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Tribune et Defouloir [ Discussions générales, Duels, petits jeux rigolos... ]
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| | THYUIG, 04.01.2006 à 19:10 | 236514 |
| | | | même analyse que pessoa, suffit de monter dans le rouen-paris à mantes la jolie pour constater que malheureusement cela n'a rien d'exceptionnel...:o(( |
| | pessoa, 04.01.2006 à 18:39 | 236512 |
| | | La presse n'en a parlé que trois jours après parce que tous les journalistes étaient occupés à recopier une pub pour des bananes. Ca a pris du temps parce que c'était écrit tout petit.
Sinon, moi je lis différemment cette nouvelle : des jeunes, munis d'un billet aller-retour pour Nice, se sont murgés à Nice et ont probabelement fait du barouf là-bas. Comme il n'y avait pas grand-chose à retenir contre eux (on n'envoie pas un gamin, ni un vieux, en tôle pour avoir été bourré le soir de la Saint-Sylvestre), les flics les ont justes "invités" à cuver chez eux.
Dans le train, il y a des agressions et du racket. Rien ne dit que tous les jeunes soient mêlés à ces délits ! Trois ont été interpellés, d'autres (s'il y en a d'autres) se sont échappés (en descendant en gare, je suppose).
C'est malheureux, j'espère que les coupables seront trouvés et punis, mais ça ne paraît pas si extraordinaire que ça. |
| | | | | cubik : | | et ça empêchera po le ptit nicolas d'en faire un thème de campagne, même s'il en est en partie responsable |
alors la ,non! Le Petit Nicolas est une serie sublime, alors tu trouve un autre surnom pour l'autre excite de la matraque, s'il te plait ! :o) |
| | | | | cubik : | ben c'est aussi une partie du problème
pourquoi il a fallu attendre 3 jours pour avoir l'info??
principe de précaution des journalistes qui vérifieraient leurs infos?? |
À la limite, le temps écoulé ne me gêne pas forcément. Ce qui est bizarre dans cette histoire c'est qu'on ait autant de mal aujourd'hui à savoir ce qui s'est réellement passé. Un train entier ça fait un paquet de témoins, on doit pouvoir avoir une info un minimum fiable quand même.
Pour les vigiles de la SNCF, le sujet. Je me demande quand même ce qui peut passer dans la tête des flics pour refiler des gars à la SNCF en disant "démerdez-vous, c'est plus notre affaire". Et surtout au nom de quoi ? C'est comme si on avait un ivrogne sur la voie publique, que les flics l'emmène dans un Carrefour et disent aux vigiles "on vous le laisse jusqu'à ce qu'il dessaoûle". D'après les réactions suscitées par cette affaire, cette pratique semble relativement courante, puisque personne ne s'en offusque ; mieux, Nicolas reproche à la SNCF un manque de transparence ! Un peu facile.
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| | | | c'est pour cela que je suis partisante d'un ne nous emballons pas, ne faisons pas de parallèles douteux... (du genre les Américains qui ont dit Paris brûle avec la tour Eiffel en feu et compagnie)
pas de polémique dans un sens comme dans l'autre ;o) |
| | cubik, 04.01.2006 à 17:03 | 236496 |
| | | sinon, pour ptet éclairer un peu sur le fait que ce soit des vigiles qui doivent assurer la sécu dans les trains, et pas des flics, ils me semblent quand dans la mésaventure de lefred touron (désolé pour l'écorchage de nom), il avait expliqué qu'en fait, la sncf est assez libre sur ce point et dispose de ce qu'on pourrait qualifier de milice
je crois qu'il y a des dispositions speciales qui laissent le champ totalement libre et quasiment tout pouvoir aux controleurs et autres agents de sécu dans l'enceinte des trains
libre à eux de livrer ensuite les contrevenants à la police
enfin faudrait retrouver le post racontant son histoire |
| | cubik, 04.01.2006 à 16:56 | 236491 |
| | | ben c'est aussi une partie du problème
pourquoi il a fallu attendre 3 jours pour avoir l'info??
principe de précaution des journalistes qui vérifieraient leurs infos??
justement, à cause de la mytho qui avait fait parlé d'elle dans le rer, j'y crois plus trop
non, je pense qu'il y a eu un vrai problème, que c'est gênant aux entournures aussi bien au niveau policier, du niveau le plus bas au plus haut (hein le ptit nicolas), qu'au niveau de la sncf (c'est bizarre, ils se sont pas mis en grève cette fois?) et que si possible, il faudrait en causer le moins possible
enfin bon, les infos finiront bien par sortir, avec 600 personnes dans le train
et ça empêchera po le ptit nicolas d'en faire un thème de campagne, même s'il en est en partie responsable |
| | | | | auroress : | c'est très limite ta conclusion ingweil...
ce n'est pas parce que les médias ont tendance à amplifier et qu'une fois une femme a fait croire qu'elle sétait fait violer que c'est le cas ici... |
Effectivement mais dans la news yahoo, comme dans les autres médias qui en ont déjà parlé, on nous présente ça comme une attaque impressionnante, et paf ! d'un coup les politiques se ruent sur le truc, déclarations solennelles et tout le toutim, sans attendre de savoir ce qui s'est réellement passé. C'est en ça que je faisais le parallèle avec la nana du RER, où on avait eu un emballement politico-médiatique par la suite franchement risible. Mais on dirait bien que ces gens-là n'apprennent jamais.
Si ces faits sont avérés, alors là oui, qu'on nous sorte tout le tremblement, qu'on nous explique pourquoi la police prend le risque de placer une centaine de gens potentiellement dangereux (d'ailleurs c'est légal les expulsions d'une ville vers une autre ?) dans un train, qu'on nous explique pourquoi c'est à la SNCF d'assurer la tranquilité de ses voyageurs avec des vigiles, qu'on nous pourquoi dans ce cas-là les vigiles descendent en cours de trajet... Bref pas mal de choses assez déplaisantes. Mais en attendant qu'on nous confirme tout ça, je reste profondément sceptique sur toute cette histoire. |
| | | | | jeanagun : | | Dans le train, je ne m'asseois qu' a coté de Charles Bronson, comme ca... tranquille :) |
C'est vrai que l'odeur du corps en putréfaction ça doit faire fuire :o) |
| | cubik, 04.01.2006 à 15:02 | 236478 |
| | | ouais enfin des faits divers de ce genre, j'en avais encore pas vu
et ce qui m'inquiète, c'est que là c'est fortuit, la police les a tous mis dans le même train et hop!
j'espère juste que ça donnera po des idées à d'autres |
| | | | | Dans le train, je ne m'asseois qu' a coté de Charles Bronson, comme ca... tranquille :) |
| | | | c'est très limite ta conclusion ingweil...
ce n'est pas parce que les médias ont tendance à amplifier et qu'une fois une femme a fait croire qu'elle sétait fait violer que c'est le cas ici...
mais c'est aussi limite ce que dit cubik, des faits divers il y en a malheureusement partout (re-regarde tes DVD de strip tease) |
| | | | | J'ai entendu ce midi sur inter qu'il semblerait que l'histoire soit un brin complexe : apparemment ce ne serait pas la rame entière mais "seulement" une voiture, "seules" 10 personnes auraient porté plainte pour le moment (je mets des guillemets parce que ce n'est pas rien de se faire racketter et/ou taper dessus mais bon on est loin des 600 personnes)... Comme le PS vient encore de s'emparer de cette histoire sur l'air du "Nous souhaitons que rien ne nous soit caché sur cette affaire" et que Chirac en a parlé ce matin en insistant pour que "les auteurs de ces faits inqualifiables soient arrêtés le plus vite possible", je m'attends à entendre à tout instant une conclusion du type de l'histoire de la nana qui s'était tailladé les fringues dans le RER... |
| | cubik, 04.01.2006 à 13:19 | 236447 |
| | | tiens, mes collègues viennent de m'apprendre cette histoire
en résumé, une centaine de djeuns un peu éméchés ont été mis dans un train, et ont rackétés tous les passagers, allant jusqu'au viol
et au final, la police n'a réussi a en interpeller que 2 ou 3
y a des jours où je trouve de nouvelles raisons à mon exil |
| | frads, 01.12.2005 à 11:51 | 231697 |
| | | Miss Chiquita et la grenouille
Philippe Matisse
Mis en ligne le 31/10/2005
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Dans la foulée de la Semaine du commerce équitable, les lecteurs attentifs de la presse quotidienne ont récemment pu découvrir une annonce double page pour le moins surprenante. Intitulée «Comment faire tenir une grenouille sur une banane», cette pub signée Chiquita méritait qu'on s'y attarde. Davantage en tout cas que les sempiternelles annonces visuelles censées capter l'attention du lecteur en trois secondes chrono. Ici, c'est tout l'inverse: un long texte en corps 9 occupe 90 pc de l'espace disponible. Il détaille point par point les quelque 200 (!) critères que la multinationale américaine a dû appliquer pour bénéficier du label Rainforest Alliance. Cette organisation non gouvernementale basée en Amérique latine a pour mission de protéger les écosystèmes, ainsi que les gens et la faune qui en dépendent, en agissant sur l'utilisation des terres, les pratiques commerciales et le comportement du consommateur. L'ONG est forte de 25.000 membres et pilote des projets dans une soixantaine de pays.
Le fait d'associer Miss Chiquita et la petite grenouille verte qui orne le logo de Rainforest Alliance, vise à montrer l'engagement de la marque de fruits vis-à-vis de normes environnementales et sociales réellement contraignantes. Pour obtenir le certificat Rainforest Alliance, chaque ferme Chiquita doit, en effet, mettre en oeuvre une vaste série de mesures, couvrant la protection de l'environnement, la biodiversité, la gestion des déchets, les relations avec les communautés, le juste traitement des ouvriers, leurs conditions de travail, etc.
L'annonce parue le week-end dernier dans les journaux belges est la première salve d'une vaste campagne internationale orchestrée par Lowe Brussels, l'agence de pub de Chiquita pour l'Europe. La campagne a d'abord été étrennée en Suède avant d'être diffusée chez nous. Dans les prochaines semaines, outre de nouvelles annonces en presse magazine, Miss Chiquita et la grenouille Rainforest Alliance s'afficheront en 2 m2 et s'animeront en télévision. L'objectif poursuivi par cette vénérable demoiselle âgée de plus de 60 ans est assurément de se refaire une virginité, histoire de gommer les rides d'un passé pas si lointain où la marque icône était associée aux pratiques douteuses de ces pays d'Amérique latine justement qualifiés de «républiques bananières» : exploitation forcenée des terres et de la main-d'oeuvre locale, usage immodéré des pesticides, etc. Ces critiques semblent appartenir à une autre époque. Depuis la fin du siècle dernier -la coopération avec Rainforest Alliance remonte à 1992-, Chiquita a entamé un travail de longue haleine pour opérer ce lifting indispensable en termes d'image. A l'aune du succès que rencontrent d'autres labels du même tonneau comme Fair Trade (Oxfam) et Max Havelaar, cette campagne Chiquita pourra toujours être taxée d'opportuniste, il n'en reste pas moins qu'elle s'inscrit dans une démarche sociétale qu'on ne peut qu'applaudir.
© La Libre Belgique 2005
ce qui me troue le cul c'est à la fois le fait que Chiquita fasse le genre de pub dont il est question d'une part et d'autre part la manière dont c'est relayé par le journal. |
| | nyl, 02.11.2005 à 11:54 | 226543 |
| | | Yahoo actualités :
PARIS (AP) - Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a jugé mercredi "tout à fait normal que Dominique de Villepin intervienne après quatre, cinq jours" de violences de Clichy-sous-Bois et a justifié l'emploi des mots "racaille" et "karcher".
"Le Premier ministre et moi-même, on a encore travaillé ensemble hier: je ne vois pas en quoi il y a le moindre lieu à commentaire", a expliqué Nicolas Sarkozy sur Europe-1. "Que le Premier ministre intervienne après quatre, cinq jours, c'est tout à fait normal".
Après les critiques du ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances Azouz Begag, dénonçant "une sémantique guerrière, imprécise", Nicolas Sarkozy a jugé qu'il est venu "le temps que la classe politique parle avec les mots que comprennent les Français".
Revenant le meurtre d'un quinquagénaire battu à mort par des inconnus à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) la semaine dernière, il a assuré qu'il n'a "pas l'intention d'appeler ça des jeunes ce sont des racailles, voyous, assassins". "Je n'emploie jamais de mots crus, je suis plutôt quelqu'un de bien élevé, et encore moins de mots violents", a-t-il ajouté, expliquant ne pas voir "ce que le terme de racaille peut avoir de vulgaire ou de violent". AP
Il m'énerve...
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| | cubik, 27.10.2005 à 15:39 | 225893 |
| | | tiens, je viens de découvrir ça aussi:
une jeune fille qui vit en France depuis 6 ans, bardée de diplome, maîtrisant visiblement la langue, qui s'est même trouvé un boulot mais qui risque de se faire expulser d'ici 15 jours parce qu'elle est mexicaine, que le poste qu'elle a trouvé est payé trop cher pour une étrangère alors que la situation est difficile en france...
à lire sur son blog |
| | cubik, 26.10.2005 à 9:23 | 225453 |
| | | ce matin, 3 nouvelles réjouissantes lu dans le Metro, le fameux journal gratuit à dépêches
tout d'abord, la dernière découverte d'une compagnie de téléphone japonaise dont j'ai po retenu le nom: le téléguidage humain. Alors que des boites comme Sony cherchent à faire des robots se rapprochant le plus possible de l'homme, dans les télécoms nippons, on fait l'inverse. Et donc, ils ont trouvés une technique pour rapprocher l'homme du robot. J'ai po retenu les détails de la technologie utilisé, mais en gros, on vous colle un casque sur les oreilles, et grace à ça (je sais po s'il y a des contacts à l'intérieur du corps ou si ça marche au son) et quelques impulsions sur l'oreille interne, ils sont capable de télécommander une personne. Apparement, c'est pour l'instant limité à aller à droite ou à gauche, mais c'est déjà po mal étant donné que c'est contre la volonté du cobaye humain. De belles applications militaires en perspectives....
2ème nouvelle pour tout ceux qui pensent que l'Europe permet de se déplacer comme on veut en son sein. J'avais déjà expliqué dans l'incrédulité de mes interlocuteurs que pour vivre en Belgique par exemple, il faut montrer patte blanche et que si au bout de 3 mois, t'as pas de boulot, on te fout dehors, malgré ma nationalité française bien européenne. On ne me croyait pas. Ca se confirme pourtant. La Cours Européenne de Justice vient d'épingler la Belgique sur le fait qu'on ne te laisse t'installer ici que si tu as des revenus propres suffisants (genre, si tu vis avec quelqu'un qui t'entretient, ça ne marche pas), européen ou pas. Ils ont aussi signalés le fait que si au bout de 3 mois, tu n'as pas toutes les pièces qu'il faut pour ton dossier, tu reçois automatiquement un avis d'expulsion, toujours que tu sois européen ou pas. Donc voilà, l'Europe, c'est bien, mais c'est pas encore au point.
Enfin, dernière dépêche joyeuse, on apprend qu'UPS a décidé, en tout cas aux USA de refuser de livrer des commandes de cigarettes à des particuliers. En gros, on controle ce que tu commandes et on accepte ou pas de te livrer. C'est déjà assez révoltant en soi, mais ce n'est pas tout. On apprend dans la même dépêche que ça suit la même politique de certains organismes de cartes de crédit qui refusent de débloquer tes sous quand tu achètes des cigarettes. Là, c'est carrêment le contrôle de tes achats. Vivement qu'ils refusent de te donner ton argent quand tu veux le dépenser chez d'autres marques que chez leurs partenaires. Vive l'amérique. |
| | cubik, 25.10.2005 à 21:16 | 225420 |
| | | ah ouais po mal
en tout cas, ça me fait plaisir de voir un ministre qui connait son sujet :) |
| | J-C, 25.10.2005 à 18:32 | 225408 |
| | | on vit une époque formidable :-))
Le ministre français Azouz Begag a fait l'objet d'un contrôle "poussé" à l'aéroport d'Atlanta
LE MONDE | 24.10.05 | 14h25
En langage diplomatique, cela s'appelle un "incident regrettable" ; pour l'intéressé, ministre de la République, c'est un "contrôle au faciès" . Azouz Begag, en possession d'un passeport portant un visa "A1" (réservé aux diplomates et aux ministres), a été retenu pendant un quart d'heure et interrogé par un agent des douanes, le 13 octobre, dans l'aéroport d'Atlanta (Etats-unis) où il se trouvait en transit alors qu'il se rendait à l'université de l'Etat de Floride pour y donner une conférence sur les nouvelles politiques françaises de lutte contre le racisme.
Sur le moment, le ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances n'a pas donné d'écho à cet incident diplomatique qui a été révélé, vendredi 21 octobre, par le porte-parole du ministre français des affaires étrangères.
Evoquant "un contrôle un peu trop poussé", ce dernier a affirmé que le Quai d'Orsay avait "protesté auprès des autorités américaines" et "obtenu des éclaircissements" via le département d'Etat, qui a reconnu qu'une "faute professionnelle" avait été commise par un agent des douanes. L'ambassadeur des Etats-unis en France a d'ailleurs "exprimé son regret". Pour M. Begag, dont la lutte contre les discriminations et la promotion des "minorités visibles" est précisément la fonction dans le gouvernement Villepin, l'expérience n'est pas nouvelle, mais particulièrement symbolique.
Accueilli par une escorte policière à sa sortie de l'avion à Atlanta, le ministre a été, d'après son récit, conduit vers un agent des douanes qui, après lui avoir posé de nombreuses questions, lui a expliqué que son visa diplomatique ne lui permettait pas de donner une conférence dans une université. Dirigé vers une "chambre verte" pour une vérification approfondie, M. Begag, a alors été questionné sur les précédents visas qu'il avait obtenus pour les Etats-Unis.
"La situation était tendue, étrange , rapporte le ministre de l'égalité des chances : le premier fonctionnaire n'a pas vu que j'étais ministre. J'imagine que, dans son esprit, s'est produit un télescopage entre mon passeport et mon visage. A ses yeux, je n'avais pas la tête d'un ministre français normal." Le second contrôle finit par s'avérer négatif : "Ils m'ont rendu mon passeport et souhaité "bienvenue aux Etats-Unis"".
Ce n'est que trois quarts d'heure plus tard, en attendant son vol pour Tallahassee (Floride) que M. Begag est abordé par des officiels américains accompagnés du consul de France à Atlanta, qui le cherchaient dans l'aéroport depuis une heure. "Tout le monde avait été prévenu, mais une mauvaise communication entre services les avait empêchés de me repérer", commente le ministre.
SITUATION NOUVELLE
Fils d'immigrés algériens, élevé dans un bidonville de Villeurbanne (Rhône), sociologue et romancier à succès avant d'intégrer le gouvernement, Azouz Begag n'en est pas à sa première mésaventure de ce genre. Voici quelques années, coiffé d'un bonnet de laine par un jour d'hiver, il avait été bloqué dans le sas d'une agence bancaire pendant que le directeur appelait la police. En 1995, à Lyon, il avait été remarqué par Jacques Chirac en lui racontant sans détour comment des jeunes se font refouler des boîtes de nuit à cause de leur "gueule d'Arabe" .
"Depuis le 11 septembre 2001, j'ai systématiquement des ennuis aux Etats-Unis, dit-il aujourd'hui : nous ne sommes plus traités comme les autres, uniquement à cause du faciès." En 2003, alors simple écrivain et porteur d'un passeport ordinaire revêtu de multiples visas dont ceux de pays arabes où il s'était rendu à l'invitation de centres culturels français, M. Begag avait déjà été retenu et pressé de questions.
A l'aéroport d'Atlanta, cette fois, le ministre de la République a expérimenté une situation nouvelle où "c'est un autre Azouz qui franchit la frontière, et qui ne peut pas accepter les choses comme avant" . Sur les murs de l'aérogare géorgienne, des portraits de Martin Luther King et des héros de la lutte contre la discrimination des Noirs lui ont procuré une "pincée d'émotion" , lui rappelant que le pasteur noir avait été la référence, en France, de la Marche des Beurs de 1983. A Paris, reconnaît M. Begag, "ce genre de télescopage est assez fréquent". A plusieurs reprises, des interlocuteurs l'ont pris pour... le garde du corps du ministre.
Philippe Bernard |
| | crepp, 02.10.2005 à 10:33 | 221631 |
| | | Du nouveau sur les nazis et la bombe
LE MONDE | 01.10.05 | 14h17 • Mis à jour le 01.10.05 | 16h40
ROME de notre correspondant
Le scoop de l'ancien journaliste est une bombe à retardement. Dans le premier tome de ses Mémoires, publié vendredi 30 septembre en Italie, Luigi Romersa, 88 ans, raconte comment, le 12 octobre 1944, sur une base secrète de l'armée allemande, il a assisté à ce qui s'apparente à un essai nucléaire. Son témoignage vient renforcer la thèse défendue récemment par l'historien berlinois Rainer Karish, selon lequel les travaux des nazis sur la bombe atomique étaient beaucoup plus avancés qu'on ne l'a dit.
Le reporter, qui s'illustrera après la guerre sur tous les conflits pour l'hebdomadaire Tempo, a 27 ans à l'époque. Il est correspondant de guerre pour le Corriere della sera. S'il peut réaliser une longue enquête au coeur de l'Allemagne nazie, là où sont conçues – c'est le titre de son livre – "les armes secrètes d'Hitler", c'est qu'il a en poche deux lettres de recommandation de Mussolini, qui l'a convoqué à Salo. Il veut en savoir plus sur cette "bombe capable de renverser le cours de la guerre", à laquelle Hitler a fait allusion lors de leur dernière rencontre au château de Klessheim, en avril 1944. L'une des lettres est destinée à Goebbels, l'autre au Führer lui-même.
Fort de ce double sésame, le journaliste est reçu sur la fameuse base de Peenemünde, au bord de la Baltique, où quelques douzaines de scientifiques travaillent sous la direction de Wernher von Braun, le père des V2, puis de l'aventure spatiale américaine. Sur l'île de Rügen, le journaliste est conduit dans un bunker "situé à plusieurs kilomètres du lieu de l'explosion". Il décrit "un grondement qui fait vibrer les parois du refuge, suivi d'une lueur aveuglante, tandis qu'un dense rideau de fumée se répand sur la campagne". Le bunker est "englouti", puis c'est le silence. Les officiers conseillent de patienter plusieurs heures avant de sortir "parce que la bombe, en explosant, émet des radiations qui peuvent créer des dommages sérieux". Romersa voit ensuite arriver "d'étranges scaphandriers". Lui-même doit revêtir une combinaison et des bottes blanches, "peut-être en amiante".
Pourquoi avoir attendu si longtemps pour faire ces révélations ? Le vieil homme, dernier témoin vivant de cette explosion, certifie qu'il a écrit l'histoire pour l'hebdomadaire Oggi, dans les années 1950. Personne n'y a cru.
Jean-Jacques Bozonnet
Article paru dans l'édition du 02.10.05
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| | | | Tout à l'heure, le téléphone sonne.
Je décroche. 10 secondes de silence puis de la friture. Un bruit de standard. Puis une friture encore plus forte avec un effet de compression sonore désastreuse.
Un démarcheur : - beubublbscrrrr ..jour ... beurrrblblbl ouigue téléc blbblcrrrr. Monsieur Bidule ? (Bouygue Télécom)
- oué
- oui voil brrrblblbbeurrrrrrsh ../.. crrrrrrrrrrrrrr .phonique
- on n'entend rien !
- blblblblcrrrrrrrr beurp beurp (longue mélopée pas lyrique ni envoûtante de grésillements mal compressés)
Je raccroche
1 minute plus tard, il rappelle.
- blblbl ourquoi ous avez racchoché crrrrrbue
- on entend rien je vous ai dit
- mais blblbl ourquoi ous avez racchoché crrrrrbue
- (là je m'énerve un peu, je leur dis que s'ils veulent me vendre des forfaits, la moindre des choses, c'est d'avoir une ligne téléphonique potable. S'ils font du démarchage à partir de leur portable, qu'ils se mettent près d'un relai)
Je suis resté à peu près poli, je pense.
J'avais une assez bonne image de Bouygue Télécom, mais là elle est un peu ternie. Bon, ce n'est peut-être qu'une exception qui confirmera la règle. Mais ça m'a bien énervé sur le moment :p |
| | J-C, 12.09.2005 à 16:35 | 218278 |
| | | | ouais c'est ça, fais ton malin, tu rigolera moins quand je t'aurais ... heu ... bon bref, tu rigolera moins :-)) |
| | fow, 12.09.2005 à 16:00 | 218275 |
| | | | SchtroumpfCouteaudanslaplaiemanissime s'il te plait :) |
| | chrisB, 12.09.2005 à 15:58 | 218274 |
| | | | fow : | | Ouais il dit ca il est même pas foutu de descendre de sa tour pour boire un café... |
Fow si il etait un super-héros il serait : Couteaudanslaplaieman |
| | fow, 12.09.2005 à 15:55 | 218270 |
| | | | Ouais il dit ca il est même pas foutu de descendre de sa tour pour boire un café... |
| | J-C, 12.09.2005 à 15:48 | 218267 |
| | | | moi je serais déscendu de voiture pour lui casser la gueule ! |
| | | | ça me fait penser à ce type pas loin de chez moi (toujours en vendée donc, mais moins dans le marais), qui visiblement passait une bonne partie de ses journées à saluer les voitures qui passaient. En tout cas, il y était à chaque fois que je passais devant ce que je suppose être chez lui... La première fois tu crois qu'il te demande de ralentir, que y'a un truc pas net sur la route, et pis après tu t'habitues.
Un jour je l'ai surpris, j'ai ralenti pour qu'il me voie bien et je lui ai rendu son salut. Ca l'a bloqué. Et pis un jour il a disparu, il s'est ptet fait renverser finalement, ou il a changé de route, il avait ptet salué tout le monde sur celle-ci. |
| | | | de quel droit critiquez-vous les traditions locales ou l'ame de la france d'en bas bat gaillardement ?
et que faites-vous du role social de l'idiot du village ? |
| | J-C, 12.09.2005 à 14:58 | 218252 |
| | | | si ça se trouve, l'est même pas humain le Linlin !! |
| | | | | Tiens, Teulé tiens un reportage de plus |
| | | | | les charmes du marais poitevin... même si j'étais pas tout-à-fait dans le même coin de la vendée, qu'est-ce que je peux les regretter, ces gens là... |
| | | | Trop sympa la Vendée...
A Maillé, «Linlin» est passé à tabac et le petit village vendéen soutient... l'agresseur.
«C'est le bouc émissaire idéal, on se croirait au Moyen Age»
Par LA CASINIERE Nicolas DE
lundi 12 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
Maillé (Vendée) envoyé spécial
Il dit : «Maman, j'ai la tête qui sent le pourri.» Linlin devrait sortir de l'hôpital mercredi, avec des cicatrices plein le crâne et des troubles de la vision. Il devra en outre marcher avec des béquilles. Dans la nuit du 26 juillet, à Maillé (Vendée), un petit village en plein Marais poitevin, un habitant a copieusement assaisonné à coups de barre de fer puis frappé au sol Alain Billault, dit Linlin, jusqu'à ce que les gyrophares des gendarmes arrêtent sa fureur. Tout cela devant deux voisins qui regardaient, la fourche à la main. Après ce passage à tabac entre voisins, l'ambulance a emporté une victime, la rate éclatée, le bras en hématome, les dents cassées, une cheville tuméfiée.
Pétitions. Linlin, c'est un peu le «simplet du village». Mais un «simplet» que le village déteste. Car, aussitôt l'affaire connue, un comité de soutien à l'agresseur s'est créé. Mené par le maire, Laurent Joyeux, contrôleur laitier à la retraite. Sans états d'âme, celui-ci défend l'agresseur : «Débordé par l'exaspération, il a fini par disjoncter.» Puis ajoute : «Il faut le protéger, lui et sa famille, tant que Billault ne respecte pas les règles de vie. Il rôde tous les soirs, à observer les étoiles qu'il dit. S'il continue avec son petit côté provocateur, je ne réponds de rien. Pensez : il a même attaché son cheval aux portes de l'église et au monument aux morts.»
Après une réunion publique où il n'aurait pas fait bon prendre la défense du paria du village, les pétitions ont été signées en mairie. Trois cents personnes de la commune de 730 âmes et des environs ont donné leur nom. «C'est rendu trop loin, dit une voisine. Nous, il ne nous a rien fait, mais on sait qu'il a barboté une clôture, et peut-être bien volé du bois.» Son mari aurait souhaité servir de médiateur, mais finalement, «solidaire avec ses voisins», il est dans le comité de soutien à l'agresseur : «Si Billault revient, cela va devenir malsain pour sa santé physique. On connaît bien Antoine : il a failli le tuer parce qu'il n'y a que ça à faire...»
Bruits et chapardages. Gaillard de 110 kg pris pour un demeuré, Alain Billault a donc tous les torts. Voyez un peu, il fait des feux de paille humide qui font de la «fumaille», comme on dit dans ce marais mouillé du sud de la Vendée ; mais aussi il met de la musique à tue-tête, fait du bruit avec son motoculteur ou la chaîne de sa jument Prunelle qui piafferait la nuit près de la haie du voisin. Il chine des bouts de ferraille à la déchetterie, il récupère les palettes, encombre son jardin de charrettes à bras, de roues de carriole et de vieux engins agricoles abandonnés dans les champs. Circonstances aggravantes, il le fait souvent sans demander la permission. Forcément, on l'accuse alors de vol, de chapardage de bois. Un jour de ramassage des encombrants, il récupère un vélo qui n'était pas vraiment au rebut. Le maire invoque «des faits répétés sans contentieux de justice», et lâche de méchantes rumeurs : «Des histoires de moeurs à la maison de retraite.» On a compris, Alain n'est peut-être pas quelqu'un de facile. «Son tort, c'est d'être différent», lâche Olivier, à qui on a toujours reproché d'avoir passé la photo de Linlin dans son petit journal local, la Mogette. Et il raconte : «Il est à part, il laboure à l'ancienne, cultive avec de vieux outils. Il se promène avec un char à bancs tracté par sa jument. C'est le bouc émissaire idéal. On se croirait au Moyen Age. Il a peut-être mal réagi, construit des hangars qui tiennent pas debout et fait des feux un peu casse-couilles, mais de là à le massacrer...»
Enfant de l'assistance, Alain est sous tutelle, invalide à 80 %. A 38 ans, il ne sait pas vraiment lire, ni compter. Cela fait maintenant quinze ans qu'il habite le village avec Marinette Belloeil, qu'il appelle «maman». Marinette n'est pas administrativement sa mère adoptive, elle l'a recueilli à 3 mois. Devant la haine exacerbée du village, elle a lancé la procédure d'adoption.
«Qu'un bon à rien». Alain vit avec sa jument Prunelle, le chien Virgule, un jars, des poules et une biquette sans nom. Les rares qui l'acceptent l'appellent Linlin, Titi ou «mon p'tit drôle».
Au village, c'est devenu un jeu. Quand ils le voient, les gens se moquent de lui, l'excitent. «Il a pourtant juste besoin d'être un peu considéré, qu'on lui parle d'humain à humain. Il ne connaît pas les codes sociaux, tempère Lionel Julien, seul conseiller municipal d'opposition. Ce n'est pas un demeuré, mais il n'a pas l'intelligence des situations. Il est naïf et ne comprend pas que la scierie puisse faire du feu et pas lui.»
Un jour, sur un chemin de halage d'un des canaux du marais, un tracteur a bloqué sa charrette. «Tu fais rien, t'es qu'un bon à rien», aurait lâché le paysan avant de lui braquer sa fourche dans le ventre. Alain a beau n'avoir jamais agressé quiconque, à Maillé on parle insécurité à tous vents. Un habitant marmonne : «Il rumine forcément une vengeance.» Un autre : «On ne sait pas ce qui peut lui passer par la tête.» En tout cas, on lui a brûlé un hangar, une charrette. Des canards et des poules ont disparu.
Et puis le maire ne le supporte pas. Il l'a déjà interdit de séjour un an et demi dans la commune, et l'a fait hospitaliser d'office à trois reprises. A chaque fois, les gendarmes sont venus en nombre, avec des gilets pare-balles. L'ont emmené menotté. Les psychiatres l'ont chaque fois laissé sortir. La troisième fois, Alain s'est un peu défendu. Il a fait des moulinets avec un couteau de cuisine. Six mois de prison ferme. La semaine dernière, au tribunal de La Roche-sur-Yon, la prison avec sursis a été requise contre lui pour des nuisances sonores. Le jugement sera rendu jeudi.
En attendant, à Maillé, personne ne parle du procès de son voisin pour tentative d'homicide.
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| | | | pessoa-> J'ai rempli les cases comme on m'a demandé de le faire, moi, j'ai pas cherché plus loin que le bout de mon nez. Ce qui se passe dans mon cas précis (je devrais peut-être poster ça dans tout le monde s'en fout^^), c'est que j'ai eu une période de stage où j'ai été payé une misère, que j'ai évidemment déclarée, suivie par un CDI, où j'ai été payé normalement. Ce qui fait que j'ai fait beaucoup d'heures sur l'année pour une paie pas franchement top.
Sinon, j'ai quand même pris quelques renseignements, et il semblerait qu'il existe une case à cocher pour dire qu'on ne veut pas toucher la prime pour l'emploi. Je vais voir comment ça va se finir cette histoire, je vois ça avec les impôts et c'est pas super clair avec eux. Je me disais aussi quand j'ai rempli ma feuille de déclaration que c'était un peu trop simple tout ça... |
| | J-C, 31.08.2005 à 20:16 | 216550 |
| | | | il faut oser, Sylvain, il n'y a pas de honte a utiliser les avantages fiscaux. |
| | pessoa, 31.08.2005 à 19:39 | 216542 |
| | | Ingweil, je n'ai pas vérifié (après tout, c'est pas mon pognon à moi), mais il me semble que si tu n'as pas bossé à plein temps toute l'année, tu dois déclarer le nombre d'heures que tu as faites. Ceci sert justement à déceler les vrais bas salaires.
A ta place, avant d'encaisser le chèque, je m'assurerais d'y avoir vraiment droit (histoire de ne pas avoir à le rembourser dans 3 mois avec une prime en sus...) |
| | | | ha ha, j'y ai pensé mais j'ai pas osé l'écrire...
merci JC. |
| | J-C, 31.08.2005 à 14:25 | 216463 |
| | | | et en plus, c'est en partie déductible des impôts :-)) |
| | | | Sans le renvoyer aux impots, il est toujours possible de reverser l'argent a ATD par exemple (ou la mie de pain ou...). Comme ça ça touche les personnes dont parle ingweil.
et c'est un acte militant. |
| | june, 31.08.2005 à 12:29 | 216424 |
| | | | Ma copine a eu droit au même plan ; on a eu un énervement, presque à vouloir leur renvoyer le chèque, à ces blaireaux, puis on a eu un éclair de lucidité. 8) |
| | | | Je viens de recevoir mes impôts, et, au nom d'une mesure qui m'échappe complètement, j'ai le droit à la prime pour l'emploi, qui est une somme assez coquette ma foi. Je vais quand même pas leur renvoyer leur chèque, je vais aller l'encaisser, mais quelque part ça me fait hurler.
On est dans un pays où on radie les chômeurs en fin de droit, où le SMIC augmente moins vite que le coût de la vie, où le RMI ne permet certainement pas de vivre décemment, où des gens qui ont un CDI sont obligés de se loger dans des taudis qui peuvent cramer n'importe quand, et où on donne de l'argent à des gens comme moi, qui ont trouvé un travail correctement payé.
Ça me dépasse complètement, je me demande dans la tête de quel abruti l'idée de donner une prime pour l'emploi sans tenir compte de la date à laquelle on commence à travailler : j'ai commencé à bosser en septembre, donc j'ai fait peu d'heures de travail pour une paie faible sur l'année, donc je touche la prime pour l'emploi. On est vraiment dirigé par des nouilles qui savent pas quelle mesure pondre pour vider les caisses de l'Etat... |
| | | | | AAAAAHHHH, mais tout s'explique, mon cher! |
| | cubik, 24.08.2005 à 11:09 | 215441 |
| | | | j'ai ptet oublié de préciser qu'il faut passer la pub >) |
| | cubik, 24.08.2005 à 11:08 | 215440 |
| | | | ben ca me broute parce que ce dvd (totoro) est annoncé mollement et repoussé depuis des années, et là, y avait des dates, ça avait l'air sérieux et tout, et finalement, non |
| | | | | Surtout que Conan le Barbare, c'est qd même culte :))) |
| | chrisB, 24.08.2005 à 11:05 | 215437 |
| | | juste pour savoir, c'est quoi quite broute (à part grunt) la dedans ?
perso j'achete pas de dvds mais c'est pour comprendre et briller à ma prochaine pause café :o) |
| | cubik, 24.08.2005 à 10:54 | 215436 |
| | | 'tain, ca commence à me brouter ces conneries
y font chier chez disney! |
| | | | | cubik : | | bah, ca doit etre comme en france, tu dois pouvoir te faire debaptiser si tu veux vraiment |
je vais me convertir au bouddhisme, ca ira plus vite, je crois ;o) |
| | cubik, 16.08.2005 à 9:01 | 214445 |
| | | | bah, ca doit etre comme en france, tu dois pouvoir te faire debaptiser si tu veux vraiment |
| | | | | Eugène le jip : | | spirou2733 : | | Il me semble qu'en Alsace les prètres sont aussi payés par l'Etat. |
Et en Belgique, c'est qui les paie ? C'est nooooouuuuuus. |
si je ne me trompe, les religions reconnuesen Belgique sont financees sur base du nombre d'adherents. Mais il n'est pas possible de se declarer attache a aucune religion. Dans les statistiques, je suis repris comme catholoqe parce que j'ai ete baptise (a mon corps defendant) et l'Eglise touche des sous pour moi. Ca me fait mal ;o) |
| | | | | il manque un qui à mon message précédent... |
| | | | | spirou2733 : | | Il me semble qu'en Alsace les prètres sont aussi payés par l'Etat. |
Et en Belgique, c'est qui les paie ? C'est nooooouuuuuus. |
| | pessoa, 14.08.2005 à 18:21 | 214386 |
| | | | La différence, si je comprends bien, c'est qu'en Allemagne, on ne paie que pour le clergé de sa propre religion. |
| | man, 14.08.2005 à 17:27 | 214385 |
| | | | C'est ce qu'on appelle l'accord à cons. Ah non. On me signale dans le fond que je me suis trompé de sens, c'est donc bien le "concordat". |
| | poypoy, 14.08.2005 à 14:44 | 214379 |
| | | | La séparation des Eglises et de l'Etat date de 1905, donc les régions qui n'étaient pas en France à l'époque ne sont pas concernées. |
| | | | | Il me semble qu'en Alsace les prètres sont aussi payés par l'Etat. |
| | cubik, 14.08.2005 à 12:15 | 214361 |
| | | 'tain, je viens d'apprendre qu'en allemagne, quand tu es croyant, faut te declarer (catho ou protestant)
et on te preleve 8% de tes revenus pour financer l'eglise
je pensais po que la dime existait encore, surtout en allemagne |
| | | | | nis : | Pour ceux qui aiment le golf :
|
c'est pas beau de se moquer du physique :o) |
| | nis, 02.08.2005 à 16:07 | 213258 |
| | | Pour ceux qui aiment le golf :
http://www.anyonefortee.com/Shots/Kim.html |
| | cubik, 02.08.2005 à 12:35 | 213243 |
| | | eh be, c'est fete du slip aujourd'hui
le contrat nouveau est arrive
pour l'instant, uniquement applicable aux entreprises de moins de 25 salaries |
| | | |
beuh, il n'y a meme pas de citattions de Storm Thurmond. |
| | J-C, 02.08.2005 à 9:28 | 213204 |
| | | | ça fait tellement peur que ma boite ne m'autorise pas à y aller ! |
| | | | | frads : | | sinon, juste pour comprendre le "sujet" précédent, ça signifie quoi "divers-droite" ? |
Si on sort de ce cas précis, ça veut dire à droite mais sans étiquette. Généralement, ce sont des gens beaucoup moins à droite que ça (souvent on peut les mettre entre l'UDF et l'UMP, désolé je ne connais pas les équivalents belges), mais en définitive, ça peut être n'importe quoi (la preuve). |
| | pessoa, 07.07.2005 à 21:27 | 209736 |
| | | | Gaulliste tendance OAS, quoi. Une nouveauté. |
| | frads, 07.07.2005 à 21:18 | 209734 |
| | | | ha ouais d'accord |
| | pessoa, 07.07.2005 à 20:07 | 209728 |
| | | | frads : | | sinon, juste pour comprendre le "sujet" précédent, ça signifie quoi "divers-droite" ? |
En l'occurrence, ça veut dire FN, puis MNR, puis "sans étiquette" mais affilié au groupe UMP au conseil général des Bouches-du-Rhône... |
| | J-C, 07.07.2005 à 16:05 | 209712 |
| | | | on dit la même chose, l'ouverture des marchés intérieurs aux produits des pays "donateurs" génère de fait l'achat de biens venant de ces mêmes pays "donateurs" avec les aides et non pas le développement d'une économie locale. en sachant que le premier développement nécessaire est l'agriculture vivriaire. |
| | frads, 07.07.2005 à 16:04 | 209711 |
| | | | sinon en gros j'ai la même appréhension que cubik |
| | frads, 07.07.2005 à 16:03 | 209710 |
| | | | sinon, juste pour comprendre le "sujet" précédent, ça signifie quoi "divers-droite" ? |
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