
 | Oreillers de laque nous fait pénétrer dans le quartier des plaisirs de Yoshiwara, où se rencontrent les courtisanes et leurs clients dans l’ancienne ville d’Edo. Des maisons de thé les plus cotées jusqu’aux plus mal famées, dans chaque chambre, une femme et un homme se parlent, avant de passer aux choses sérieuses qui n’ont plus besoin de mots.
Les dessins s’inspirent directement des « peintures du monde flottant », les célèbres estampes de Hokusai ou d’Utamaro. Les dialogues sont d’une extrême sophistication tout en touchant l’essence de l’intimité, faisant sentir toutes les nuances des relations et des attentes, des espoirs et des peurs, des rivalités et des fiertés. |