga et le dessin animé (« anime »). A l'époque d'Edo (1603-1868), le courant pictural ukiyo-e (images du monde flottant) saisit sur le vif des situations cocasses ou intimes. L'image et le commentaire s'entremêlent. L'esthétique et le divertissement aussi. Katsushika Hokusai (1760-1849), le célèbre dessinateur et peintre d'estampes, a composé ses « Hokusai Manga », une somme de carnets de croquis. L'un de ses mangas ainsi que plusieurs de ses illustrations sont présentés actuellement à la Maison de la culture du Japon, à Paris (3). Les prémices du manga moderne se manifestent dans l'oeuvre de Kawanabe Kyôsai (1831-1889). Son trait incisif et son sens du burlesque enthousiasmèrent les frères Goncourt. Son « Kyôsai Manga » atteste son goût pour l'anecdote. Le musée Guimet (4) expose jusqu'à fin novembre des estampes, quelques « dessins pour le plaisir » et pages du « Journal intime » de cet artiste politiquement incorrect.
De Dostoïevski à Astro Boy
Quand le Japon s'ouvre au monde occidental, les caricaturistes anglo-saxons et français influencent alors les illustrateurs de la presse insulaire. Lesquels poseront les bases pour la nouvelle vague de la bande dessinée japonaise, celle de l'après-guerre et de tous les possibles. Le croisement des comics américains et de l'art ancestral du dessin va engendrer en trois décennies un courant original made in Japan.
Laurent-Julien Lefèvre, graphiste bientôt quadragénaire, fait partie de la génération bercée par « Goldorak » et « Candy ». Rétrospectivement, ces réalisations violentes et niaises déversées à flux continu dès la fin des années 1970 sur nos petits écrans ne l'intéressaient pas. Ces productions lui apparaissaient « rapidement faites et de mauvaise qualité ». C'est bien plus tard qu'il tombe dedans par l'intermédiaire du classique des classiques, Osamu Tezuka. « Grâce à ce créateur, le langage graphique du manga démultiplie les perceptions avec un découpage très cinématographique : gros plan, panoramique, accéléré et ralenti..., explique-t-il. Les mises en cases toujours différentes et les angles de vue concourent à une narration dynamique. En plus, le noir et blanc favorise le sens de la nuance. L'éventail des gris pour décrire une atmosphère a une valeur dramaturgique. » Il faut dire que le père du manga moderne, Osamu Tezuka (1926-1989), a révolutionné le genre. Presque toujours affublé d'un béret basque, ce passionné de sciences et d'insectes publie ses premières histoires dans un journal pour enfants alors qu'il termine son doctorat de médecine. Profondément humaniste et pédagogue, l'auteur, au fil de sa riche carrière, aborde tous les sujets. Il adapte une oeuvre de Dostoïevski qu'il affectionne particulièrement, « Crime et Châtiment », et révèle ainsi aux lecteurs de mangas les tourments de l'étudiant Raskolnikov. Le plus célèbre mangaka marivaude avec Shakespeare et la confusion des sentiments dans « Princesse Saphir » (5), une héroïne déguisée en garçon, étonnante icône romantique. Il narre la vie du Bouddha (6), le prince Siddharta Gautama, revisite le mythe de « Faust », conte les aventures d'Astro Boy, un gentil robot justicier, qui sera le premier personnage animé à entrer dans les foyers nippons par une série télévisée. Il imagine une comédie animalière, « Le Roi Léo », qui inspirera les studios Disney. L'artiste a le génie de bouleverser les codes établis. Il scénarise, cadre, privilégie le mouvement et naturellement passera à l'animation. Happé par le succès, ce marathonien du crayon pouvait livrer jusqu'à 650 pages par mois !
Essoufflement des ventes
Avant lui, les mangas se cantonnaient à des historiettes humoristiques ou à des dessins satiriques. Admirateur du maître Tezuka, la figure de proue du dessin animé japonais Hayao Miyazaki, cofondateur des studios Ghibli, auteur du « Voyage de Chihiro », du « Château ambulant » et de tant d'autres merveilles, envisageait sous son influence de devenir mangaka.
Aujourd'hui, dans l'Archipel, les professionnels constatent un essoufflement des ventes qu'ils expliquent par l'arrivée des jeux vidéo et, surtout, les services proposés sur les téléphones portables. Les nomades urbains que sont les Tokyoïtes, et qui passent beaucoup de temps dans les transports en commun, préfèrent aujourd'hui jouer, consulter leurs mails ou des informations pratiques que de plonger dans un manga, sauf dans des cafés spécialisés quand ils ont raté le dernier métro. Peu importe, cette écriture inspire directement le dessin animé, le cinéma, la publicité et la mode. Le phénomène manga influence aussi l'art contemporain. Takashi Murakami, considéré comme le chef de file du néopop japonais, fut invité à présenter en 2002 ses oeuvres récentes à la Fondation Cartier. Ses créations ludiques lui ont valu une carte blanche donnée par Louis Vuitton pour imaginer une ligne de sacs. Les dessins et acryliques 100 % mangas de la jeune Aya Takano furent présentés à la FIAC l'année dernière.
Même si les ventes faiblissent, le manga continue de faire couler beaucoup d'encre avec ses héroïnes aux yeux de biche, ses garçons androgynes, ses yakusas patibulaires, ses monstres pas gentils du tout. Prochain épisode, très tendance : le manga coréen est déjà là. Il s'appelle manhwa.
JEAN-LUC TOULA-BREYSSE
En pratique
Un lieu
Taïfu Festa est le nouveau rendez-vous parisien pour les fans de manga et d'animation avec une cinquantaine d'exposants. On y trouve boutiques de mangas, de DVD et de produits dérivés mais aussi cosplay, fanzines, associations, conférences et projections. Le samedi 29 de 10 heures à 19 heures et le dimanche 30 octobre de 10 heures à 18 heures, à la Halle Paris-Est Montreuil, 128, avenue de Paris, Montreuil. Entrée 6,50 euros, gratuit pour les handicapés. www.taifu-festa.com A lire « Manga, soixante ans de bande dessinée japonaise », de Paul Gravett. Editions du Rocher, 23,80 euros. « Manga Design », de Masanao Amano. Taschen, 29,99 euros. « Japon ! Au pays des onomatopées », de Pierre Ferragut, 2 volumes. Editions Ilifunet, 10 euros. « Les Mondes mangas », d'Hervé Martin Delpierre et Jérôme Schmidt. Le Chêne, 37,90 euros. « Osamu Tezuka », biographie en B.D., trois volumes de Tezuka productions, Casterman, 12,75 euros. Coups de coeur « L'homme sans talent », de Yoshiharu Tsuge, Ego comme X, 25 euros. L'un des chefs-d'oeuvre d'un « génie singulier », inclassable et en marge de l'industrie du manga. Une sombre et bouleversante plongée dans les champs d'une solitude. Pour adultes. « Ayako », de Osamu Tezuka, Delcourt, trois volumes, 7,95 euros. Une des oeuvres du maître des mangas exposant le Japon de l'après-guerre pris entre le néant de la défaite et la perspective d'une prospérité économique. Un drame social. Pour adultes. « Nana », de Aï Yazawa, Delcourt, 5,75 euros, volume XII à paraître le 7 décembre. Les aventures de deux Nana, c'est leur prénom, attirées par Shibuya, quartier à la mode de la jeunesse tokyoïte. L'une a un coeur d'artichaut, l'autre chante dans un groupe de rock. Jeux de séduction et d'amour. Pour adolescentes. Sur Internet Site officiel d'Osamu Tezuka (en japonais et en anglais) : www.tezuka.co.jp Pour tout savoir sur Miyazaki et les studios Ghibli : Ghibli.online.fr
|
| | | | | Très jolie présentation des Mauvaises Gens d'Etienne Davodeau dans Le Monde 2 ce week-end. |
| | bat, 28.09.2005 à 19:10 | 221110 |
| | | | je sais pas du tout si ça a déjà été dit, mais dans télérama (sur le site en tout cas), il a un page consacrée à melaka ^^ |
| | cubik, 25.09.2005 à 23:07 | 220377 |
| | | je viens de regarder une émission littéraire belge, dont j'avais pu voir la dernière avant les vacances
vriament po mal, ça s'appelle "Milles feuilles" et l'intérêt, c'est qu'apparement, il y a toujours un invité bd parmi les auteurs invités
ce soir, c'était Tardi, c'était assez intéressant, sachant qu'en plus de présenter leurs bouquins, les auteurs parlent un peu sur ceux des autres invités
en même temps, avec un présentateur qu'a fait parler de lui comme chroniqueur bd (Thierry Bellefroid) et un chroniqueur sf qui bosse chez Delcourt (Michel Dufranne), ça ne m'étonne po trop
mais ça fait plaisir de voir ce genre d'émission, surtout à des horaires raisonnables (21h40)
en plus ce soir, y avait même un sujet sur les blogs avec une partie sur les blogs bd qui présentait mam Lynda
vraiment très chouette |
| | NDZ, 22.08.2005 à 11:23 | 215158 |
| | | | Après Lewis, c'est Larcenet qui livre depuis trois semaines 2 dessins pour le supplément TV-Radio du Monde. Une perle relevée la semaine dernière : "Larcenet (blah blah blah) auteur du fameux "L'aventure ordinaire" primé l'année dernière à Angoulême" (à peu près, j'ai pas le journal sur les genoux). Il est toujours aussi difficile de recopier un dossier de presse pour certains journalistes... mais c'est l'été, c'est sûrement la faute au petit stagiaire (gentiment exploité). |
| | NDZ, 29.07.2005 à 14:40 | 212889 |
| | | | Carte blanche à Tardi sur Télérama.fr (je ne sais pas trop ce qu'il y a dedans, ni si la version papier fait de même, mais je vais jeter un oeil tout de suite...) |
| | NDZ, 12.06.2005 à 1:58 | 206960 |
| | | | L'orgue de barbarie de De Crécy s'expose dans En Bref sur LeMonde.fr... superbe ! |
| Thorn,  10.06.2005 à 19:10 | 206850 |
| | | | En même temps, une bd qui ait un fort rapport avec le story board, j'en vois qu'une... et s'il a lu celle-là, je comprends qu'il soit navré :o) |
| | crepp, 10.06.2005 à 19:08 | 206849 |
| | | | Gilles : | | "belle phrase", c'est vite dit. D'un point de vue syntaxique, je trouve le premier paragraphe quasiment illisible. |
il est totalement illisible, mais bon comme je suis un lecteur de BD mon cerveau ne peut surement pas tout comprendre du grand journaliste qu'est Bayon.
non en fait c'est vraiment incomprehensible :o) |
| | cubik, 10.06.2005 à 19:06 | 206848 |
| | | | si quelqu'un comprend la premiere phrase, je suis preneur |
| | Gilles, 10.06.2005 à 18:58 | 206847 |
| | | | "belle phrase", c'est vite dit. D'un point de vue syntaxique, je trouve le premier paragraphe quasiment illisible. |
| | frads, 10.06.2005 à 18:20 | 206844 |
| | | | superbe effectivement :o)) |
| | crepp, 10.06.2005 à 18:07 | 206839 |
| | | ahhh encore une belle phrase sur la BD dans libé, c'est juste les deux premières lignes
voici le lien:
ici |
| | yan, 02.06.2005 à 12:45 | 205714 |
| | | En ce moment sur France Culture.
Vite! :-) |
| | poypoy, 01.06.2005 à 22:40 | 205661 |
| | | heu sin city hein je regarde trop la télé moi !
|
| | asacem, 01.06.2005 à 21:53 | 205658 |
| | | | poypoy : | | Ou alors, Télérama étant écrit par plusieurs journalistes, celui qui rédige la critique de Spin City n'a pas aimé, oublié, omis (rayez la mention inutile) Ghost World. |
De toute façon Spice City est mieux que Ghost in the Shell alors! Et c'est un blockbuster! |
| | bat, 01.06.2005 à 20:37 | 205648 |
| | | >> quelle punk cette Batoune, mais bon cela veut dire deux choses :
>> soit les gens de Télérama n'ont pas de mémoire.
>> soit les gens de Télérama ne savent pas qu'à l'origine Ghost World c'est un comic..
sisi, ils le disaient bien dans la critique; mais tout simplement, comme le dit poypoy, ce n'est p-ê pas la même personne qui a rédigé les 2 critiques.
>> Par contre Bat, j'ignorais que tu avais tous les numéros de Télérama depuis 1982 dans ta bibliothèque ^^! Hum ou plus simplement tu as bien aimé le film et tu as une excellente mémoire.
lol c'est juste que le film est passé il y a qqs mois sur le cable et je l'avais repéré. et si d'ordinaire, j'ai plutôt une mémoire de poisson, ça m'arrive quand même de retenir certaines choses -entre autres cette critique ;) |
| | poypoy, 01.06.2005 à 20:09 | 205647 |
| | | | Ou alors, Télérama étant écrit par plusieurs journalistes, celui qui rédige la critique de Spin City n'a pas aimé, oublié, omis (rayez la mention inutile) Ghost World. |
| | | | quelle punk cette Batoune, mais bon cela veut dire deux choses :
soit les gens de Télérama n'ont pas de mémoire.
soit les gens de Télérama ne savent pas qu'à l'origine Ghost World c'est un comic.
Mais oui parfois Télérama c'est pas mal, roh (sourire).
Par contre Bat, j'ignorais que tu avais tous les numéros de Télérama depuis 1982 dans ta bibliothèque ^^! Hum ou plus simplement tu as bien aimé le film et tu as une excellente mémoire. |
| | bat, 01.06.2005 à 19:16 | 205643 |
| | | | Smiley_Bone : | Et Ghost World non ?
Décidemment chez Télérama, ils sont toujours aussi effrayant quand ils essaient de jouer les spécialistes. :o) |
mais télérama avait bcp apprécié aussi ghost world
(pour te dire, si tu connais la notation télérama, ils avaient mis TT)
/me fervante supportrice de télérama, ils ont leurs défauts, mais quand même... ;) |
| | poypoy, 01.06.2005 à 17:35 | 205636 |
| | | Sans doute le travail de Burton :-)
Sinon c'était surtout pour sa fin que j'avais cité cet extrait de la critique de Télérama. Pour une fois dans une critique ciné, l'enmploi du terme BD n'a rien de péjoratif, au contraire ! |
| | asacem, 01.06.2005 à 17:16 | 205633 |
| | | | poypoy : | | Disons que ghost World ça va parler à beaucoup moins de monde que Batman. Ils auraient peut être pu parler de blockbuster. Et comme dit Claude, peut être qu'ils le pensent. Je sais que les avis sur Ghost World sont assez divergeants, beaucoup n'ont pas aimé du tout, tandis que d'autres ont adoré. |
Oui mais Ghost World c'est bien le travail de Clowes porté à l'écran, comme Sin City est le travail de Miller porté à l'écran.
Batman, c'est le travail de qui porté à l'écran? ( long silence)
On aurait pu parler de Barbarella aussi! Ok je sors... |
| | poypoy, 01.06.2005 à 16:58 | 205630 |
| | | | Disons que ghost World ça va parler à beaucoup moins de monde que Batman. Ils auraient peut être pu parler de blockbuster. Et comme dit Claude, peut être qu'ils le pensent. Je sais que les avis sur Ghost World sont assez divergeants, beaucoup n'ont pas aimé du tout, tandis que d'autres ont adoré. |
| | | | | notons qu'ils ont aussi le droit de le penser réellement, spécialiste ou pas :o) |
| | | | Et Ghost World non ?
Décidemment chez Télérama, ils sont toujours aussi effrayant quand ils essaient de jouer les spécialistes. :o) |
| | poypoy, 01.06.2005 à 15:48 | 205608 |
| | | "Si l'on excepte les Batman réalisés par Tim Burton, c'est la première fois qu'une bande dessinée conserve, à l'écran, sa force et son invention"
Extrait de la critique de Sin City dans Télérama.
Comme quoi ... tout arrive, même si dans Télérama c'est un peu moins surprenant, et même si c'est peut être discutable ! |
| | pessoa, 12.04.2005 à 21:10 | 200543 |
| | | | Ca nous promet du monde à Angoulême... |
| | NDZ, 12.04.2005 à 19:36 | 200530 |
| | | On en apprend de super bonnes dans Le Monde :
En mai, on aura droit à la vie de Zidane en BD, dans la collection "Champion de vie" (Casterman). Cette série conçue par Sœur Emmanuelle "met en scène la biographie de personnages réels devenus emblématiques de l'accomplissement de soi en mettant l'accent sur les qualités morales et humaines dont on les crédite, indique le communiqué de presse de Casterman. Chaque histoire met en parallèle un personnage célèbre impliqué dans des œuvres caritatives et un personnage anonyme ou presque qui, avec moins de moyens mais autant d'énergie, est engagé dans des actions concrètes".
J'espère que l'on pourra voir l'album dans le paquet de bonnes réussites que sont L'affaire du siècle, La Star Ac', Les L5, Les petites annonces... tous d'excellents PRODUITS.
En tout cas, cette collection promet sec... dommage qu'elle empiète quelque peu les Plates-Bandes de l'Asso. Menu va encore gueuler ! |
| | pessoa, 18.03.2005 à 21:19 | 197980 |
| | | | Oui, cet article est même plutôt mieux documenté que n'importe quel autre de Version fémina ! |
| | | | | Héhé, je me suis fait les memes remarques que June et Auroress. Il y a neanmoins une conclusion avec les Frustrés qui marque un soupçon de culture bédéesque |
| | | | si il y a autre chose: les BDs pour enfants non?
je vous laisse je retourne à mon tricot |
| | june, 18.03.2005 à 13:00 | 197911 |
| | | clairement, y'a de quoi, il me semble.
dingue comme l'oeuvre féminine peut etre résumée, en gros, a deux catégories : l'autobio a la satrapi et les autres trucs a la Sex & the city... Y'a rien d'autre, hein. mais c'est deja pas mal, ma bonne dame, on parle de femmes, dites donc.
pffff.
|
| | tanxxx, 18.03.2005 à 10:55 | 197878 |
| | | | rhola ces articles sur les "femmes dans la bédé" ont le don de me faire sortir de mes gonds... |
| | Benny, 18.03.2005 à 7:34 | 197867 |
| | | Frank Margerin participera à un chat exceptionnel le mercredi 23 mars sur le site "Les rencontres de la BD" de france5.fr. Posez dès maintenant vos questions au père de Lucien le rocker et de Manu le banlieusard et gagnez ses meilleurs albums.
http://www.france5.fr/bd/
|
| | | | 
Nous voila rassurer, vous savez lire, mesdames.
(In version Femina Sud-ouest dimanche) |
| | alban, 04.03.2005 à 12:29 | 196456 |
| | | Gilles > Je ne connais pas bien ce Pasamonik mais j'avoue ne pas bien comprendre votre acharnement systématique contre lui. Ca tourne pas un peu à l'obsession, non ?
Obsession, même pas. Le gros soucis de Pasamonik s’est qu’il a l’art de mettre dans ses articles des détails qui tuent et qui vont immanquablement déclencher une polémique.
Personnellement, je ne le porte pas dans mon cœur suite à ses deux articles sur l’affaire du siècle. Mais indépendamment de cela quand tu lis sa prose sur actuabd il y a toujours au moins une phrase pour laquelle tu te demandes ce qu’il lui a pris d’écrire un truc pareil.
Petit exemple : L’éditeur Mourad Boudjellal en « roi Soleil » (http://www.actuabd.com/ article.php3?id_article=2091)
La dernière phrase : On le voit, à quarante quatre ans, l’éditeur toulonnais a les dents qui rayent le parquet.
On se demande bien ce qu’elle vient faire ici ??? Que ce soit la vérité ou non ça va forcément déclencher une réaction chez n’importe quel lecteur. Je n’apprécie pas forcément les éditions soleil mais là je ne comprends pas l’attitude de Didier Pasamonik qui dans cet article balance quelques piques bien senties à celui qui est son employeur. |
| | june, 03.03.2005 à 10:24 | 196306 |
| | | >>En plus j'ai trouvé que c'était l'occasion de mentionner
>>l'existence de ce livre de Chantal Montellier (" les damnés de
>>Nanterre", Denoël Graphic) sur bubulle, vu qu'on en parle pas
>>beaucoup.
>
>Et c'est tant mieux comme ça.
Ok avec Claude et Asacem.
Pasamonik ne se prive pas de critiquer les polémiques (et les polemistes) en observant que tout cela manque de resultat concret et positif, mais il ne fait pas grand chose d'autre qu'ajouter de l'huile sur le feu, tout en se gardant bien d'effectuer au mieux son (soi-disant) boulot. C'est dommage, mais sa parole et ses écrits, je les zappe comme la peste dans ce mec semble avoir perdu toute pertinence constructive dans ses propos dilués dans une sorte de rattachement à des trucs dont les lecteurs n'ont rien a foutre.
Sinon, ben on aime ou pas le boulot de Montellier, pour ma part, si je suis pas toujours amateur de son univers visuel, les choses auxquelles elles s'attaquent sont plutot bien ficelées, et son spectre scénaristique (comme cette vision d'un fait divers tendance commode a plusieurs tiroirs) chie quand meme un peu plus loin que pas mal de bouquins dont le scenar tient sur une ligne, mal exploitée qui plus est.
Si on accepte que certains auteurs conservent une approche graphique marquée très 80 (ouais, Montellier, on pourra dira que ca vieillit mal, ou que c'est daté comme dessin, et bien d'autres choses, surement), on peut aller au dela de ca et considerer son oeuvre comme un truc quand meme plutot bien fichu d'un point de vue etablissement des scenar... Si tous ses bouquins sont pas enthousiasmants, ce dernier truc m'a un peu bousculé, quand meme. C'est pas un mauvais bouquin du tout, du tout.
|
| | | | In Sud-Ouest du 24/02/05
(Interessant dans l'optique adapation des BD (aux ciné, en bouquin, etc)...) |
| | longg, 01.03.2005 à 0:34 | 195959 |
| | | >> En plus j'ai trouvé que c'était l'occasion de mentionner l'existence de ce livre de Chantal Montellier (" les damnés de Nanterre", Denoël Graphic) sur bubulle, vu qu'on en parle pas beaucoup.
Et c'est tant mieux comme ça. |
| | asacem, 28.02.2005 à 22:48 | 195952 |
| | | >> Je ne connais pas bien ce Pasamonik mais j'avoue ne pas bien comprendre votre acharnement systématique contre lui. Ca tourne pas un peu à l'obsession, non ?
Qu'est ce qu'une réflexion comme celle-ci a à faire dans un article sur une publication de Chantal Montellier? Quel est le niveau de cette critique? C'est bien de défendre les gens, encore faut il que ce soit défendable. Il n'y a pas d'acharnement de ma part, je lis les articles de son site, je tombe par hasard sur cette phrase, je transmets l'information.
En plus j'ai trouvé que c'était l'occasion de mentionner l'existence de ce livre de Chantal Montellier (" les damnés de Nanterre", Denoël Graphic) sur bubulle, vu qu'on en parle pas beaucoup. J'en dirais pas plus, vu que je l'ai pas lu. |
| | | | c'est ptet systematique mais lire des phrases du type "Un travail qui vaut largement celui de quelques indépendants bobos, quadras en perdition qui se la pètent en prétendant avoir inventé l’eau tiède", ça me parait largement suffisant pour justifier le manque d'intérêt envers sa prose. C'est le degré zéro d'un discours critique posé et réfléchi.
Ce qui ressort de nombre d'articles de Didier Pasamonik, c'est de diviser le monde de la bd en clans Sfar ou pas Sfar, Menu ou pas Menu, anciens de Charlie, contre nouveaux de Charlie, Angouleme ou pas angouleme, etc... |
| | Gilles, 28.02.2005 à 21:08 | 195939 |
| | | | Je ne connais pas bien ce Pasamonik mais j'avoue ne pas bien comprendre votre acharnement systématique contre lui. Ca tourne pas un peu à l'obsession, non ? |
| | | | "On a du mal parfois à suivre le fil de la pensée de l’auteure"
Encore un qui suit la nouvelle mode selon laquelle on accorde le mot "auteur" au féminin.
Putasserie sans nom ! |
| | | | | Oulala, ça c'est une attaque qu'elle vexe ! quelle férocité incisive dans la plume ! |
| | asacem, 28.02.2005 à 17:52 | 195912 |
| | | Au détour d'une phrase, dans son article sur le dernier livre de Chantal Montellier ( "les damnés de Nanterre" chez Denoël Graphic), Didier Pasamonik se laisse encore aller: "Esthétiquement, un appel de notes à des slogans et à des graphismes soixante-huitards rend le livre agréable et curieux, unique en tout cas. Un travail qui vaut largement celui de quelques indépendants bobos, quadras en perdition qui se la pètent en prétendant avoir inventé l’eau tiède".
Il faudrait que je décroche de ce site mais en même temps ça m'amuse. |
| | Gilles, 24.02.2005 à 8:39 | 195448 |
| | | Le retour à la terre T.3, Bande Dessinée RTL du mois de février.
Autres albums sélectionnés : La musique de Marie de Usumaru Furaya, Incognito victimes parfaites (Tome 1) de Grégory Mardon, Le cycle de Cyann Tome 3 de Bourgeon et Lacroix, Monster Tome 18 de Naoki Urasawa, Les Kids de Joe Matt, Tout va bien Tome 1 de Denis Robert et Thomas Clément et Kickback de David Lloyd. |
| | | | lu pendant mon week end en vadrouille, ébin il est pas mal cet article; il évite les écueils habituels (Taniguchi c'est bien du manga, etc...), donne un tour d'horizon de la frange du manga qui l'intéresse (bah oui, ça parle pas de Naruto, mais ils ont jamais prétendu couvrir tout le sujet). Bref, pour un article adressé à des gens qui n'y connaissent rien (dès qu'on est un peu renseigné on n'y apprend pas grand chose, mais y'a rien de scandaleux), j'ai trouvé ça pas mal.
Petits reproches: les titres évoqués s'ils sont intéressants, le sont souvent au cours de l'article, et n'ont pas vraiment de "critique", on reste cantonné à un tour d'horizon, et pas à une sélection de titres argumentés. Et parfois un point de vue un peu trop "Boilet like", même s'il fait beaucoup pour un certain type de manga (a priori celui visé par Télérama), sa position (notamment son manifeste) sont loin de faire l'unanimité. |
| | feyd, 16.02.2005 à 20:51 | 194612 |
| | | | Pour la défense de Télérama, l'article de cette année n'a pas grand chose à voir avec le précédent. Là, c'est un peu plus pointu dans le sujet et ça parle davantage de Taniguchi et consorts que des Pokemon :] |
| | | | | Dossier sur le manga dans Télérama. Dingue.^^ |
| | | | mince alors Hervé Gaymard qui cite spontanément le magazine Pilote et la série les Mange Bitumes de Lob quand on lui parle de pénurie de pétrole..!
(enfin c'était juste maintenant sur canal) |
| | J-C, 02.02.2005 à 13:50 | 192800 |
| | | oui, je suis d'accord avec Everland. le truc que personne n'aime mais que personne n'ose remettre en cause, pour peu que l'on se fasse traiter de tous les noms.
At'chao ! |
| | | | dans l'article de JC
Je crois que ça fait parti de mes expressions favorites "consensus mou". Surtout qu'en général ça désigne quelque chose critiqué par tout le monde. |
| | frads, 01.02.2005 à 23:11 | 192728 |
| | | | où ça? |
| | | | le retour du fameux "qu'on s'en suce mou", ça faisait longtemps !
|
| | frads, 01.02.2005 à 22:26 | 192725 |
| | | | tain j'ai loupé ça |
| | | | | interview de De Crécy dans quelques minutes sur Pure fm (écoutable en ligne sur rtbf.be) |
retour forum |
|
