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Jeux et Enigmes faciles pour l'été

Discussions générales, Duels, petits jeux rigolos... ]


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pikipu, 12.07.2005 à 20:27210197
Ne serait-ce pas ceci?

Mars 1889, un vin d'honneur est donné pour fêter la fin de la Tour. Les ouvriers, qui crurent longtemps que les travaux seraient abandonnés avant d’atteindre le premier étage, sont heureux. Ils sont convaincus (et on ne peut que leur donner raison) d’avoir participé à une œuvre exceptionnelle.

Nos deux hommes se retrouvent côte à côte, un verre de vin à la main.

— Dis donc ! tu peux me le dire maintenant ce que tu cachais dans tes copeaux !

— Ho ! tu sais, ce n’est pas des copeaux que je sortais, c’était des brouettes !

Cette anecdote très connue est maintenant contestée. La plupart des historiens qui se sont intéressés à l’histoire récente de Paris la considèrent comme inventée. Je la crois plausible car j’ai eu connaissance (cette fois auprès de témoins directs) de deux autres faits comparables que j’ai l’intention de raconter à l’occasion d’un autre livre. En tout cas cette histoire est aussi vieille que la tour. Elle montre l’ingéniosité et l’audace dont certains individus font preuve. Qu’il y ait eu des vols sur le chantier peut se comprendre : les ouvriers s’estimaient mal payés. Ils se mirent en grève deux fois pour cette raison.

Le chantier fut pendant deux ans l'attraction favorite des Parisiens. Le journaliste Émile Goudeau, dans un style qui rappelle celui de Victor Hugo, le décrivit superbement :

"Une épaisse fumée de goudron et de houille prenait à la gorge, tandis qu'un bruit de ferraille rugissant sous le marteau nous assourdissait. On boulonnait encore par là ; des ouvriers, perchés sur une assise de quelques centimètres, frappaient à tour de rôle de leur massue en fer sur les rivets ; on eût dit des forgerons tranquillement occupés à rythmer des mesures sur une enclume, dans quelque forge de village ; seulement ceux-ci ne tapaient point de haut en bas, verticalement, mais horizontalement, et comme à chaque coup des étincelles partaient en gerbes, ces hommes noirs, grandis par la perspective du plein ciel, avaient l'air de faucher des éclairs dans les nuées."

Les Parisiens seraient sans doute surpris de connaître ce détail poétique et insolite : Monsieur Yannick Bourse, l’actuel ingénieur responsable du bon fonctionnement de la Tour, est un ancien commandant de sous-marins.

On dit depuis toujours que la Tour Eiffel repose sur des vérins hydrauliques : c’est une légende qui date des débuts de sa construction, car ses pieds, pris dans la maçonnerie, ne peuvent bouger d’un millimètre. Le troisième étage par contre, se déplace assez nettement à cause du vent. Mais Gustave Eiffel fut très surpris de constater que c’est le soleil qui a le plus d’influence sur la Tour : sous l’effet de la dilatation il la fait souvent pencher de 15 centimètres. Elle peut aussi perdre 15 centimètres de hauteur par grand froid.

Achab, 12.07.2005 à 20:00210195
Hop, une autre...

La Tour Effeil est un monument étonnant à bien des égards. Les photographies qui ont été prises lors des premiers mois de sa construction montrent un chantier rudimentaire où pelles, pioches et brouettes constituent l’essentiel de l’outillage. Des charrettes tirées par des chevaux vont et viennent lourdement. Relativement peu d’hommes travaillèrent à l’édification de la Tour. Leur nombre maximum ne dépassa jamais 250.
Un jour, un employé préposé à la surveillance remarqua un ouvrier quittant le chantier avec une brouettée de copeaux de bois. Il y avait à ce moment-là des rumeurs de vols d’outils. Le surveillant apostropha le suspect :
- "Dis donc toi, viens un peu par ici !"
L’homme s’exécuta. Le surveillant fouilla les copeaux sans rien trouver d’anormal.
- Ça va, tu peux sortir.
Quelques jours plus tard, le même homme se présenta à nouveau avec une nouvelle brouettée de copeaux.
Le surveillant s’apprêta à le laisser partir puis se ravisa :
- Renverse ton chargement qu’on voit mieux ce qui s’y passe !
Un tas de copeaux mêlés de sciure se forma sur le sol. Aucun outil ou objet quelconque ne s’y dissimulait. Rien n’était fixé sous la caisse de la brouette.
- Allez passe ! mais ne crois pas endormir ma méfiance !
L’homme passa plusieurs fois avec son chargement que l’autre contrôla sans jamais rien trouver de répréhensible.
Quel système ingénieux cet homme — qui subtilisa vraiment des objets sur le chantier — avait-il imaginé pour passer le contrôle sans attirer l’attention ?

Achab, 12.07.2005 à 19:56210194
ok, trop facile.
Ca se passe au pôle en effet, car bouger de 200mvers l'est en restant à 100 m du chasseur, il doit pile poil sur un des deux pôles. Et comme il n'y a pas d'ours au pôle sud, c'est le pôle nord, et au pôle nord, tout les ours sont blancs.

ingweil, 12.07.2005 à 19:48210193
Blanc non ? Ca se passe au pôle (peu importe lequel) ?

Achab, 12.07.2005 à 19:40210192
Alors voici une petite énigme pour commencer:

Un chasseur vise un ours distant de 100 mètres. Avant d’avoir pu ajuster son tir, l’ours s’est déplacé vers l’est sur une distance de 200 mètres. Qu'a celà ne tienne, le chasseur ajuste son tir et fait mouche. Après avoir tué l’ours, le chasseur, qui n’a pas bougé constate que l’animal est toujours à 100 mètres de lui ! Quelle est la couleur de l’ours ?

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