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La Presse parle de BD

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


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Thierry, 27.04.2018 à 11:15368831
quelqu'un a un avis sur cette nouvelle revue chapeautée par Frédéric Bosser ?
c'est vraiment sur le dessin au sens large. On y parle autant de Jamie Hewlett que de Yves St Laurent, Picasso ou des dessins de Romain Duris


Mr_Switch, 25.04.2018 à 14:18368825
Rien de bien nouveau... Dommage qu'il faille une histoire d'agression rien que pour ressortir ce marronnier sur une antenne à grande écoute... Variation sur le mythe de Cassandre.

Pierre, 25.04.2018 à 13:35368824
Ego démesuré, plagiat et coups bas... La face cachée de Stan Lee, le "père" des super-héros Marvel.

Mr_Switch, 09.04.2018 à 19:14368716
Eh oui. Ceux qui ont découvert Titeuf par la série télé alors qu'ils avaient 6-7 ans sont en passe d'en avoir 23-24. Le dessin animé sera bientôt « le truc de quand mes parents étaient petits ».

Mael, 09.04.2018 à 1:40368712
L'expression sur Sfar est une citation de Menu et l'article est globalement assez mauvais et parfois franchement gênant. Il y a à dire sur Sfar mais l'attaquer parce que "chatouilleux sur sa judaïté" j'avoue que...

Sinon, en kiosque. Un "toutes ses dents" relatifs, si Titeuf se vend toujours bien, moins qu'à une époque, et dans ma bibliothèque je vois bien qu'il n'est plus l'idole des enfants de la génération actuelle, même s'ils peuvent le lire parfois :

Pierre, 05.04.2018 à 11:22368687
Aperçu dans la revue du crieur éditée par Mediapart: "Joann Sfar, le BHL de la bd".

Pierre, 11.03.2018 à 15:34368468
"Pour ceux qui ne lisent que les bandes dessinées, encore un texte de D.D.T. tiré de "Charlie Hebdo", n°47 du 11 septembre:

On va reparler de "Sam Bot". Marcellin, tout seul, souverainement, royalement sans l'avis d'aucune commission ni la sentence d'aucun juge, dans l'arbitraire le plus total et sans recours possible, a interdit "Sam Bot" et sept autres titres publiés par le même éditeur, Elvifrance. Tout ce que l'éditeur peut faire, c'est d'aller plaider sa cause dans les bureau du ministère de l'Intérieur. Vous savez ce qu'on lui a dit, au ministère de l'Intérieur ? "Si vous croyez que c'est l'article de "Charlie Hebdo" qui risque de faire changer d'avis M. Marcellin..." Et vous savez ce qu'il a fait, Marcellin ? Il a interdit aussi sec deux autres titres mensuels d'Elvifrance ! Est-ce que, après un coup pareil, la liberté d'expression entièrement livrée aux sautes d'humeur d'un petit monsieur, nos honorables confrères de la presse sérieuse vont daigner s'émouvoir ? Est-ce que les charognards de la bande dessinée, j'entends par-là les Lacassin et autres animateurs de "Clubs de bandes dessinées", vont lever le petit doigt pour la bande dessinée vivante ? Est-ce que les décerneurs de "Prix de la bande dessinée"(!!) vont publier des motions ? Est-ce que les éditeurs de journaux de bande dessinées, les "Pilote" et consorts, vont lever le petit doigt ? Comptez là-dessus ! Quand on reçoit et qu'on décerne des "prix de la bande dessinée", on est de la race de ceux qui portent la légion d'honneur sur leur chemise de nuit. Tiens, v'là qu'ils sont racistes, à "Charlie Hebdo"!

... Delfeil a raison. La lâcheté de tous ces "spécialistes" de la bande dessinée me soulève le cœur.

On leur pardonnerait leur médiocrité, leur mauvais goût, leurs laborieuses pages d'écriture, et leur mondanités. On ne peut pas leur pardonner de ne pas défendre l'ami Sam Bot, qui nous faisait marrer avec ses conneries.

Autre chose: "Satirix" vient d'être saisi, une saisie, on n'en meurt pas, ce n'est pas comme une interdiction. Et puis "Satirix" aura l'auréole du martyr politique. Tandis que Sam Bot, c'est l'ouvrier immigré, qu'il crève ! N'empêche que voilà un exemple de plus de répression. C'est très grave, même pour ceux qui ne lisent que des bandes dessinées.

W."

Charlie mensuel n°57, oct. 73.

lanjingling, 24.11.2017 à 15:53367094
Mael :
des hommages de Chaland à Picsou.

@_@ J'ai bien fait de demander des détails. Cela se trouve ?

Mael :
Dans les trucs marrants, il explique que sa famille était très antiaméricaine et qu'il n'y avait donc pas Mickey ni Picsous à la maison. "Vous étiez plutôt Pif Gadget ?" demande assez logiquement la journaliste.
Qui n'est donc pas si inculte que cela :)
Mael :
Non, dit-il, sa famille était plutôt intellectuelle et fan de jazz, il lisait donc Jazzmag par dessus l'épaule de son père. Tout cela reste fort américain.

Il y avait un tour de passe-passe réthorique que pratiquaient certains communistes anti-américains mais néanmoins férus de jazz, en disant que ce n'était pas une musique américaine mais celle du peuple noir opprimé :)

Mael, 24.11.2017 à 12:04367088
En gros Pierret bossait chez Métal, où il était rentré via le fanzinat, Filipicchi (Hachette) a racheté Métal, ils se sont retrouvés à partager des locaux avec Disney France, d'où communication et passage de Pierret chez eux, qui y fera entrer pas mal d'auteurs Métal à une époque (je pense que c'est lui le supplément avec Mezzo, Ouin - qui y a bossé jusqu'à sa mort -, Schlingo, etc ? Allister corrigera, ça n'est pas dit dans la vidéo). Il explique aussi avoir découvert l'univers Disney grâce à des hommages de Chaland à Piscou.


Dans les trucs marrants, il explique que sa famille était très antiaméricaine et qu'il n'y avait donc pas Mickey ni Picsous à la maison. "Vous étiez plutôt Pif Gadget ?" demande assez logiquement la journaliste. Non, dit-il, sa famille était plutôt intellectuelle et fan de jazz, il lisait donc Jazzmag par dessus l'épaule de son père. Tout cela reste fort américain.

lanjingling, 24.11.2017 à 11:41367087
Mael :
des liens peu attendus entre Métal Hurlant et Disney

Un résumé en trois mots et quelques noms, pour ceux qui sont privés de Youtube ?

Mael, 24.11.2017 à 11:29367086
L'Instant M, l'émission sur les médias de France Inter, reçoit le professeur Pierret (27ème rédac chef du Journal de Mickey et rédac chef de Picsou magazine) pour les 70 ans de Picsou.

Intéressant (car on entend rarement ce sujet sur grande antenne), notamment quand il explique des liens peu attendus entre Métal Hurlant et Disney, mais beaucoup d'approximations de la journalistes (sur Disney, et "Carl Banks", mais aussi, et plus gênant, sur l'histoire de la presse jeunesse/BD j'ai trouvé).

L'émission en replay ici.

Mael, 08.11.2017 à 7:32366937
La 4 de couv (et ses habituels jeux de mots digne du forum bulledair) de Libération est consacrée à Don Rosa.

Mael, 26.10.2017 à 12:25366831
Alors que le Parisien titre un article "Vacances : faîtes lire vos enfants, même de la BD !" l'émission Tac au Tac revient sur la chaîne Museum. Elle est réalisé par Laurent Frappat (fils du réalisateur originel) et Dominique Poncet en directeur artistique.

20 épisodes ont été tourné et sont annoncés.

Les auteurs qui y participents : Aseyn, Dany, Nicolas Tabary, Jean-Louis Tripp, Aude Mermilliod, Anne Teuf, Jean Mulatier, Achdé, François Boucq, Franck Biancarelli, Olivier Taduc, Nicolas Barral, Hervé Bourhis, Jean-Christophe Chauzy, Emmanuel Moynot, Yan Lindingre, Pixel Vengeur, Claire Bouilhac, David Prudhomme, Dominique Bertail, Philippe Dupuy, Guillaume Bouzard, Florence Cestac, Frank Margerin, Jeanne Puchol, Sylvie Fontaine, Davy Mourier, Catel, Florence Dupré La Tour, et Isa...

lanjingling, 14.10.2017 à 1:01366726
Anoeta :
J'aime bien ces magazines qui essaient de se la péter en faisant sérieux et qui nous font une petite bourde en couverture :
Pourquoi les héros ne meurent-ils jamais ?

Non non, c'est normal, la B.D., c'est surtout pour les enfants (et le peuple , n'oublions surtout pas ses origines populaires,hein), donc on ne peut qu'y utiliser un langage oral.
Il y a aussi de la B.D. pour adultes, dans ce cas, ils auraient dit "Pourquoi est-ce que les héros ne meurent jamais ?". Vous aurez noté l'introduction subtile de la copule être.
Ben oui, copule, copuler, la B.D. pour adultes, c'est de la B.D. dans laquelle il y a du cul, c'est aussi simple que cela.
Ou comment, en une simple phrase se déconsidérer en y exprimant deux parmi les plus gros poncifs sur la B.D. :)

Mr_Switch, 13.10.2017 à 19:25366724
Un prédicat dans une phrase impersonnelle, ce n'est pas un peu bizarre ? ;)

Anoeta, 13.10.2017 à 18:50366723


J'aime bien ces magazines qui essaient de se la péter en faisant sérieux et qui nous font une petite bourde en couverture :
Pourquoi les héros ne meurent-ils jamais ?

Dans un autre style, j'aime beaucoup celle-ci :


Magnifique couverture, très à propos et drôle sauf que, sauf que... A l'école ne fait pas partie du prédicat, c'est un complément de phrase (allez, complément circonstanciel pour les plus vieux.)

lanjingling, 13.10.2017 à 2:06366715
Pierre :
En attendant, l'éditorial de Vincent Bernière (repris depuis le site science-fiction-fantastique.com):


Je ne voulais rien dire de cet article que j'ai à peine survolé, mais je n'en peux plus de ce cliché :

"Ne reniant pas les origines populaires du medium"

Une fois pour toutes, théatre, cinéma, roman , bande dessinée, chanson, musique, danse, poésie, y a-t-il UN SEUL medium qui n'ait pas une origine populaire ?

NDZ, 12.10.2017 à 10:05366710
lldm :
Pierre :
Xavier :
Pierre :
Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

J'ai partagé sur Facebook mes premières impressions (sachant que je suis loin d'avoir lu l'ensemble). C'est très viellot, dans la mise en page, dans les thématiques, et il y a finalement très peu d'éléments qui permettent de réaliser qu'il s'agit bien d'une publication de 2017, et pas de 1990 (en gros). La nostalgie y est envahissante...

Merci (et c'est là que je m'aperçois de l'inconvénient de n'être pas sur Facebook).



non plus
du coup tu pourrais peut-être recopier ça ici ?


C'est marrant que tu parles de la mise en page/maquette datée... car dans l'appel à contribution initial [EDIT, dans une interview à ActuaBD], Bernière annonçait "doté d’une maquette élégante". Conclusion, élégant et vieillot ? élégant parce que vieillot ? élégant impose veillot ?

NDZ, 12.10.2017 à 10:03366709
lldm :
Pierre :
Xavier :
Pierre :
Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

J'ai partagé sur Facebook mes premières impressions (sachant que je suis loin d'avoir lu l'ensemble). C'est très viellot, dans la mise en page, dans les thématiques, et il y a finalement très peu d'éléments qui permettent de réaliser qu'il s'agit bien d'une publication de 2017, et pas de 1990 (en gros). La nostalgie y est envahissante...

Merci (et c'est là que je m'aperçois de l'inconvénient de n'être pas sur Facebook).



non plus
du coup tu pourrais peut-être recopier ça ici ?


C'est marrant que tu parles de la mise en page/maquette datée... car dans l'appel à contribution initial [EDIT, dans une interview à ActuaBD], Bernière annonçait "doté d’une maquette élégante". Conclusion, élégant et vieillot ? élégant parce que vieillot ? élégant impose veillot ?

Pierre, 12.10.2017 à 7:57366705
En attendant, l'éditorial de Vincent Bernière (repris depuis le site science-fiction-fantastique.com):

L’ÂGE DE RAISON ?

Création, édition, exposition, médiatisation…depuis un quart de siècle, la bande dessinée mondiale vit un nouvel âge d’or. Ce n’est pas la crise, contrairement à ce que certains grincheux voudraient bien laisser croire, mais bien l’engouement! De nombreuses audaces participent d’un tel mouvement. Par exemple, en 1985, lorsque Thierry Groensteen, le rédacteur en chef de 1984 à 1988 de la 3e série des Cahiers de la bande dessinée, imaginait dans un ouvrage intitulé La Bande dessinée depuis 1975 que, «!demain, certains envoyés spéciaux des organes d’information n’auront peut-être plus la caméra au poing, mais le crayon à la main!», gageons que la plupart de ses lecteurs étaient peu enclins à croire en cette prémonition. Depuis, le succès d’une publication comme La Revue dessinée prouve qu’ils avaient tort.

En 2010, lorsque Guy Delcourt réédita Sam Bot, un héros de BD érotique pour troufions dessiné par Raoul Buzzelli, le frère du grand Guido, l’un de ses éditeurs suggéra de faire travailler des dessinateurs de la nouvelle génération dans le format des fascicules Elvifrance dans lequel Sam Bot sévissait. «!Fantasme d’éditeur!», rétorqua Guy Delcourt. Depuis, le succès de la collection de petits formats «!BD Cul!», publiée par Les Requins Marteaux, montre qu’il est parfois bon de réaliser ses fantasmes.

Et que dire également de la collection «!La petite bédéthèque du savoir!» des éditions du Lombard, sorte de «!Que sais-je!?!» en bande dessinée. Qui aurait imaginé un tel concept il y a dix ans!? Ressusciter Les Cahiers de la bande dessinée, qui débutèrent en 1969 sous la forme d’un fanzine ronéotypé publié par Jacques Glénat, est l’expression d’un fantasme, voire le signe d’une certaine forme de maturité. Il n’y a aucune raison pour que, contrairement au cinéma, à la musique ou à la littérature, il n’existe pas ou peu de rayons critiques en kiosque et en librairie. Une nouvelle génération d’exégètes, dont certains figurent au sommaire de ce premier numéro, l’appelle en tout cas de leurs voeux. Quelques anciens aussi, tel Numa Sadoul, le rédacteur en chef de la 4e série des Cahiers de la BD, publiée de 1988 à 1989, ou Yves Frémion, l’animateur, entre autres, du fanzine culte Le petit Miquet qui n’a pas peur des gros. Les auteurs sont cordialement invités.

Sans auteur, pas de bande dessinée. Oui, mais sans critique!? Serge Daney, l’un des rédacteurs en chef des Cahiers du cinéma, voyait dans le critique un passeur. C’est dans cet esprit que la ligne rédactionnelle de ces nouveaux Cahiers de la BD a été envisagée. Non pas élitiste, mais accessible.


Ne reniant pas les origines populaires du medium tout en essayant d’en proposer une lecture sérieuse. Évoquer des sujets pointus de façon lisible et passionnée. Privilégier l’intemporalité à l’actualité immédiate. Donner de la place aux grands formats et aux belles images par opposition à l’information non hiérarchisée des écrans numériques. Nous croyons que la lecture sur papier provoque du plaisir. Les humains n’ont jamais autant lu, écrit, dessiné! «!Toutes les bandes dessinées nous intéressent, sans distinction de public ou de genre, pourvu qu’elles soient de qualité et qu’elles nous procurent du plaisir. C’est ce plaisir que nous chercherons à approfondir et à partager, avec rigueur et passion, en gourmets, en amoureux.!» Ce propos est issu de l’éditorial du no 56 des Cahiers de la bande dessinée, paru en 1984, et qui inaugurait sa 3e série. Parfois, il y a des choses qui ne changent pas.

lldm, 12.10.2017 à 0:24366703
Pierre :
Xavier :
Pierre :
Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

J'ai partagé sur Facebook mes premières impressions (sachant que je suis loin d'avoir lu l'ensemble). C'est très viellot, dans la mise en page, dans les thématiques, et il y a finalement très peu d'éléments qui permettent de réaliser qu'il s'agit bien d'une publication de 2017, et pas de 1990 (en gros). La nostalgie y est envahissante...

Merci (et c'est là que je m'aperçois de l'inconvénient de n'être pas sur Facebook).



non plus
du coup tu pourrais peut-être recopier ça ici ?

Pierre, 11.10.2017 à 18:12366701
Xavier :
Pierre :
Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

J'ai partagé sur Facebook mes premières impressions (sachant que je suis loin d'avoir lu l'ensemble). C'est très viellot, dans la mise en page, dans les thématiques, et il y a finalement très peu d'éléments qui permettent de réaliser qu'il s'agit bien d'une publication de 2017, et pas de 1990 (en gros). La nostalgie y est envahissante...


Merci (et c'est là que je m'aperçois de l'inconvénient de n'être pas sur Facebook).

Allister Baudin, 11.10.2017 à 16:37366698
En effet..

Mr_Switch, 11.10.2017 à 16:07366697
Allister Baudin :
D'après quelle accroche ?
Celle lisible sur Amazon, Fnac, le facebook du Monte en L'air etc. « Dans la lignée des Cahiers du cinéma, mais de façon plus ouverte, Les Cahiers de la BD se veulent le support d’information de toutes les bandes dessinées ../.. ».

C'est maladroit. Je ne dis pas que c'est faux, je ne dis pas que c'est vrai. C'est simplement maladroit.
Comme tu le dis, les Cahiers de la BD sont les Cahiers de la Bande dessinée. Donc pour être dans la lignée des cahiers du cinéma, il faudrait qu'il s'agisse des Cahiers du cinéma des années 1950-60, en effet. Mais je ne pense que ce soit vraiment l'idée de cette présentation.

Xavier, 11.10.2017 à 15:08366696
Pierre :
Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

J'ai partagé sur Facebook mes premières impressions (sachant que je suis loin d'avoir lu l'ensemble). C'est très viellot, dans la mise en page, dans les thématiques, et il y a finalement très peu d'éléments qui permettent de réaliser qu'il s'agit bien d'une publication de 2017, et pas de 1990 (en gros). La nostalgie y est envahissante...

Allister Baudin, 11.10.2017 à 14:51366694
D'après quelle accroche ? Il y a bien, bien des maladresses dans la revue (et autant dans les articles à son propos), mais pour le coup le titre Les Cahiers de la BD est bien une référence aux Cahiers du cinema, référence revendiquée par Groensteen, Glénat et même Sadoul, je ne comprends pas ce que tu veux dire. Le titre Les Cahiers de la BD n'est pas une référence au titre Les Cahiers de la bande dessinée, puisque c'est le même (Groensteen a changé les Cahiers de la bande dessinée en Cahiers de la BD en 88), et la même "marque déposée", qui vient d'être vendue par Glénat.

Mr_Switch, 11.10.2017 à 14:32366693
Tiens, le titre Les Cahiers de la BD, ce n'est pas en référence aux Cahiers de la Bandes Dessinées. mais aux Cahiers du Cinéma, d'après l'accroche. Maladresse, quand tu nous tiens...

Pierre, 11.10.2017 à 13:26366691
C'est sorti:



Je compte bien acheter mon exemplaire, ne serait-ce qu'au titre du bullecopinage.

Quelqu'un l'a lu ? Allez, qui se lance (le choix de E.P. Jacobs pour inaugurer ce retour, à lui seul appellerait bien des commentaires) ?

lldm, 09.10.2017 à 14:44366682
En replay sur Arte quelques jours, un documentaire sur Goscinny pas mal du tout, qui passe un peu de temps sur les années Mad et le contexte général de création.

Glotz, 26.09.2017 à 17:01366582
Avis succinct : c'est une grosse revue où il y a à boire et à manger.

Xavier, 26.09.2017 à 16:30366581
Pierre :
Quelqu'un sait où en est le projet de retour des Cahiers de la bande dessinée ?

Je crois que le numéro 1 est sorti en kiosque, et que les participants au financement participatif devraient le recevoir d'ici une semaine.