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les plus belles séquences de la Bande Dessinée [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ] retour forum Pages : 1 - 2
 | crepp, 10.02.2004 à 10:54 | 139905 |
|  |  | La première qui me vient à l'esprit c'est le début du chapitre 7 (ou 8) du tome 1 de Sin City. Le fameux passage sous la pluie, que je trouve incroyable. Du grand Miller. |
 | |  |  | >> disons que je ne suis pas aussi enthousiaste à son égard que beaucoup de personnes aux gouts habituellement relativement similaires aux miens...
>> je trouve ca bon, mais je n'ai jamais été remué-remué...
Clive barker est-il punk?
En tout cas, son travail suinte la remise en cause du statu quo des conventions établies. Et puis, ce qui me le rend éminemment sympathique : il réhabilite le monstre. |
 | june, 10.02.2004 à 10:46 | 139896 |
|  |  | disons que je ne suis pas aussi enthousiaste à son égard que beaucoup de personnes aux gouts habituellement relativement similaires aux miens...
je trouve ca bon, mais je n'ai jamais été remué-remué... |
 | |  |  | >> ouais, en mieux... 8)
T'aimes pas Clive Barker ? |
 | june, 10.02.2004 à 10:42 | 139893 |
|  |  | ouais, en mieux... 8) |
 | |  |  | Ce Sandman 17 m'a toujours fait penser à du Clive Barker, comme une nouvelle de "Livre de sang". |
 | june, 10.02.2004 à 10:37 | 139890 |
|  |  | Sandman #17, "calliope".
Richard Madoc, auteur en panne d'inpiration, use et abuse de pouvoirs qui le dépassent (je veux pas spoiler, hein...) ; au presque final de cet épisode, sur 6 cases d'une découpe d'anthologie, l'imagination de Madoc prend une telle ampleur, une telle urgence, que ses idées libérées fusent et doivent être ecrites, vite, malgré que Madoc n'ai pas de quoi écrire sur lui...
<<< faisez gaffe, SPOILER >>>
la torture mentale qu'il subit alors l'obligera a utiliser ses propres doigts sur les murs, ecrivant de son propre sang, avec des phalanges ensanglantées, ce torent d'idées qu'il se doit de libérer.
l'ambiance sombre voulue par Gaiman (ca se passe de nuit, fatalement), le dessin écroché de Kelley Jones, et l'encrage crepusculaire de Malcolm Jones III, créent un climax qui, a la premiere lecture, met une grosse claque.
faut pas faire chier Sandman, ni son ex, hein... 8)
raconté comme ca, c'est nul, mais a chaque fois ca me troue le cul comment c'est énorme... un des nombreux moments plein de frisson de cette fantastique saga. |
 | malo, 10.02.2004 à 9:53 | 139875 |
|  |  | Page 230 à 278 du tome 3 d'AKIRA. Un coup de feu de Nezu déclenche la catastrophe. Une boule d'énergie anéantie néo-Tokyo. 48 page de maéstria graphique, un découpage et un sequensage parfait. La perfection en matière de bande dessinée. Otomo étire le temps au maximum afin de nous donner toute la mesure et le poids de l'action. |
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