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Crénom de Crécy !

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


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Glotz, 14.08.2018 à 22:37369657
Je l'ai par hasard lu cet après-midi, même impression d'un scénario bien trop en-deça des talents graphiques de Crécy. Mais ceux-ci valent bien 3.

lanjingling, 14.08.2018 à 18:02369652
Je me souviens de la parution du premier de Crecy, avec mes amis bdphiles, nous en parlions comme d'une nouveauté graphique, d'un univers jamais vu, mais on ne causait pas de l'histoire.
On trainait encore dans les années 80, quand le dessin et l'apparence comptaient par dessus tout.

Pierre, 11.08.2018 à 12:12369631
Thierry :
On ne pourra pas dire que l'emballage n'est pas beau.
Il est splendide.
De Crécy compose un univers absolument incroyable. Chaque case est une merveille, portée par une colorisation parfaite. Chaque page est un régal.
Passé une introduction muette intrigante mais finalement un peu gratuite, le récit commence. Décadent, coloré, délirant. Dans une ambiance de carnaval débridé, le dégoût pointe. La tragédie pointe le bout de sa langue. Mais derrière la magnificence du travail de De Crécy, la facilité du scénario fait tache. Les prémisses sont bien amenés, mais aucun développement digne de ce nom avant une conclusion qui tombe ex nihilo. Un squelette dans un placard qui sort au bon moment comme un diable de sa boite, mais sans qu'on ait le temps d'être à son aise, ou simplement mal à l'aise. A peine entamé, déjà terminé. Et pourtant, il y a des idées. La voix vagabonde, le choix fondateur qui sous-tend tout le récit. Il y avait matière à quelque chose d'autre. Une fable surréaliste, extravagante, excessive. je n'ose imaginer si ce pitsch avait été confié à Jodorowski. Il en aurait fait des caisses, mais il aurait tiré beaucoup plus de substance que ce scénario anémique. Cette idée retranscrite à la va-vite pour tenir dans les 60 pages réglementaires. Autant De Crécy en solo à tendance à se perdre et trop allonger la sauce. Autant ici, on à l'impression de rentrer dans un restaurant gastronomique et de se faire raccompagner après les amuse-bouches.
C'est magnifique à regarder. Mais à lire, c'est sans grand intérêt.


C'est bizarre: d'après la consultation des bullenotes, il semblerait que j'ai apprécié cet album, mais je n'ai conservé aucun souvenir de sa lecture ...

Thierry, 10.08.2018 à 15:13369627
On ne pourra pas dire que l'emballage n'est pas beau.
Il est splendide.
De Crécy compose un univers absolument incroyable. Chaque case est une merveille, portée par une colorisation parfaite. Chaque page est un régal.
Passé une introduction muette intrigante mais finalement un peu gratuite, le récit commence. Décadent, coloré, délirant. Dans une ambiance de carnaval débridé, le dégoût pointe. La tragédie pointe le bout de sa langue. Mais derrière la magnificence du travail de De Crécy, la facilité du scénario fait tache. Les prémisses sont bien amenés, mais aucun développement digne de ce nom avant une conclusion qui tombe ex nihilo. Un squelette dans un placard qui sort au bon moment comme un diable de sa boite, mais sans qu'on ait le temps d'être à son aise, ou simplement mal à l'aise. A peine entamé, déjà terminé. Et pourtant, il y a des idées. La voix vagabonde, le choix fondateur qui sous-tend tout le récit. Il y avait matière à quelque chose d'autre. Une fable surréaliste, extravagante, excessive. je n'ose imaginer si ce pitsch avait été confié à Jodorowski. Il en aurait fait des caisses, mais il aurait tiré beaucoup plus de substance que ce scénario anémique. Cette idée retranscrite à la va-vite pour tenir dans les 60 pages réglementaires. Autant De Crécy en solo à tendance à se perdre et trop allonger la sauce. Autant ici, on à l'impression de rentrer dans un restaurant gastronomique et de se faire raccompagner après les amuse-bouches.
C'est magnifique à regarder. Mais à lire, c'est sans grand intérêt.

Herbv, 31.10.2017 à 19:52366867
Grâce à ce message de Glotz, ça m'a rappelé ce message concernant l'expo de Crécy à Quimper. Effectivement, elle était proposée au Pulp Festival 2017 dans une version remaniée.

Deux photos (avec sugaryin) pour vous donner un petit aperçu :

Glotz, 31.10.2017 à 13:30366864
Ce recueil très réussi de portraits accompagnés d'une micro-histoire a été réédité il y a deux semaines par Cornélius.

Herbv, 03.04.2016 à 17:20361929
Ah, je vois qu'elle est co-organisée par La Ferme du Buisson. Je ne me fatiguerai donc pas à y aller seul à Quimper lors d'un de mes passages mais à y aller en groupe à un prochain Pulp Festival (ou si l'expo y est organisée seule). :)

crepp, 02.04.2016 à 14:05361923
pour les bretons, et pour ceux qui passent en Bretagne, une expo à Quimper (j'espère la voir cet été).

ici

NDZ, 10.06.2015 à 11:00359023
Cobalt 60 :
on retrouve l'un des personnages de Salvatore dedans.


C'est qui ? Je ne vois pas.

NDZ, 10.06.2015 à 10:58359022
Hé bien moi, elle m'a bien plu cette bouchée apéritive... On a un récit qui ne se presse pas trop (malgré les grandes scènes de course-poursuite ou de bagarre), qui installe bien les choses et ce ne serait même pas gênant si le livre devait rester un one-shot (série en suspend - d'après ce que j'ai compris - sous le couperet du niveau des ventes niponnes), malgré le cliffhanger final. De très belles pages, de très belles cases, de très belles poses ou de beaux portraits. Pour ne rien gâcher mais quand-même un petit peu, le revers de la jaquette est de toute beauté et on se demande pourquoi on n'a pas eu le droit à cette couverture plutôt qu'à ce simili-poster. Un De Crécy qui sort de sa léthargie, ça fait du bien ! Je vote pour "encore" plutôt que pour "stop".

crepp, 29.05.2015 à 15:33358930




C'est un album qui se veut être une symphonie, mais une symphonie aussi belle soit elle doit émouvoir, et là j'attends encore les frissons.
Bien entendu c'est quand même extrêmement bien joué, la partition est là, mais il manque le personnage qui touche, et ni Enzo , ni Mario n'y arrivent. Je ne parle pas de Bérénice qui en étant quasi absente de l'album ne peut pas jouer ce rôle final.
Bref plus que mitigé, et pourtant je veux connaître la suite.

lanjingling, 13.11.2014 à 4:51356658
Cobalt 60 :
Ce n'est pas muet. Et l'on retrouve l'un des personnages de Salvatore dedans.
Cool,merci.
Cobalt 60 :
Et de Crécy écrit en français, donc pas besoin de "back translation" du japonais. C'est traduit ensuite en japonais pour la publication dans Ultra Jump. La version qui paraitra en France sera donc la VO.
Sont forts, chez Ultra Jump, de réussir à motiver De Crécy.
Cobalt 60 :
Matsumoto n'a rien à voir dans l'histoire. La couverture qui figure ici est celle d'un mook hors série consacré aux deux artistes. Ce n'est pas publié par l'éditeur d'Ultra Jump.
De Crécy est l'un des dessinateurs français les plus appréciés et traduits au Japon (avec Schuiten/Peeters et Vives).
Pour De Crécy et Schuiten/Peeters, j'arrive facilement à en imaginer les raisons, ils ont un ton, un univers très beau et personnel (ils sont d'ailleurs traduits en chinois, à Taiwan) . Pour Vives, je comprends moins, c'est pour raisons ultramanesques ou polinesques ?

Cobalt 60, 12.11.2014 à 3:15356643
Ce n'est pas muet. Et l'on retrouve l'un des personnages de Salvatore dedans.
Et de Crécy écrit en français, donc pas besoin de "back translation" du japonais. C'est traduit ensuite en japonais pour la publication dans Ultra Jump. La version qui paraitra en France sera donc la VO.
Matsumoto n'a rien à voir dans l'histoire. La couverture qui figure ici est celle d'un mook hors série consacré aux deux artistes. Ce n'est pas publié par l'éditeur d'Ultra Jump.
De Crécy est l'un des dessinateurs français les plus appréciés et traduits au Japon (avec Schuiten/Peeters et Vives).

lanjingling, 11.11.2014 à 11:38356639
spirou2733 :
Nicolas de Crécy : « Je ne fais plus de BD. Je ne peux plus physiquement. »

Alors, si j'ai bien tout suivi, il ne fait effectivement plus de B.D., son prochain album sera, nuance, un manga, puisque publié en primeure au Japon. Mais, c'est muet, ou sinon ce sera (re-)traduit du japonais (par quelqu'un de plus compétent que messieurs NDZ et Google), et que vient faire Matsumoto dans l'histoire ?

Cobalt 60, 11.11.2014 à 3:02356635
La république du catch est en cours de parution dans Ultra Jump et sera terminée en janvier.
Le mook consacré à la rencontre de Matsumoto et de Crécy est très beau. Les deux artistes ont chacun de l'admiration pour l'autre. Il est rempli d'illustrations des deux auteurs et d'une longue conversation croisée. Il est cependant assez cher (1900 yens).
L'année dernière, Matsumoto, qui ne vient jamais à un festival, avait pourtant fait le déplacement au manga festa de Tokyo quand il a appris que de Crécy serait présent. Ils ont participé ensemble à une conférence très intéressante, expliquant leurs travaux respectifs.
Cette année, l'invité français du manga festa est… Pénélope Bagieu.
Mauvaise pioche.

Mr_Switch, 09.11.2014 à 17:47356626

La République du Catch

riusma, 28.08.2014 à 2:04356090
Hello,

Nouveau sur ce forum!

Pour les fans de De Crécy, c'est sympa de savoir qu'il a fait un bouquin jeunesse avec Rascal "La nuit du grand méchant loup" (je mets le lien, l'image est trop grande):

http://www.decitre.fr/livres/la-nuit-du-grand-mechant-loup-9782211048835.html

Juste magnifique mais compliqué à dénicher je pense, le tirage étant épuisé depuis quelques temps et jamais retiré (peut-être à l'avenir?...).

Gijom, 21.08.2014 à 0:29356030
Et c'est disponible là : プロレス狂想曲

Et de liens en liens je suis tombé là-dessus : Matsumoto · De Crécy

NDZ, 13.08.2014 à 21:48356001
La publication de la République du Catch de De Crécy devrait avoir débuté dans Ultra Jump. Ne parlant pas japonais, je laisse Google transléter pour en savoir un peu plus sur le pitch ;

"Depuis la France BD monde écrivain populaire a atterri!
"lutte spectacle" Nicolas de Crécy

Il est utilisé dans la mâchoire aussi neveu, les décrocheurs Mario Mafia clan,
pingouins juste un piano est de bons amis (un oiseau?) .
Sans avoir à s'impliquer dans des actes répréhensibles, aucune plainte sur une base quotidienne pour vivre avec la négociation sur le piano, mais
vous ne pouvez pas m'empêcher de penser à ... Si nous avions été une belle fraîcheur de sa voiture.
C'est demain Mario de Qui optimiste et pessimiste parfois notables "recommander! de la bande dessinée" par le dessinateur de mois aussi «Comment lire le commentaire". Professeur Terada Katsuya 1er."

Cobalt 60, 18.01.2013 à 13:00349153
C'est beauuuuuuu !

Un grand merci !

Moi, 17.01.2013 à 8:57349085

effer, 09.07.2012 à 15:55345528
Excellente idée avec des dessins qui passent très bien au milieu de l'entretien.

Moi, 09.07.2012 à 13:18345527
Tout l'été, télérama proposera des entretiens avec des dessinateurs, autour de leurs carnets de voyage...

Carnets de Voyage : Nicolas de Crécy seul à Kyoto par telerama

NDZ, 09.06.2012 à 15:50344928
CQFD. A l'origine de la fâcherie définitive.
On comprend mieux que de Crécy, lorsqu'il se fait claquer la porte au nez lors de sa recherche de crédits pour "L'orgue de barbarie" en entendant "ça ressemble trop à du Chomet" soit plus que dégoûté. :)

wandrille, 10.10.2011 à 16:29340435
J'ai fait l'acquisition du premier tome de son recueil de 500 dessins. Qui est bien, mais pas top. De très belles choses de croquis, bien sûr, mais qui finalement apportent peu à la compréhension de l'œuvre, ce que j'espérais un peu.

effer, 09.10.2011 à 18:26340419
spirou2733 :
Nicolas de Crécy : « Je ne fais plus de BD. Je ne peux plus physiquement. »

Espérons que ça lui revienne...

spirou2733, 09.10.2011 à 18:05340417
Nicolas de Crécy : « Je ne fais plus de BD. Je ne peux plus physiquement. »

Thierry, 02.08.2011 à 9:33339193
j'ai hésité entre 3 et 4 étoiles, mais la balance a penché pour les 4 étoiles parce que j'ai trouvé que si de Crécy se perdait méchamment en chemin, il avait quand même lemérite d'une approche irrévérencieuse et originale, alors que ce genre de projet tombe souvent dans l'académisme chiant. Pour cette audace, j'ai rajouté une étoile.

Mr_Switch, 01.08.2011 à 20:50339191
Oui, les papotes de Hulk m'ont laissé un goût amer, à mézigue itou.

SydN, 01.08.2011 à 20:45339190
Ok, je comprend tes arguments, même si j'ai du mal à comprendre l'excellente note au vue des nombreux défauts que tu lui trouve...
Ca voudrait dire que les qualités sont tellement bonnes qu'elle font passer le reste... Ca à marché pour toi, moins pour moi.
Je dis "moins" parce qu'en fait j'en pense a peu près la même chose que toi...

seulement, à partir du moment où Hulk tape la discute avec les oeuvres, j'ai trouvé que c'était amusant, certes, mais que c'était aussi un peu une excuse pour faire basculer le récit dans le n'importe quoi, alors qu'au début il y avait un réel propos satirique bien plus interessant et original. Ca m'a donné l'impression que De crecy ne savait pas comment continuer sur la même voie, ni où ça aller aboutir, alors il a préféré noyer le poisson... Du coup, ça m'a déçu...

Thierry, 01.08.2011 à 12:49339183
Thierry :
SydN :
Thierry :
SydN :
Thierry :
crénom que c'est bien !


ah ouais?
j'ai pas été tellement convaincu personnellement...
C'est marrant parce que d'habitude tu fais de grand discours, et là rien :)
c'est parce qu'il y a rien d'autre à dire? ;)

bullechronique en attente de validation :o)


Ah ouais, môsieur ne fait pas les choses à moitié à ce que je vois ;)


si je n'étais pas là, vous n'auriez que des chroniques d'Hebv et Rohagus :op

bullechronique validée

Thierry, 01.08.2011 à 11:19339180
SydN :
Thierry :
SydN :
Thierry :
crénom que c'est bien !


ah ouais?
j'ai pas été tellement convaincu personnellement...
C'est marrant parce que d'habitude tu fais de grand discours, et là rien :)
c'est parce qu'il y a rien d'autre à dire? ;)

bullechronique en attente de validation :o)


Ah ouais, môsieur ne fait pas les choses à moitié à ce que je vois ;)


si je n'étais pas là, vous n'auriez que des chroniques d'Hebv et Rohagus :op

SydN, 01.08.2011 à 11:05339179
Thierry :
SydN :
Thierry :
crénom que c'est bien !


ah ouais?
j'ai pas été tellement convaincu personnellement...
C'est marrant parce que d'habitude tu fais de grand discours, et là rien :)
c'est parce qu'il y a rien d'autre à dire? ;)

bullechronique en attente de validation :o)


Ah ouais, môsieur ne fait pas les choses à moitié à ce que je vois ;)

Thierry, 30.07.2011 à 16:26339169
SydN :
Thierry :
crénom que c'est bien !


ah ouais?
j'ai pas été tellement convaincu personnellement...
C'est marrant parce que d'habitude tu fais de grand discours, et là rien :)
c'est parce qu'il y a rien d'autre à dire? ;)

bullechronique en attente de validation :o)

SydN, 29.07.2011 à 21:15339164
Thierry :
crénom que c'est bien !


ah ouais?
j'ai pas été tellement convaincu personnellement...
C'est marrant parce que d'habitude tu fais de grand discours, et là rien :)
c'est parce qu'il y a rien d'autre à dire? ;)

Thierry, 29.07.2011 à 10:45339160
crénom que c'est bien !

NDZ, 16.10.2010 à 15:10333895
Certains trouvent que sa s'essouffle, tourne en rond ou piétinne? Que neni, moi je trouve que ça part dans tous les sens et qu'on a un vrai souffle d'aventure trépidante et sautillante! Un feuilleton qui nous parle de notre époque (l'Image, les adogothiques, le Bio, les nouvelles technologie et la mobilité mondialisée : les distances, quelles distances? hé bien oui, là on prend le temps de voyager, de parler. Na) en y immergeant un rêveur et romantique inadapté à son temps, déjà vu? même sous la forme de fable animalière? certes, mais même sous la forme d'un récit profond, subtil et léger? certes, mais même sous la forme d'une magnifique BéDé? Oh que non!

NDZ, 02.08.2010 à 23:44332598
YYYYYYEEEEESSSSS !

Thierry, 07.04.2010 à 13:06330475
Je crois me rappeler que les auteurs envisageait la suite de Leon La Came en 1 volume, mais ils durent allomger la sauce pour tenir en 2 livres. Si "Laid, pauvre et malade" demarrait bien, les dernieres pages devenaient plus poussive. Mais on etait loin de la catastrophe de cedernier volume a l'ennui redhibitoire, et au scenario sans liant interet.

quedesbouquins, 02.04.2010 à 9:29330412
Bonjour toute le monde,

Je viens de démarrer une bouquinerie sur Internet. On y trouve de nombreuses bandes dessinées en collection et occasion.

Le site se trouve à l'adresse suivante : http://www.quedesbouquins.com

Bonne balade et bonne journée.

quedesbouquins.com

Thierry, 02.04.2010 à 9:26330411
NDZ :
Thierry :
A vrai dire, je préfère de loin à Salvatore...


Oui, mais le premier Léon était indétrônable... Salvatore se bonifie avec les tomes, lui. Je trouve.


J'aime bien le tome 2, et son manuel du savoir-winner.

NDZ, 29.03.2010 à 14:30330269
Thierry :
A vrai dire, je préfère de loin à Salvatore...


Oui, mais le premier Léon était indétrônable... Salvatore se bonifie avec les tomes, lui. Je trouve.

Thierry, 29.03.2010 à 12:23330268
A vrai dire, je préfère de loin à Salvatore...

Thierry, 15.01.2010 à 11:26328033
Avant d'acheter éventuellement le troisième tome des aventures de Salvatore, j'ai décidé de relire les 2 premiers épisodes, pour me remémorer l'intrigue, et déterminer si j'ai envie de lire la suite ou non. A vrai dire, je suis partagé. J'ai d'ailleurs baissé ma bullenote. Oui, c'est pas mal, c'est gentil et bien troussé, mais je n'arrive pas vraiment à m'enthousiasmer pour cete histoire qui me semble malgré tout bien mollassone. Le récit est original, le ton personnel, mais le traitement manque singulièrement de rythme et de relief. Un signe qui trompe rarement, je n'avais gardé strictement aucun souvenir du tome 2. A me demander si je l'avais seulement lu. Mais je l'avais bullenoté, donc...

NDZ, 23.10.2009 à 15:49325820
Et pour les deux stars précedemment citées et fréquemment malmenées ces 15 dernières années, je précise que je conchie les reprises/prolongations mais que les 20 premiers albums (à la louche) de chacune de ces séries sont des chef-d'oeuvres. Que l'on ne comprenne pas de travers.

NDZ, 23.10.2009 à 15:48325819
Bon, il va falloir être un peu plus constructifs les amis (surtout le petit brun avec les lunettes de soleil près du radiateur qui revient de vacances au Havre), parce que là...

Salvatore, en vite dit, c'est mon rayon de soleil. Mon remède à la grisaille. Un truc qui nous fait oublier les (désormais) vieillots Astérix ou Lucky Luke dans le registre du classique poétique tout public à multiple niveau de lecture. Et drôle.

david t, 21.10.2009 à 18:20325758
lanjingling :
pareil, sauf le dernier mot; c'est quoi, consorts, la nouvelle serie de trondheim, ou quoi...


arrête, s'il te lit, il pourrait le faire juste pour t'embêter.

lanjingling, 21.10.2009 à 16:20325756
pareil, sauf le dernier mot; c'est quoi, consorts, la nouvelle serie de trondheim, ou quoi...

chrisB, 21.10.2009 à 14:44325754
Pareil, sauf la dernière phrase :o)

NDZ, 21.10.2009 à 11:20325748
[salvatore3 : album sans vignette] Oh purée ça fait du bien, ça fait du bien. Une série qui étonne. Une série qui détonne. Une série drôle. D'aventure. Drôle. Un récit classique mais pas tradi. Qui bifurque mais qui enrichit. Qui prolonge les fils narratifs et qui les embrouille. Drôle. La Série animalière d'aventure du moment. Aux côtés de Donjon, Lapinot et consorts.

SydN, 01.09.2009 à 19:40324349
ah tu t'es reconnu, c'est bien :)

longg, 01.09.2009 à 19:24324348
SydN :
NDZ :
Hosana, hosana, et en route pour la joie...


j'en connais un qui doit être content !
Depuis le temps qu'on l'attendait ce tome 3, j'y croyais plus personnellement...


YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHH!!
OH PUTAIN JE SUIS TOUT FOU!

SydN, 01.09.2009 à 17:05324344
NDZ :
Hosana, hosana, et en route pour la joie...


j'en connais un qui doit être content !
Depuis le temps qu'on l'attendait ce tome 3, j'y croyais plus personnellement...

NDZ, 01.09.2009 à 15:32324338
Hosana, hosana, et en route pour la joie...

lanjingling, 02.05.2009 à 15:27320829
chrisB :
Petit coup de coeur à cet album qui flatte le cinéfile en moi...
cinephile ou cynophile ? c'est pas evident, d'apres la couverture du livre

chrisB, 02.05.2009 à 14:54320826
Petit coup de coeur à cet album qui flatte le cinéfile en moi. Les dessins sont superbes (à défaut d'être des portraits fidèles) mais c'est surtout la prose de Pierre Senges qui emporte le projet de cette autobio factice d'un mythomane, pseudo homme de l'ombre de l'industrie du cinéma.
On se régale donc de ces pages, on en voudrait plus pour rester immergé dans cette ambiance en carton pâte :o)

je me plais à penser au livre que pourait faire mister Marion Mousse (il nous a déja montré de belles pièces, à NDZ et moi) sur le cinéma, ses vedettes, ses classiques...

NDZ, 04.03.2009 à 13:37319185
chrisB :
Rien que le nom est déja orienté ciné, McGuffin est le nom donné (et associé depuis toujours à Hitchcock) au "prétexte" du scénario, le truc qui permet de lancer l'histoire, mais dont au final on se contrefout :o)

Chez Hicthcock, on peut citer les infos secretes des 39 marches ou de la mort aux trousses, le faucon maltais chez Huston est assez évident aussi.

Plus près de nous il y a la fameuse malette dorée de Pulp Fiction.



Je avais bien compris :)

Oui, le personnage EST le prétexte qui permet de proposer des illustrations (ayant un rapport avec Hollywood). De Crécy le dit lui-même dans l'interview relayée plus bas.

Les illustrations sont chouettes, certes, mais moins évocatrice d'"histoires" par le fait qu'elles sont accompagnées des petits textes. Alors voyage agréable mais sans plus.

Le PBE, 04.03.2009 à 12:49319184
chrisB :
Au fait, tout ceci est peut etre présent dans le bouquin, mais l'ayant pas lu...

En tout cas c'est dans le message de NDZ d'il y a 3 jours ;o)

chrisB, 04.03.2009 à 11:53319180
Au fait, tout ceci est peut etre présent dans le bouquin, mais l'ayant pas lu...

chrisB, 04.03.2009 à 11:53319179
Rien que le nom est déja orienté ciné, McGuffin est le nom donné (et associé depuis toujours à Hitchcock) au "prétexte" du scénario, le truc qui permet de lancer l'histoire, mais dont au final on se contrefout :o)

Chez Hicthcock, on peut citer les infos secretes des 39 marches ou de la mort aux trousses, le faucon maltais chez Huston est assez évident aussi.

Plus près de nous il y a la fameuse malette dorée de Pulp Fiction.

NDZ, 04.03.2009 à 11:18319173
Bon bah, encore un travail d'illustration... avec un concept original (fausse bio). C'est assez drôle, mais j'ai comme l'impression que ça demande quand-même une grosse culture ciné pour gagner en saveur, et là, je suis un peu sec.

Purée, j'avoue que les derniers Orgue de Barbarie et Carnets de McGuffin, je ne les aurais pas trouvés à 50% en occaze, hé bien ils ne seraient pas sur mes étagères. Ces bouquins sont extrêmement chers, même s'ils sont beaux. Un peu comme le New-York/Loire que je n'ai jamais accroché, faute de budget...

Vivement Salvatore 3.

Dieu, 02.03.2009 à 13:17319093
Au feuilletage du bouquin je m'étais étonné que bon nombre des stars portraiturées étaient méconnaissables ou ratées mais après cette interview j'ai quelques pistes...

NDZ, 01.03.2009 à 14:03319072
Salvatore 3, wouhou ! De Crécy en blabla à côté. Rare et précieux.

NDZ, 01.03.2009 à 14:00319071
Gordon McGuffin - ou le prétexte à parler d'Hollywood

Le MacGuffin est un concept original dans le cinéma d'Alfred Hitchcock. Ce terme est utilisé par le cinéaste pour désigner l'objet qui sert de prétexte pour déclencher une histoire, par exemple les formules secrètes des 39 marches, l'uranium dans les bouteilles de vin dans Les Enchaînés, la grosse d'argent volé dans Psychose et Pas de printemps pour Marnie ou bien les bijoux dans La Main au collet.

Dans le cinéma hitchcockien, cet élément et les convoitises qu'il suscite entrainent alors le héros dans moultes péripéties, si bien que l'élément est vite oublié et perd de son importance.

L'origine du mot viendrait de l'histoire suivante, racontée par Hitchcock :

Deux voyageurs se trouvent dans un train allant de Londres à Edimbourg. L'un dit à l'autre : « Excusez-moi Monsieur, mais qu'est-ce que ce paquet à l'aspect bizarre que vous avez placé dans le filet au-dessus de votre tête ? — Ah ça, c'est un MacGuffin. — Qu'est-ce que c'est un MacGuffin ? — Eh bien c'est un appareil pour attraper les lions dans les montagnes d'Écosse — Mais il n'y a pas de lions dans les montagnes d'Écosse. — Dans ce cas, ce n'est pas un MacGuffin » .

Hitchcock utilisait souvent cette anecdote pour se moquer de ceux qui exigent une explication et une cohérence parfaite pour tous les éléments d'un film, qu'il appelle les vraisemblants. Ce qui l'intéresse c'est de manipuler le spectateur, et qu'il ait aussi peur que le héros ou l'héroïne de son film. Peu importe les petites approximations sur la vraisemblance. Hitchcock considérait les films comme un spectacle en soi et non une copie conforme de la réalité.

C'est pourquoi dans les films d'Hitchcock le MacGuffin est totalement anecdotique, c'est un élément de l'histoire qui sert à l'initialiser voire à la justifier mais qui s'avère, en fait, sans grande importance au cours du déroulement du film.

Gijom, 20.02.2009 à 4:47318792
Samedi 14 février à 21h sur FRANCE CULTURE c'était :

MAUVAIS GENRES
Emission Bandes dessinées
Production : François Angelier
Avec : Nicolas de Crécy, dessinateur BD, Pierre Senges, écrivain
Réalisation : Brigitte Mazire

NDZ, 17.01.2009 à 15:18317560
Encore des illus (le dernier bouquin de bande dessinée, si on ne compte pas l'excellent carnet "remanié" Journal d'un fantôme remonte à loin, woh purée ! crécy). M'enfin, un nouveau De Crécy est toujours une bonne nouvelle...

lanjingling, 08.08.2008 à 9:22311256
paru dans lemonde
Au quatrième frère Crécy rencontré, l'effet comique pointe son nez. Il y a la ressemblance, bien sûr, entre Nicolas, Etienne, Geoffroy et Hervé, cette même allure de garçons bien élevés. Mais, surtout, ce sommet dégarni qui signe une famille où l'"on partage le gène du dessin... et de la calvitie". C'est Etienne qui le dit le premier. Lui, le seul à n'avoir pas choisi le dessin justement, "faute d'avoir suffisamment travaillé ce don", mais la musique. En digne descendant de Crécy, il a cependant transmis ce talent à ses enfants, sans exception. L'un d'eux présenterait même des capacités hors du commun pour son âge.

Etienne de Crécy est donc musicien. Pas des moindres : apprécié depuis dix ans des amateurs de musique électronique, il fut au même titre que les Daft Punk à la fin des années 1990 l'un de ces artisans de la "french touch", qui fit de la dance music française un très bon produit d'export. Son album Superdiscount est un classique du genre. Aujourd'hui, il parcourt le monde en tant que DJ. Les trois autres ont, de leur côté, fait fructifier l'atavisme familial.

Nicolas, l'aîné des frères (car l'ombre d'une soeur plane au sommet de tous), est considéré comme l'un des auteurs français de bande dessinée les plus singuliers de sa génération. Créateur, avec Sylvain Chaumet, de Léon la came, il recevait à 32 ans l'Alph-Art du meilleur album au Festival d'Angoulême. En 2006, son album Période glaciaire, une commande du Musée du Louvre, unanimement salué par la critique, obtenait le prix du public des magasins Virgin.

Quant à Geoffroy et Hervé, les deux benjamins, après quelques hésitations (un cursus en histoire pour l'un, en droit pour l'autre), ils l'ont suivi sur des chemins parallèles, ceux du graphisme et de l'animation, parce que "la BD après Nicolas, c'était perdu d'avance". La réussite est encore au rendez-vous : dès ses premiers travaux (trois clips en 3D réalisés pour le second album d'Etienne, Tempovision), Geoffroy obtient une Victoire de la musique. Pour Hervé (et ses associés Ludovic Houplain et Antoine Bardou-Jacquet, fondateurs du Studio H5), c'est un MTV Award à l'occasion du clip Remind Me imaginé pour le groupe électro-pop norvégien Röyksopp, en 2002. Plus récemment, on leur doit quelques-unes des publicités les plus remarquées : la Citroën C3 transformée en robot-patineur sur glace, ou encore le retraitement nucléaire façon Lego pour Areva. Ils appartiennent au cercle des créateurs sur lesquels lorgnent les créatifs de toutes les agences de publicité.

Amusante fratrie que ces Crécy, tous créateurs et tous indépendants, comme une évidence. Ils n'en forment pas moins une sorte d'inoffensive mafia. Trois d'entre eux travaillent à la même adresse, dans un ancien atelier de confection du Sentier, à Paris. Comme si cela ne suffisait pas, Etienne et Geoffroy habitent à 200 mètres l'un de l'autre, mais, jurent-ils, ils ne se croisent "presque jamais" et s'appellent "très occasionnellement". Et, en ce moment, les trois frères hébergent dans leur bureau Nicolas, qui rentre du Japon après un séjour de six mois. Il était lauréat de la Villa Kujoyama à Kyoto, l'équivalent de la Villa Médicis au pays des mangas. Autonomes donc, mais solidaires. Au point qu'Etienne et Nicolas, les plus connus, n'imaginaient pas que l'on puisse faire leur portrait sans parler des benjamins. Il a fallu refaire la photo, à quatre. Et pourquoi pas à cinq ? Avec Béatrice la grande soeur, styliste de son état (encore le dessin...) ? Parce qu'elle vit en Corse. Deux ans d'écart avec Nicolas, mais toujours l'impression qu'elle était "beaucoup plus grande que nous".

"De Crécy", avec un nom pareil, et des parents versaillais, on anticipe le cliché. Famille nombreuse, catholique, bon chic bon genre. Raté. Le nom est noble, certes, mais la fortune envolée depuis longtemps et les parents peu piqués d'aristocratie. La famille habite Lyon, puis Dijon, et passe plusieurs années dans la banlieue de Marseille. "Ce n'était pas l'endroit le plus gai du monde, mais on avait un grand jardin", raconte Etienne. A la maison, assure Nicolas, "c'était Fellini". Ambiance "tu me tapes, je brûle tes petites voitures", chiens et poules dans le jardin. "Nous étions un peu les gitans du quartier", plaisante Etienne. Sauvages, dans les souvenirs d'Hervé et de Geoffroy : "Quatre frères, pas vraiment besoin d'amis." L'arrivée à Versailles dans les années 1980 est vécue comme un choc culturel. A cette époque, les deux aînés se sont déjà envolés.

Les parents sont progressistes, et la mère, au foyer, est une adepte de la psychologie Dolto. Aujourd'hui, elle travaille comme bibliothécaire au lycée Sainte-Geneviève, qui prépare "à toutes ces grandes écoles qu'on n'a pas faites". Le père, ingénieur commercial pour les ascenseurs Schindler, maîtrise avec talent crayon et instruments de musique, "mais dans sa famille, à son époque, on ne devenait pas artiste", explique Nicolas. Il laissera s'exprimer les penchants naturels de ses enfants, avec une certaine exigence toutefois : "Faites ce que vous voulez, mais que ce soit de bon niveau."

Pour Nicolas qui, à 15 ans, "n'imagine pas d'autre option de vie possible que le dessin", ce sera les Beaux-Arts d'Angoulême. Pas les plus cotés, mais les plus axés sur la bande dessinée, "un domaine où il y avait encore des choses à inventer". Son succès précoce rassure la famille et désinhibe les autres. " Je me rappelle ses premières planches du Bibendum céleste (aux Humanoïdes associés). Nous étions tellement impressionnés, et fiers ! Grâce à Nicolas, on réalisait vraiment qu'il était possible de vivre de son art. Sans lui, nous n'aurions peut-être pas osé", avance Etienne. Béatrice, la soeur, monte son bureau de style, un autre exemple pour Etienne et Geoffroy, tous deux à la tête de leur société.

Pas des multinationales, non, simplement de quoi vivre, sans chef (le suggéré paternel, encore) et libres dans leur création. Leur conception du luxe suprême à tous. Contrairement à beaucoup d'auteurs de BD, Nicolas n'a pas créé de personnage récurrent et change de maison d'édition en fonction des projets. Etienne, le musicien, n'a ni agent ni maison de disques. Il repense avec horreur à tous ces plans marketing, élaborés du temps où il était associé à une major : "Tu prépares tout pendant six mois, mais si NRJ ne prend pas ton titre, tout s'arrête." Réalisateurs de publicité, Geoffroy et Hervé produisent des courts-métrages d'animation - l'un d'eux vient d'être primé à Annecy - pour renouveler leur univers et " parce que c'est bien de pouvoir initier les choses soi-même pour garder ses distances avec le marché publicitaire, très cyclique".

Pas brillant le marché de la BD ? En crise l'industrie du disque ? Effondrée celle du vidéo-clip ? Rien ne semble angoisser les Crécy. Etienne vit la musique à l'heure d'Internet comme une renaissance. "Mes cachets de DJ ont compensé la baisse des ventes de disques ; et puis tout est à inventer, c'est tout de même très excitant." Sans quitter la BD, Nicolas s'oriente vers le dessin contemporain, réfléchit à d'autres formes de narration, privilégie les collaborations, pour échapper à la solitude de l'auteur qui lui pèse parfois. "Le contact direct avec le public, comme Etienne le connaît sur scène, ça doit être agréable pour l'ego", sourit-il.

Tous créateurs, tous indépendants, tous libres. Un miracle chimique ? L'ADN ? "Je crois, répond Nicolas, que nous partageons une forme de joie par rapport à la matière, dessin ou son." On y ajoutera un goût prononcé pour l'humour distancié, "obligatoire dans toute création, même dans les drames, sinon, c'est ridicule". Chez les Crécy décidément, on est plutôt Fellini.

Odile de Plas

THYUIG, 09.07.2008 à 8:40310527
spirou2733 :
Tout plein de chouettes dessins.


Hum hum... Enfin, bon, c'est que mais quand même...

NDZ, 04.07.2008 à 9:48310416
Dieu :
NDZ :

C'était juste une réaction d'un lecteur frustré par la grosse pause imposée sur "Salvatore" et l'absence de perspectives livresque dans un proche avenir (le Grand Nicolas accaparé par son D.A. ?).


La série est arrêtée par l'éditeur?
merci


Bah on ne sait pas trop... mais comme Expresso avait (paraît-il) du plomb dans l'aile. :( cf sujet Couleur Qu'a fait Expresso.

Dieu, 02.07.2008 à 20:13310380
NDZ :

C'était juste une réaction d'un lecteur frustré par la grosse pause imposée sur "Salvatore" et l'absence de perspectives livresque dans un proche avenir (le Grand Nicolas accaparé par son D.A. ?).


La série est arrêtée par l'éditeur?
merci

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