
 | Alors que la machine à peindre de Richard McGuire était programmée pour produire les pages de P+O, elle se mit à s'emballer et délivra à la stupéfaction générale un supplément d'une bonne centaine de dessins dont la beauté imposait qu'on leur consacre un livre.
Après le rodéo sexuel du premier opus, il nous est ici donné d'assister à la rencontre des deux protagonistes et à l'émouvant ballet qui en résulte. |