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S'essayer aux mangas... [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ] retour forum
 | Herbv, 18.11.2010 à 19:58 | 334637 |
|  |  | A mon avis, c'est pour lutter contre l'érosion des ventes : on fourgue le maximum de pages le plus vite possible.... Peut-être est-ce pour permettre une meilleure rentabilité... J'avoue que de tels pavés me laissent un peu perplexe. Je ne vous raconte pas le poids du bestiau, rien que ça, c'est décourageant :) |
 | THYUIG, 17.11.2010 à 5:38 | 334568 |
|  |  | Est-ce cette évolution rapide du contenu qui a fait préféré à l'éditeur une édition regroupée en deux tomes plutôt que la dizaine originale ? Si toute la première partie est poussive, mais que ça s'arrange par la suite, deux premiers tomes désuets auraient découragés la lecture de la série compléte. J'ai donc bon espoir, mais j'attends la suite de ton verdict quand même. |
 | Herbv, 16.11.2010 à 23:35 | 334567 |
|  |  | Pas fini (en fait, j'ai lu l'équivalent d'un tankobon, c'est à dire moins d'un cinquième) et j'ai du mal, je dois avouer. Je trouve que ça n'a pas bien vieilli, c'est le moins que l'on puisse dire. J'ai souvent eu du mal avec les shônen des années 1960-1970-1980 et ça se confirme. Ceci dit, ça devient du seinen assez rapidement (changement de magazine de prépublication) et ça se voit dans l'évolution du dessin. Peut-être que les histoires seront plus intéressantes du coup... |
 | e m, 16.11.2010 à 21:21 | 334565 |
|  |  | Dites donc, ça donne envie de relire Maison Ikkoku tout ça!
***
THYUIG : | Personne là-dessus ???? Vu la taille du bouquin ( plus de 1000 pages !), j'aimerais bien avoir un avis avant de me lancer.. Merci d'avance. |
Ah tiens, ça m'intéresse aussi, j'hésite un peu à l'acheter. |
 | THYUIG, 16.11.2010 à 21:08 | 334564 |
|  |  | Personne là-dessus ???? Vu la taille du bouquin ( plus de 1000 pages !), j'aimerais bien avoir un avis avant de me lancer.. Merci d'avance. |
 | Marie, 16.11.2010 à 19:53 | 334563 |
|  |  | Mr_Switch : | Le tome 10 reste le livre le mieux étoilé de bubulle ;). |
Tiens, j'y rajoute aussi les miennes :)
Il faudrait que je relise pour détailler tome par tome, mais je me rappelle très bien que c'était bon de bout en bout. |
 | |  |  | Le tome 10 reste le livre le mieux étoilé de bubulle ;). |
 | Herbv, 16.11.2010 à 19:04 | 334561 |
|  |  | En fait, là, c'est une histoire d'amour pour jeunes adultes (c'est du seinen). Pour moi, Maison Ikkoku est ce que Rumiko Takahashi a fait de mieux, devant Lamu (dans un autre registre). Ensuite, ses séries n'ont fait que baisser en qualité et se banaliser...
D'ailleurs, SydN, tu devrais avoir honte d'avoir baissé la bullemoyenne de la série :) Te rends-tu compte que tu es le seul à ne pas avoir mis les petits cœurs au tome 10 ? Tsss...
Ensuite, tu t'avances peut-être un peu (mais il y a le "je crois" qui va bien) en estimant que Rumiko Takahashi a été la première à toucher un public autant masculin que féminin car je ne suis pas persuadé qu'elle a un grand lectorat féminin au Japon (mais il est réel aux USA et en Europe). Les animés tirés de ses mangas ont, par contre, dû ratisser beaucoup plus large. |
 | SydN, 16.11.2010 à 17:26 | 334559 |
|  |  | Maison Ikkoku T.1 à 10.
J'avais quelques souvenir du dessin animé de mon enfance, que je n'aimais pas trop. Une histoire d'amour? C'est pour le filles ! Mais aujourd'hui, Rumiko Takahashi a réussit a parler à mon moi féminin... Quoique la série est publiée dans la collection Shonen... Il faut dire qu'une des plus grande réussite de cette auteure (célébrissime au japon, et l'une des plus grande fortune du pays) est d'avoir été -je crois- la première à réussir à toucher un public autant féminin que masculin (ce qui est rare au japon tellement c'est ciblé généralement). Comme dans ranma 1/2 (autre succés de l'auteur, connu même ici), on retrouve des thématiques qui plaisent au deux partis. Néanmoins, la comparaison s'arrete là, puisque Maison Ikkoku est bien plus mature, moins déjanté, plus réaliste... et plus touchant! Pourtant on retrouve un humour hilarant, et des situations de quiproquo d'une grande qualité, autant cocasse que bien amenées... Tous les personnages secondaires sont extraordinaires de truculence (les personnages principaux étant eux bien fades et parfois énervant, mais ca fait partit du jeu^^ S'ils étaient parfait, ça ne pourrait pas etre si crédible et si drôle)
La meilleure comédie romantique que j'ai pu lire, bon j'en ai pas lu beaucoup, mais celle-ci est vraiment d'un très haut niveau, avec peu de passages moyens, le rythme est plutot bien tenu sur l'ensemble des 10 tomes, ce qui est un tour de force, vu le peu de possibilité qu'offrait le principe de base, mais je crois que Rumiko Takahashi a tout exploité! Quelques moment plus faibles, quelques redites, mais rares et vites oubliés.
L'ensemble de la série est vraiment d'une grande qualité je trouve.
4 tabliers pour l'ensemble. |
 | chrisB, 16.11.2010 à 15:57 | 334557 |
|  |  | C'est bon pour moi, je cale :o)
Encore une série top moumoutte/ à découvrir qui ne m'emballe pas ! |
 | SydN, 14.11.2010 à 20:31 | 334525 |
|  |  | je ne sais pas trop, je ne sais même pas s'il y a des bonus^^
En tout cas, d'après ceque j'ai vu de l'animé, le dessin du manga est un poil simplifié (et un peu réapproprié par le mangaka) mais globalement le chara design semble proche. |
 | |  |  | Oui les esquisses du chara design de la série animée ont été élaborées par les CLAMP.
Qu'en reste-t-il dans les mangas ? On nous en donne une idée dans les bonus ? |
 | SydN, 14.11.2010 à 14:40 | 334521 |
|  |  | ah oui, j'oubliais:
2 yeux de verre pour ce tome 1. |
 | SydN, 14.11.2010 à 14:38 | 334520 |
|  |  | Mouais, bon... Je n'ai pas vu l'animé, donc je ne peux comparer... Pourtant on sent que le rythme est trop rapide, je ne pense pas que l'animé soit si "saccadé". La mise en page frise le n'importe quoi illisible... Le chara design est sympa mais ne casse pas des briques non plus (seul Zero à de la gueule), a force de trop vouloir élargir son public, les Clamps (qui ratissent déjà large) s'enfoncent dans des designs de plus en plus banals qui plus est dans un registre graphique déjà hyper balisé, celui du shonen...
L'univers n'est pas très original, mais le concept est sympathique, même s'il fait déjà vu (les idéaux divergeants de deux amis), il a rarement été abordé de la sorte je crois.
Tinté de mystères, l'ensemble intrigue tout de même et on espère saisir un peu plus les enjeux qui sous-tendent tou ça dans les tomes suivants. Même si c'est pas hyper engageant... |
 | e m, 13.11.2010 à 0:15 | 334492 |
|  |  | wandrille : | Il y a un gag sur un mec qui se met en sous vêtement sur un toit d'immeuble, là les martiens débarquent et l'arrose d'un mystérieux rayon. Du coup on apprend aux infos que son sexe a triplé. La dernière image représente plein de mecs en sous vêtement qui attendent sur un toit d'immeuble.
Je...
J'adore. |
Ahah excellent 8)
A lire comme ça, c'est le genre de truc qui me fait bien marrer.
Faudra que je pense à regarder chez mon libraire si cette série est dispo. |
 | Herbv, 12.11.2010 à 22:38 | 334489 |
|  |  | En tout cas, ça vend suffisamment pour qu'on ait le 5ème tome et pour avoir fait venir l'auteur à Angoulême 2008... :) |
 | |  |  | wandrille : | Thierry : | |
Ah moi j'adore ce truc, ça me fascine. Parfois je mets dix minutes à comprendre comment ça marche, mais ptin, c'est rigolo comme tout.
Il y a un gag sur un mec qui se met en sous vêtement sur un toit d'immeuble, là les martiens débarquent et l'arrose d'un mystérieux rayon. Du coup on apprend aux infos que son sexe a triplé. La dernière image représente plein de mecs en sous vêtement qui attendent sur un toit d'immeuble.
Je...
J'adore. |
oui, mais c'est aussi invendable que L de Benoît Jacques :o) |
 | |  |  | Thierry : | |
Ah moi j'adore ce truc, ça me fascine. Parfois je mets dix minutes à comprendre comment ça marche, mais ptin, c'est rigolo comme tout.
Il y a un gag sur un mec qui se met en sous vêtement sur un toit d'immeuble, là les martiens débarquent et l'arrose d'un mystérieux rayon. Du coup on apprend aux infos que son sexe a triplé. La dernière image représente plein de mecs en sous vêtement qui attendent sur un toit d'immeuble.
Je...
J'adore. |
 | Herbv, 12.11.2010 à 11:56 | 334484 |
|  |  | ingweil, il faut bien comprendre que Les Gouttes de Dieu est un manga de genre (gourmet manga, qu'on pourrait appeler ici "manga culinaire" même si on perd un peu de sens). A partir de là, tu es "obligé" de respecter une sorte de cahier des charges dont l'absence de recul mais aussi le côté emphatique me semblent en faire partie. Il en est de même avec le système des mini-"quêtes" permettant d'exprimer tous ses talents et de progresser vers la perfection qui sont intégrées à une quête plus générale.
Personnellement, dans son genre, je trouve Les Gouttes de Dieu tout à fait réussi, notamment grâce à un bon sens du rythme et du découpage (un des scénaristes est un maître du genre, notamment dans le shônen manga), un dessin adéquat et des personnages attachants. Certes, c'est super calibré et, comme le dit e m, il faut savoir prendre du recul. Si on y arrive, on a là une série très efficace et tout à fait plaisante à lire. |
 | |  |  | bouaf, de l'invendable, de l'abscons, parfois au delà du compréhensible (même pour son auteur, paraît-il), mais un tel niveau de radicalité dans le n'importe quoi force le respect. Et, en fait, il y a des gags franchements droles, à condition d'entrer dans l'illogique de l'auteur. |
 | |  |  | Au bout de deux tomes, on a quand même largement fait le tour. Mais c'est surtout les personnages têtes à claques qui m'ont gonflé. Un manga fait de cette façon aussi caricaturale aujourd'hui, sans aucun recul sur la façon dont on a pu mettre en scène ce type de personnage ces 20 dernières années, c'est juste chiant. Nana (qui n'est pas un sommet de narration à mes yeux) par exemple, malgré son cortège de passages obligés et lieux communs, réussissait à prendre du recul sur sa narration et sa mise en scène. Là c'est d'un lourdaud... |
 | e m, 08.11.2010 à 18:42 | 334309 |
|  |  | Les Gouttes de Dieu, faut prendre ça au moins au 20e degrés, sinon c'est imbuvable. 8)
Faut voir les délires du gars dès qu'il boit une goutte de vin... |
 | |  |  | Les gouttes de Dieu, ça m'a très vite saoulé. Par contre, ça a un sacré succès (que je ne m'explique pas franchement). |
 | chrisB, 08.11.2010 à 12:19 | 334274 |
|  |  | J'ai chopé les premiers tomes à la bibli :o)
aussi ceux des gouttes de dieux (la série sur la vinasse) |
 | e m, 07.11.2010 à 10:06 | 334248 |
|  |  | ingweil : | Un grand merci à e m d'avoir pointé cette série. La qualité n'a pas diminué tout au long de ces huit tomes. Une très grande capacité à se renouveler, très flagrant sur cet album. Vinland Saga, c'est bon mangez-en. |
Ah ben pas de quoi. Ça fait plaisir de voir qu'on ne laisse pas des petits avis pour rien 8)
Espérons que la suite sera à la hauteur des 8 premiers tomes. |
 | |  |  | Un grand merci à e m d'avoir pointé cette série. La qualité n'a pas diminué tout au long de ces huit tomes. Une très grande capacité à se renouveler, très flagrant sur cet album. Vinland Saga, c'est bon mangez-en. |
 | |  |  | alors remettons dans le contexte : 1996 plein boum des pokemon ..... voila l'image manga de l'époque. sinon vous avez aussi un épisode des Simpson au japon où la famille se tape une crise d'épilepsie devant un DA avec des éclairs ...
Thierry : | lanjingling : | et pour continuer dans le...surprenant, qu'est-ce que c'est que ce truc ???? |
une faute de gout de la part d'un groupe autrement irréprochable du point de vue artistique |
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 | |  |  | lanjingling : | et pour continuer dans le...surprenant, qu'est-ce que c'est que ce truc ???? |
une faute de gout de la part d'un groupe autrement irréprochable du point de vue artistique |
 | |  |  | et pour continuer dans le...surprenant, qu'est-ce que c'est que ce truc ???? |
 | |  |  | Mr_Switch : | Pour l'anecdote, La rose de Versaille/Lady Oscar a été adapté au cinéma en 1978 par... Jacques Demy. | je cherchais a voir ce film depuis quelques temps, mais cette chronique m'a certes fait passer un agreable mopment de lecture mais m'aurait quelque peu degoute du film... |
 | |  |  | Pour l'anecdote, La rose de Versaille/Lady Oscar a été adapté au cinéma en 1978 par... Jacques Demy. |
 | e m, 14.10.2010 à 22:00 | 333857 |
|  |  | Mr_Switch : | [...]Je dirais qu'on se doit de lire les 2 tomes au moins pour sa culture mangaesque mais tu me diras, ça ne donne une raison suffisante pour acquérir l'oeuvre. |
chrisB : | Exact, si tu as la mostalgie des dessins animés de la 5 ou de Dorothée (Georgie, Princesse Sarah, etc.) ça peut passer doucement. |
Bon je pense que je vais me laisser tenter.
Je ne me souviens pas de Georie, mais j'aimais bien Princesse Sarah 8)
Pis j'aime bien découvrir les vieux manga.
Merci. |
 | Isaac, 14.10.2010 à 16:53 | 333853 |
|  |  | Thierry : | rien de neuf sous le soleil, les grosses ficelles d'Urasawa au service de Tezuka. L'intrigue avance bourgeoisement, balisément, dessinée honnêtement mais sans intérêt. |
Un peu du même avis... |
 | |  |  | effer : | Thierry : | rien de neuf sous le soleil, les grosses ficelles d'Urasawa au service de Tezuka. L'intrigue avance bourgeoisement, balisément, dessinée honnêtement mais sans intérêt. |
Je ne suis pas blasé par les "ficelles" de Urasawa, il est bigrement efficace, je suis happé chaque fois!
;-) |
Tu n'es pas encpre assez bulleblasé :o) |
 | effer, 14.10.2010 à 16:25 | 333850 |
|  |  | Thierry : | rien de neuf sous le soleil, les grosses ficelles d'Urasawa au service de Tezuka. L'intrigue avance bourgeoisement, balisément, dessinée honnêtement mais sans intérêt. |
Je ne suis pas blasé par les "ficelles" de Urasawa, il est bigrement efficace, je suis happé chaque fois!
;-) |
 | |  |  | rien de neuf sous le soleil, les grosses ficelles d'Urasawa au service de Tezuka. L'intrigue avance bourgeoisement, balisément, dessinée honnêtement mais sans intérêt. |
 | chrisB, 14.10.2010 à 9:24 | 333841 |
|  |  | Mr_Switch : | "La Rose de Versaille" est LE shojo des années 70 et par conséquent, il regorge de clichés shojoïques.
C'est difficile de te répondre : les 2 premiers tomes sont deux gros pavés. Mais vraiment pavé pavé, version dico.
Comme j'ai suivi Lady Oscar étant jeune à la télé, forcément, j'avais une recherche particuliere en lisant la série.
Je dirais qu'on se doit de lire les 2 tomes au moins pour sa culture mangaesque mais tu me diras, ça ne donne une raison suffisante pour acquérir l'oeuvre. |
Exact, si tu as la mostalgie des dessins animés de la 5 ou de Dorothée (Georgie, Princesse Sarah, etc.) ça peut passer doucement. |
 | |  |  | "La Rose de Versaille" est LE shojo des années 70 et par conséquent, il regorge de clichés shojoïques.
C'est difficile de te répondre : les 2 premiers tomes sont deux gros pavés. Mais vraiment pavé pavé, version dico.
Comme j'ai suivi Lady Oscar étant jeune à la télé, forcément, j'avais une recherche particuliere en lisant la série.
Je dirais qu'on se doit de lire les 2 tomes au moins pour sa culture mangaesque mais tu me diras, ça ne donne une raison suffisante pour acquérir l'oeuvre. |
 | e m, 13.10.2010 à 20:54 | 333838 |
|  |  | Kana va rééditer La Rose de Versaille en janvier. Série que j'aimerai bien essayer depuis un bon bout de temps.

Est-ce qu'il y a des chances que ça me plaise, en sachant que je ne suis pas vraiment fan de shojo ?
(c'est surtout le shojo actuel qui ne me plait pas, je n'ai jamais essayé les vieux des années '70)
Sinon...
Banana Fish.
Je m'y réessaye pour la troisième fois.
Et comme d'habitude, je m'ennuie terriblement. Même pas moyen d'aller au bout de ce premier tome cette fois... |
 | effer, 27.09.2010 à 16:15 | 333577 |
|  |  | Thierry : | Dernier tome de Lone Wolf & Cub... La dernière série manga que je suivais.
Petit rappel des épisodes précédents, Ogami Itto fut l'exécuteur du Shogun, avant de tomber en disgrâce suite aux intrigues de Yagyu Retsudo, dont le clan jouit d'un prestige et d'une influence sans égals auprès du Shogun. Ayant tout perdu, il a juré de se venger et de détruire le clan Yagyu Depuis, il sillonne les routes du Japon, flanqué de son jeune fils Daïgoro, louant sa lame pour réunir suffisamment de fonds pour mener à bien sa vengeance.
Les premiers tomes se concentraient sur les contrats de Ogami Itto, puis ce fut l'apparition de la lettre Yagyu, et le combat de plus en plus acharné avec les Yagyu, avant de se diriger vers l'affrontement final, avec l'interférence de Kaï l'empoisonneur, qui faisait également office de contrepoids aux personnalités de plus en plus abstraites de Retsudo et de Ogami.
En effet, dans la dernière partie de la série, les auteurs semblent avoir joué sur une épure de plus en plus forte en ce qui concerne leur 2 principaux protagonistes. Il y a une forme de zen dans leur opposition, qui les rapproche étrangement. Yin et Yang. Ce qui a valu un tome proche du chiantissime où ils se font face pendant près de 200 pages, et ils ne vont pas tarder à commencer à s'affronter physiquement. Mais dans la logique de l'ensemble, et la progression de l'intrigue, il a tout-à-fait sa place.
Et, enfin, nous atteignons le dernier tome. Les auteurs nous auront fait languit, et ils réussissent à réunir les différents éléments qui ont caractériser cette série. Il y a une séquence d'ouverture tout en excès qui oppose Ogami Itto aus dernièeres herbes. Il y a évidemment cet affrontement ultime entre les 2 ennemis. Il y a le rôle de Daïgoro, et la relation qui le lie à son père. il y a la conclusion des enjeux politiques qui se déroulent en coulissent, causes et conséquences de cette lutte à mort. Il y a le portrait d'une société en plein devenir... et il y a une tragédie épique et grandiose.
Qui du vieux renard ou du loup solitaire sortira vainqueur de cette confrontation ? Peut-il y avoir un vainqueur ? Je dois reconnaître que la fin ne déçoit pas. En tout cas, elle clot cette série de manière plus que satisfaisante pour moi. |
J'ai également trouvé cette fin très bonne, par l'émotion qu'apporte la relation père fils, le choc politique bien exposé des rapports entre les clans, la position du shogun pour qui une nouvelle ère va commencer. |
 | |  |  | Dernier tome de Lone Wolf & Cub... La dernière série manga que je suivais.
Petit rappel des épisodes précédents, Ogami Itto fut l'exécuteur du Shogun, avant de tomber en disgrâce suite aux intrigues de Yagyu Retsudo, dont le clan jouit d'un prestige et d'une influence sans égals auprès du Shogun. Ayant tout perdu, il a juré de se venger et de détruire le clan Yagyu Depuis, il sillonne les routes du Japon, flanqué de son jeune fils Daïgoro, louant sa lame pour réunir suffisamment de fonds pour mener à bien sa vengeance.
Les premiers tomes se concentraient sur les contrats de Ogami Itto, puis ce fut l'apparition de la lettre Yagyu, et le combat de plus en plus acharné avec les Yagyu, avant de se diriger vers l'affrontement final, avec l'interférence de Kaï l'empoisonneur, qui faisait également office de contrepoids aux personnalités de plus en plus abstraites de Retsudo et de Ogami.
En effet, dans la dernière partie de la série, les auteurs semblent avoir joué sur une épure de plus en plus forte en ce qui concerne leur 2 principaux protagonistes. Il y a une forme de zen dans leur oppostion, qui les rapproche étrangement. Yin et Yang. Ce qui a valu un tome proche du chiantissime où ils se font face pendant près de 200 pages, et ils ne vont pas tarder à commencer à s'affronter physiquement. Mais dans la logique de l'ensemble, et la progression de l'intrigue, il a tout-à-fait sa place.
Et, enfin, nous atteignons le dernier tome. Les auteurs nous auront fait languit, et ils réussissent à réunir les différents éléments qui ont caractériser cette série. Il y a une séquence d'ouverture tout en excès qui oppose Ogami Itto aus dernièeres herbes. Il y a évidemment cet affrontement ultime entre les 2 ennemis. Il y a le rôle de Daïgoro, et la relation qui le lie à son père. il y a la conclusion des enjeux politiques qui se déroulent en coulissent, causes et conséquences de cette lutte à mort. Il y a le portrait d'une société en plein devenir... et il y a une tragédie épique et grandiose.
Qui du vieux renard ou du loup solitaire sortira vainqueur de cette confrontation ? Peut-il y avoir un vainqueur ? Je dois reconnaître que la fin ne déçoit pas. En tout cas, elle clot cette série de manière plus que satisfaisante pour moi. |
 | e m, 22.09.2010 à 14:02 | 333512 |
|  |  | Donc :
Tenseai -> shojo
Nodame -> josei
Je dois faire partie des autres alors 8)
Merci pour le sommaire!
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 | |  |  | Il y a un sommaire par là.
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 | Herbv, 21.09.2010 à 22:57 | 333503 |
|  |  | Il sort ce jeudi, en fait :)
Tensai Family Company est effectivement du shôjo manga (même si j'ai eu du mal à le croire) car prépublié dans le magazine, aujourd'hui disparu, Kimi to boku. Les puristes un peu bornés comme moi diront que Nodame Cantabile est du josei (prépublié dans le magazine Kiss). Les autres, comme l'auteur de l'article "Le manga au féminin : shôjo/josei, la frontière floue", estimeront que ces distinctions ne riment à rien :)
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 | e m, 21.09.2010 à 22:00 | 333502 |
|  |  | Quoi Manga 10 000 images N° 3 est enfin dispo et personne ne me prévient ?!!
Je vais l'acheter vendredi, j'espère que mon libraire aura reçu ses exemplaires.
J'ai essayé de lire Five parce que c'était dispo à la bibliothèque du coin et qu'il n'y avait rien d'autre intéressant.
Herbv : | Il y a de la bonne came de conseillée et il y en a pour tous les goûts, même les tiens :) |
Attention je suis très difficile 8)
Pour le moment les seuls shojo que j'ai appreciés sont Tensai Family Company et Nodame Cantabile (plus qu'un mois avant le #11! C'est long les parutions trimestrielles...)
Mais est-ce que ce sont vraiment des shojos...?
Sinon y a l'anime Nana que j'avais bien aimé. Faudrait que j'essaye le manga, peut-être que ça me plaira. |
 | Herbv, 21.09.2010 à 21:36 | 333500 |
|  |  | C'est nul, Five. Quelle idée d'essayer de lire ça, e m. Si tu cherches de la bonne mangasse pour filles, je te conseille de lire les 20 chroniques de Manga 10 000 images N° 3. Il y a de la bonne came de conseillée et il y en a pour tous les goûts, même les tiens :) |
 | e m, 21.09.2010 à 15:26 | 333492 |
|  |  | Five #1...
Nouvelle tentative dans le shojo. Une fois de plus, c'est pas pour moi.
Même pas réussi à atteindre le troisième chapitre. Les personnages et l'histoire (c'est sûrement trop tôt pour se faire une idée, mais quand même) ne m'intéresse pas, et la narration est bien confuse (parfois j'avais dû mal à comprendre l'enchainement de certaines scènes - d'autres fois c'était juste incompréhensible).
Le dessin me dérange moins que dans les autres shojo, alors :
1 garçon.
Et vivement un bon vieux One Piece!! 8) |
 | e m, 19.09.2010 à 16:18 | 333448 |
|  |  | zou! Tant que j'y suis :
Ikigami #5+6...
J'avais un peut laissé tombé au tome 4 parce que c'était vraiment trop gnagnan.
Les #5 et #6 sont nettement plus intéressants. L'auteur commence enfin à développer la trame et le personnage principal (avec même une bonne surprise).
Dommage qu'il y a toujours plein de photos retouchées pour les décors.
4 tags... |
 | e m, 19.09.2010 à 16:13 | 333447 |
|  |  | Doubt #4...
Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est dans le même genre que Saw (film qui a dû drôlement inspirer l'auteur - ou inversement).
Les premiers tomes ne volaient pas bien haut, mais se laissaient encore lire. Le tome 4 avec sa révélation finale, c'est quand même n'importe quoi...
J'évite d'en dire plus pour ne pas spoiler les gens interessés 8)
Le dessin, même si classique, me plait encore assez, alors...
1 hache. |
 | |  |  | Bouhhh effer
Tu arrives à faire un [annees_douces1 : album sans vignette] malgré les efforts du PBE et de moi-même pour que personne ne nous le fasse.
Ensuite, tu omets de dire que c'est un livre de la collection Ecriture. Ca n'excuse pas, mais ça commence à expliquer.
Enfin, tu omets de dire que c'est du Jirō Taniguchi, pour qui l'inversion n'est pas moins grave mais plus courante dirons-nous (ok Jirō n'est publié que par Casterman, ça explique aussi ^^)
Non, le vrai scandale, c'est que Casterman ne dise pas qu'il s'agit d'une adaptation d'une nouvelle de Hiromi Kawakami... |
 | NDZ, 24.08.2010 à 17:32 | 333028 |
|  |  | effer : | [annees_douces1 : album sans vignette]
Casterman publie cet album dans le sens français!
C'est de la régression ou de la c*****ie! |
Chez Caster, c'est de la connerie dans la con-tinuité. |
 | effer, 24.08.2010 à 16:27 | 333027 |
|  |  | [annees_douces1 : album sans vignette]
Casterman publie cet album dans le sens français!
C'est de la régression ou de la c*****ie! |
 | e m, 12.08.2010 à 18:27 | 332785 |
|  |  | Rien de prévu sur electre.com concernant l'auteur d'Undercurrent.
(site qui affiche les plannings prévisionnels des éditeurs sur plusieurs mois...) |
 | |  |  | Ça faisait un moment que j'hésitais à ouvrir ce manga, la couverture m'attirait et me repoussait en même temps. Eh ben c'est un super titre, qui réussit avec justesse à balancer entre gravité et humour, les personnages sonnent très juste. Quelqu'un sait si d'autres albums de l'auteur seront bientôt disponibles en français ? |
 | Herbv, 06.08.2010 à 22:04 | 332689 |
|  |  | En ce qui me concerne, je suis toujours arrêté à la fin du 1er chapitre du Dernier été de notre enfance et ce, depuis des mois alors que je suis fan de l'auteur. C'est dire... |
 | |  |  | J'ai mis plusieurs jours à le finir. Je n'ai pas accroché. (Mais je suis, presque, bien content d'avoir un exemple de manga qui m'est tombé des mains.)
La postface explique peut-être le pourquoi... |
 | |  |  | Et bien voilà, la gamine est dans le top nouveauté, il suffisait de demander ! |
 | |  |  | Bon, vous allez le lire ce tome 9, oui !? Tout le monde sait que Yotsuba, c'est trooop bien pourtant.
C'est pas comme ça qu'on fera venir un tome 10 en France un jour !
Non mais ! |
 | |  |  | Bon, ben je reste sur mes positions. Urasawa vs Tezuka, une rencontre de géants qui accouche d'une souris. Urasawa est un pro, il gère tous les éléments dont il dispose, mais une gestion en bon père de famille. Il ose un intermède neuenu avec un chien robot en panne (il joue toujours de l'émotion dans le même registre, c'est pénible, à la longue), il orchestre en renversement impromptu en faisant de Gezicht le protecteur de Haas, qui est laché par les anti-robots et, spoiler's ahead il laisse entrevoir la mort du petit chat, ce qui pourrait paraître comme incroyaaaaabb, mais auquel on ne croit pas une seconde. En même temps, on se rappelle de sa manière de ressuciter Kenji pendant 5 tomes dans 20th Century Boys... rien d'étonnant spoiler's away . Ca se laisse lire, mais sans plus. |
 | e m, 11.07.2010 à 18:31 | 332329 |
|  |  | Death Note #1 à 12...
Un carnet qui permet de tuer une personnes si on y inscrit son nom sur une des pages. Un jeune qui se sent investi d'une mission divine décide d'éradiquer le mal de la planète.
Les quatre premiers tomes et l'affrontement, à coup d'anticipations de stratégies, des deux protagonistes sont interessants. C'est assez prenant, on ne s'attarde pas sur les énormes trucs et autres facilités du scénaristes : le jeune de 17/18 ans qui donne ses ordres à tous les présidents de la planète... même si c'est quand même nawak.
Dommage que l'histoire parte ensuite dans une espère de thriller ennuyeux et bavard où le scénariste nous perd en répétant tout ce qu'il a fait dans la première partie de l'histoire. Du coup toutes les énormités ne passent plus (du genre l'enfant de 9/10 ans qui dirige le FBI)
Pis cette fin bidon...
Heureusement qu'il y a l'excellent dessin de T.Obata pour rattraper un peu tout ça.
4 paquet de chips pour les tomes 1 à 4
2 ou 3 montres pour les suivants (dont 1 bonus pour la couv' du #12).
(faut lire les chroniques de Coacho, son calvaire est bien marrant 8))
Bakuman #1+2...
Des mêmes auteurs que la série au dessus, avec deux jeunes qui décident de faire le meilleur manga du monde avant leur 18 ans. Beau programme en perspective, reste plus qu'à espérer que ça ne parte pas en vrille comme Death Note.
Intéressant pour qui veut découvrir un début d'histoire d'amour ridicule, mais surtout comment se passe l'édition d'un manga au Japon.
4 nemus
Slam Dunk #1 à 20...
C'est très plaisant, ça se lit tout seul (quasiment tout lu d'un coup).
Dommage que l'auteur n'a pas donné un peu de profondeur à ses personnages. Du tome 1 au 20 ils ne font que jouer au basket, ils n'ont aucune existence en dehors des matchs et entrainements.
Ca donne quand même envie de jouer au basket 8)
4 rebonds |
 | effer, 11.07.2010 à 16:47 | 332327 |
|  |  | 
Urasawa est toujours aussi bon dans son style feuilletonesque maîtrisant parfaitement flash-backs, coups de théâtre et approfondissement de la personnalité de ses personnages. Tout en dévoilant certains points de l'intrigue, il rajoute des questions sur la suite.
Cet hommage à Tezuka ne faisant que huit tomes, c'est un bon moyen de découvrir ce mangaka de talent au dessin très efficace.
5 puces électroniques.
Pour ceux qui sont fans d'Urasawa un art book regroupant des pages couleurs de ses divers manga vient de paraître sous le titre de Manben |
 | e m, 28.06.2010 à 19:02 | 332071 |
|  |  | Une Sacrée Mamie #3+4...
Ma belle découverte manga de cette année 2010.
Aussi bien que les deux premiers tomes, ça donnerait presque envie de vivre dans la campagne japonaise des année 60 8)
5 bols de riz |
 | Mael, 16.06.2010 à 21:19 | 331875 |
|  |  | J'ai eu ça par hasard entre les mains, coincé dans le train je l'ai lu pour passer le temps avec tous les a priori possible. L'avantage des trucs dont on attend rien c'est qu'on est jamais déçu, ce fut donc une bonne surprise. C'est émouvant sans être larmoyant mais si parfois on veut foutre des baffes à cette grande bringue de jeune père, l'arrivée de la fille non connue rend tout très intéressant et j'ai vraiment pris du plaisir à me laisser prendre là dedans. Après je ne dis pas que j'achèterai tout ça mais je lirai la suite avec curiosité. 3 étoiles. |
 | effer, 16.06.2010 à 17:34 | 331869 |
|  |  | 
Miyamoto Musashi chemine en boitant sur les routes, mais ce T 31 est centré sur Matahachi, au chevet de sa mère mourante, cette petite vieille teigneuse, dont la force s'évanouit laissant son fils désemparé qui repense à la vacuité de son existence.
Un beau moment triste mais bien traité, sans pathos, avec beaucoup de dignité.
Inoue nous livre là un très bon scénario, son dessin est toujours aussi élégant. |
 | |  |  | Avant-dernier volume et, étrangement, alors que Retsudo s'enferre de plus en plus dans son attitude impitoyable et inhumaine, Ogami semble s'humaniser. Belle ouvrage, comme toujours, et on attend le duel final. |
 | effer, 10.06.2010 à 16:15 | 331732 |
|  |  | 
On s'achemine vers la fin, mais avant un très bel affrontement de Ogami avec "les herbes" des Yagyu, Daigoro est seul à garder "les sabres de la promesse".
Ces chapitres avec Daigoro sont très humains, comme toujours, un contraste bienvenue qui tranche avec la rigueur et l'absurdité du bushido.
Le dessin de Kojima est magnifique.
|
 | e m, 15.05.2010 à 9:54 | 331326 |
|  |  | Cat Shit one #1...
Mortel. Je crois que je ne m'étais jamais autant ennuyé en lisant un manga.
Pareil pour le tome 2, je ne sais pas si j'arriverai à le lire jusqu'à la fin.
2 claymores
Une sacrée mamie #1...
Ca par contre ça se lit tout seul, c'est très bien.
Un peu moralisateur sur les bords, mais les personnages sont attachants, les histoires touchantes...
Une des bonnes surprise manga de cette année.
5 aimants |
 | effer, 14.05.2010 à 16:09 | 331314 |
|  |  | THYUIG : | La suite ! Vite !!!!! (c'est pas humain d'interrompre une action comme cela ! ) |
Ce tome 24 est vraiment époustouflant! |
 | THYUIG, 11.05.2010 à 6:34 | 331242 |
|  |  | La suite ! Vite !!!!! (c'est pas humain d'interrompre une action comme cela ! ) |
 | THYUIG, 10.05.2010 à 19:20 | 331241 |
|  |  | ingweil : | Assez envoûtante comme histoire. On en sait un peu plus sur tous les personnages, c'est un peu moins onirique que dans les deux premiers tomes. J'ai parfois el sentiment de relire les autres titres de Matsumoto, une sorte de méta-livre qui contiendrait des références à ses travaux passés, une autre façon de les raconter. Pour le moemnt, je me laisse porter, j'essaierai de décrypter quand il y aura un peu plus de tomes. |
Du même avis que toi pour l'instant, il y a comme un vent de doux onirisme qui flotte sur ces pages, et quelques planches sont d'une rare fulgurance graphique. Et puis, ce qui n'était pas forcément gagné, on s'attache véritablement au personnage, lui-même apparaissant comme une quintessence sensuelle (enfin, c'est comme ça qu'il m'apparait). En tout cas c'est très beau et assez unique dans le genre, j'ai du mal à rapprocher cette histoire d'une autre. |
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